Top - Citations de films de l'année 2002

J’ai pas besoin d’aide! J’ai pas besoin d’aide! J’ai besoin d’aide! Je vais mourir!

- Est-ce que tu viens encore de te saloper ?
- Peut-être bien. Ça a fait un gros son bien gras, surtout à la fin. Sentons un peu ça. Remuons bien l’odeur. On adore tous l’odeur de ses pets, ça a un côté magique. Bon, analysons celui-ci. Ouh, ça refoule la carotte et un peu le vomi. De quoi faire gerber un asticot. La brise d’anus d’une dépouille mortelle. Même la puanteur trouverait que ça schlingue. Un peu comme quand on passe devant chez les autres, on respire devant chaque porte et soudain on se pose la question : mais qu’est-ce qu’ils cuisinent ? Ça, plus de la merde en boîte.

On a fini ? Il faut que j’aille chier une torpille !

L’union du hip hop et du commercial était difficile à imaginer. Le hip hop avait toujours été quelque chose de local et de personnel qui n’appartenait qu’à moi, depuis Fab Five Freddy et Umtv Raps, tout ceux qui avait une télévision et le câble pouvait accéder au hip hop, je savais que j’allai devoir partager, et ça n’était pas facile de m’y faire.

- Ah le Kurde vas-y passe moi mon frère !
- Ah nan je peux pas désolé il est mort. Il a fait une faute de vocabulaire.
- C’est ta mère qui a fait une faute de vocabulaire.

Vous aurez les plus belles peurs de votre vie.

I need you like I need a fucking asshole on my elbow.

Dupont : And you, Preston, the supposed savior of the resistance, are now its destroyer, and, along with them, you’ve given me yourself… calmly… coolly… entirely without incident.
Recteur John Preston : [Le détecteur de mensonge s’affole] No. [Le détecteur montre que Preston est dangereusement calme]
Un technicien : Oh… Shit.
Recteur John Preston : Not without incident.

La vengeance c’est le droit de l’homme.

- Les petites enquêtes, vous vous souvenez ? Dès que vous avez envie d’abandonner une piste, recommencez, continuez vos recherches.
- Vous voulez que je la note ?
- Non, je m’en souviendrai…

Les types dans ton genre, je suis payé pour les arrêter. Tu représentes autant de mystère pour moi qu’une putain de chasse d’eau qui fuit pour un plombier.

C’est moins long que ça illico-presto.

[À Pauline] Ouais, c’est ça, c’est ça ! C’EST ÇA, CASSE-TOI ! CASSE-TOI ! BON VOLE ! MORUE, VA ! [À M. Martinet] Ça va, M. Martinet ? Ouais ? Chaud, aujourd’hui, hein ?

- Tu ferais quoi à ma place ?
- Ben j’essaierais de récupérer le coup, malin. Tu vois, je rentre chez moi, guilleret, je mets mes pieds sous la table, je dîne avec elle, je la fais sourire et je la baise à mort.
- À mort ?
- Ouais, à mort, veinard.
- Et si elle veut pas ?
- Si elle veut pas, tu lui mets une grande baffe dans sa gueule.

Cette île enchantée est la voie rapide conduisant au royaume des surnaturels. Depuis des siècles, elle abrite des créatures qui ont vécu sur l’île sans être dérangées. Et puis il y a dix ans, Émile Mondavarious a contrarié ces êtres séculaires en construisant un parc d’attraction. Les créatures sont furieuses, mes chers amis. Oooh oui, pendant que vous faîtes la bringue, elles préparent leur vengeance.

- Salut, je suis Penny. Penny Sénorme. Je ne suis peut-être qu’un modeste agent du FBI de province, mère célibataire mais plutôt dure et sexy !
- Mademoiselle Sénorme, on nique tout de suite ou on attend ?

Objectif : être témoin d’un miracle.

J’ai appris que les adieux feront toujours mal. Que les photos ne remplaceront jamais le plaisir qu’on éprouvait le moment où elles ont été prises. Que les souvenirs bons ou mauvais feront toujours pleurer et que les moments ne seront jamais aussi forts que les sentiments qu’on éprouve.

Rien ne rend plus solitaire qu’une insomnie, on a l’impression que cette foutue planète est déserte.

Eh, Super Scout, passe devant que je puisse te voir !