Top - Citations de films de l'année 2002

Tu ne comprends donc pas Crochet, que tu ne gagneras jamais si nous croyons dur comme fer à la poussière d’atmosphère.

Ce baiser que tu m’as donné hante mes jours et mes nuits. Dans mes cauchemars il ne m’en reste plus qu’une cicatrice qui ne se refermera jamais. Tu t’es emparée de mon cœur et tu le mets au supplice.

On ne trouve pas la paix en fuyant la vie.

- Amonbofis ! Il faut changer l’eau des crocodiles c’est une infection.
- Ah, je sens rien moi. Non, pourtant j’ai installé l’évacuation des eaux usagées comme on le fait tout le temps.
- C’est bien ça le problème avec vous Amonbofis, vous faites toujours comme on fait tout le temps.
- Oui bah on a tout le temps fait comme ça…

Le temps détruit tout.

Nous avons tous nos machines du temps. Celles qui nous ramènent en arrière sont les souvenirs. Et celles qui nous projètent en avant, sont les rêves.

Qui je suis ? Vous voulez vraiment le savoir ? Mon histoire n’est pas faite pour les âmes sensibles. Si quelqu’un vous a dit que ce n’était qu’un joli conte de fées, que ce n’était que l’histoire d’un type banal, qui ne s’en fait pas dans la vie… ce quelqu’un a menti. Mon histoire, comme toute histoire qui mérite d’être racontée, concerne une fille. Cette fille : Mary Jane Watson. J’étais amoureux d’elle avant même d’apprécier les filles.

- No-one play Chopin like you.
- I hope that’s a compliment.

Nous nous sommes séparés pour des raisons de divergence artistique. C’est un homme qui se voyait vivant, et moi je le voyais MORT !

Quand on fait un pari, il faut être sport !

Abyssus abyssum invocat.

- Qu’est ce que tu veux Austin ?
- Vivre heureux …

Dix bonne raison que j’ai d’aimer Jenny.
Un poème de Ricky Dikman.

J’aime tant quand Jenny articule
J’aime tant quand Jenny gesticule
J’aime tant quand Jenny se désaltère
J’aime tant quand Jenny cligne des paupières
J’aime tant quand Jenny dit salut
J’aime tant quand Jenny dit : « On s’voit en Anglais ! »
J’aime tant suivre Jenny dans le centre commercial
Et j’aime tant récolter les cheveux que Jenny sème
Et je les roule comme si je pouvais sentir un peu de Jenny
Dans chaque boulette… et j’me les…

L’attachement, mène à la jalousie. À l’ombre de la convoitise il grandit.

Franchement abuser d’un poney j’trouve pas ça beau… Sabot.

Aragorn : Venez avec moi. Venez à leur rencontre.
Theoden : Pour la mort et la gloire.
Aragorn : Pour le Rohan. Pour votre peuple.
Gimli : Le soleil se lève.
Gandalf : [Aragorn se souvient] Attendez ma venue aux première lueurs du cinquième jour, à l’aube regardez à l’Est.
Theoden : Oui. Oui ! Le cor de Helm mes amis, va retentir dans le gouffre une dernière fois !
Gimli : Oui !
Theoden : Voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble ! Cruauté réveille-toi ! Qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit rouge ! Pour Eorlingas !

J’avais cru que se serait un souvenir d’adolescence auquel je repenserai, comme avoir eu le béguin pour le capitaine de l’équipe de football. Mais je me rends compte que ce qu’on a va plus loin, bien plus loin. Nous avons une histoire commune, une amitié, nous nous écoutons l’un l’autre, nous rions ensemble, chacun finit les paroles des chansons de l’autre, je n’ai pas besoin de faire semblant avec le hip hop, et le hip hop n’as pas besoin de faire semblant avec moi. Mes sentiment n’ont jamais été plus clairs et je sais qu’il ne disparaitrons jamais.

- Ça me rappelle le Vietnam…
- Le… le Vietnam ?
- Ouais, le Vietnam !
- J’étais trop jeune pour y aller mais… j’ai vu des images.
- Elles sont loin du compte les images, loin d’la peur, d’la puanteur, des cochons qui bouffent des corps calcinés au napalm, le gosses qui laissent des grenades dans tes bottes…
- Ouais et après, on vous a tout mis sur le dos…
- On m’a craché au visage à mon retour.
- Ouais et la société, elle te doit des excuses. Je viens d’avoir une vision de toi tu sais, un gamin revenu du front tu vois, une machine à tuer, au chômage et mal re-inséré, il y’a un vrai potentiel d’émotion pour ça et concernant les hommes, ils sont du cote des perdants…
- Hahaha, tu es MINABLE Stu… Enfin réfléchis 30 secondes, des corps calcine au napalm, FAUDRAIT QUE J’AI 50 ANS POUR L’AVOIR FAITE CETTE GUERRE !!

Souffler c’est la clef.

Et ensuite il a couru vers mon couteau. Il a couru vers mon couteau 10 fois, et il en est mort !