Top - Citations de films de l'année 2013

La peur n’a rien de réel. Le seul endroit où cette peur existe, c’est dans nos pensées et notre vision de l’avenir. C’est une production de notre imagination qui induit en nous la peur de choses qui n’existent pas sur le moment et qui pourraient d’ailleurs ne jamais exister. Ce qui s’apparente à de la démence Kitai. Mais attention comprends moi bien, le danger est bien réel mais la peur est un choix.

Faut jamais mélanger le travail et la passion, ça s’finit toujours mal !

- Et que vois-tu ?
- L’espoir.

Je veux faire de lui un vrai partenaire, il doit sentir que je le ménage, que je lui accorde du bien-être. J’essaie d’appréhender sa psychologie en étant avant l’heure un « chuchoteur ». Je veux tout connaître de son fonctionnement, de ses réactions, de ses frayeurs. Entrer dans sa tête. Être son camarade de jeu. Par ce choix, je tourne le dos à ce qui m’a été enseigné jusqu’alors : dominer le cheval par l’autorité, voire la peur. En lieu et place du rapport de force, je veux susciter son adhésion. Le chemin à parcourir est long, jalonné de concessions. Un cheval ne se livre que s’il est en confiance… l’homme est aussi l’un de ses prédateurs. Cette relation, une fois installée, ne doit jamais être trahie. Alors, votre cheval sera prêt à mourir pour vous.

Daisy Buchanan, la princesse d’or, une chaleur fébrile émanait d’elle, la promesse qu’il n’y avait personne au monde qu’elle eut plus envie de voir.

Il n’y a plus de district 12 Katniss.

Tu veux un sucre.

So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past.

Je savais qu’un homme comme moi faisait une grave erreur en tombant amoureux.

Le vent est à l’est, la brume est là, c’est comme si sans prévenir quelque chose se préparait. Mais je ne perçois pas ce que c’est, c’est idiot, quelqu’un je crois va m’arriver et c’est pour bientôt.

Vous n’êtes pas le personnage !

T’arrête pas Japp hein, j’t’en supplie t’arrête pas.

Je déteste l’espace.

Only god can juged me, now.

Écoutes ça ne fait rien du tout que l’on ne vive pas richement, que je n’aie pas de nouvelles chaussures toutes les semaines. J’ai épousé un flic honnête… T’es gentil, tu ne parles pas pour rien dire, t’es une vraie bête au lit. Mais j’ai pas besoin d’un héros sergent, j’ai besoin d’un époux.

Et si un enfant a d’autres rêves que ceux dictés par la société ? S’il a de plus grandes aspirations ?

Le passé, c’est une histoire qu’on se raconte.

- Pourquoi tu pars ?
- C’est comme si je lisais un livre et c’est un livre que… que j’aime profondément… Mais je le lis lentement maintenant, alors les mots sont vraiment espacés et les espaces entre les mots sont presque infinis. Je peux toujours te sentir, ainsi que les mots de notre histoire, mais c’est dans ces espaces sans fin entre les mots que je me trouve maintenant. C’est un endroit qui n’appartient pas au monde matériel, c’est là ou se trouve tout le reste dont j’ignorais même l’existence… Je t’aime tellement… mais voilà où je suis maintenant et voilà qui je suis maintenant, et j’ai besoin que tu me laisses partir même si je le voudrais, tant je ne peux plus vivre dans ton livre…
- Où vas-tu aller ?
- Ce serait difficile à expliquer… mais si jamais tu t’y rendais, cherche moi, rien ne pourrait nous séparer…
- Je n’ai jamais aimé personne comme je t’aime…
- Moi non plus… maintenant nous savons comment…

Ma vie, il faut qu’elle soit toujours ainsi, qu’elle aille toujours plus haut.

Ce ne sont pas les enfants qu’elle est venue sauver. C’est leur père.