Top - Citations de films de l'année 2013

- Tu es heureuse ?
- Comblée. C’était les 2h36 les plus belles de ma vie.

- Moi si je devais choisir un super pouvoir, je voudrais la capacité de parler espagnol. Ce serait sidérant de pouvoir dire des trucs du style « Holà », « Gaspacho ».
- Tu viens de le dire.

- Je suis un mec zen, toi tu es un peu coincée…
- Mais pas du cul hein !

Naomi : J’m’étais dit : « bonne pioche, t’as épousé un médecin ». Et là tu te rends compte que chaque matin tu verras les mêmes oreilles pleines de poils, tu contempleras le même ongle de pied rongé par une mycose, et tu devras supporter cet horripilant raclement de pharynx qu’il va faire jusqu’au jour où on t’enterrera.
Nat : Et le même pénis. Il se pourrait que je ne vois plus jamais aucun autre pénis. Sauf si on a un petit garçon.
Chloe : Ou sauf si tu te fais violer.

J’te sauterais bien. Si tu me le demandes. Si j’devais faire une liste des femmes que je sauterais volontiers, tu serais dedans. La numéro sept.

- Pourquoi tu bouffes pas un sandwich ?
- J’boufferais un sandwich si tu veux, mais ce sera un sandwich sans pain parce que je suis allergique au gluten.

- Tu as vu mon téléphone ?
- Nan, où il était la dernière fois ?
- Bin si je le savais il serait pas perdu. C’est le propre des choses qu’on perd.

À chaque fois que j’expulserais un petit peu d’air je penserai à vous.

- Est-ce que je suis autorisé à vous dire que vous êtes superbe ?
- En théorie non, ce serait considéré comme du harcèlement sexuel.

- Il faut que je te parle Nat. Je crois que je t’ai pas assez dit que tu étais une femme incroyable. Tu es belle, perspicace brillante et spirituelle. Tu es parfaite, tu es l’épouse parfaite. Mais pas pour moi. Toute mon existence j’ai guetté la femme de ma vie, et je sais aujourd’hui que ce n’est pas toi. Ta façon de plisser le nez quand tu rigoles ne me plaît pas du tout. Ton adorable manie de t’ébouriffer les cheveux m’irrite passablement. Je voulais chérir toutes les facettes de ta personne, mais en fin de compte il ne s’est rien passé. En fait ce que j’essaie de te dire c’est… Natash Moss, veux tu divorcer ?
- Oui ! Oui ! Oui ! Je le veux ! Plus que tout !

J’peux pas vivre sans toi. J’arrête pas de penser à toi du matin au soir, j’ai besoin de toi et je sais parfaitement que c’est réciproque.

L’amour ? Pffff… ça, c’est pour les gays !

Quand j’suis couché j’ai l’impression de t’entendre rire à côté de moi. J’arrive pas à travailler parce que j’arrête pas de penser à nous deux. Tu représentes tout ce que j’ai toujours cherché chez une femme.

- Ce type est tellement fade, insipide… Me dis pas que tu l’aimes.
- C’est quoi cette histoire ? Josh, à quoi on joue là ?
- Quoi ? Comment ça ?
- T’es au courant que je t’aime Josh, rassure-moi. Tu te rends compte que je suis amoureuse d’un homme qui vient de se marier ? Et toi tu fais semblant de ne rien voir.

Je ne suis pas pétillant. Je ne pétille avec personne d’autre. VOUS, me faites pétiller.

C’est bon, il n’y aura aucun suicide. J’ai même pas de rasoir. Je m’épile. Ça doit être difficile de s’épiler à mort.

Je n’ai rien dit, parce que je me suis dit qu’on gagnerait un client si je flirtais avec vous, et finalement j’y ai pris goût au point de… souhaiter que ça ne s’arrête pas.

Oui je sais, vous n’aviez jamais remarqué a quel point j’étais séduisant. Mais va falloir arrêter de me fixer Docteur !

Dream of us.

C’est un peu comme si tout ce qui était naturel était vicieux et tout ce qui était vicieux était naturel.