Série - Goldorak

Tu as mal joué ton rôle, disparais !

- Imbécile, comment peut-on être battu par Actarus quand on commande les armées de Véga ?
- Mais tu sais bien qu’il possède Goldorak !
- C’est bien ce qui m’ennuie ! Puisqu’il en est ainsi, nous ne pourrons prendre aucun repos ! Il faut attaquer la Terre et détruire Goldorak !

Voilà le Prince d’Euphor, tout le monde à l’attaque, vite !

Je ne me débarrasserai jamais de ce monstre !

- Malédiction, ils ont compris notre stratagème. Comment ont-ils deviné que les cygnes étaient cybernétisés ?
- Général Horos, les cygnes finiront par être tous abattus. Changeons de tactique et lançons notre attaque sur le Centre !
- Mais c’est une erreur, je crains que leurs retro défenses soient déjà en place !
- Il faut essayer quand même !
- C’est inutile !
- Obéissez !
- Je n’ai pas d’ordres à recevoir !

- Imbéciles ! Pendant que vous vous disputez, vos oies se font massacrer !
- Ce ne sont pas des oies, ce sont des cygnes !
- Ce détail n’a pas d’importance ! Agissez, c’est tout !
- À tes ordres ! Allez, attaque générale contre Goldorak ! Concentrez-vous tous sur Goldorak et le Prince d’Euphor !

- Il nous attaque ! Vite, échappe-toi dans la soucoupe de sauvetage !
- Qu’est-ce que tu vas faire ?
- Je vais tenter d’arrêter Goldorak par n’importe quel moyen !
- D’accord, bonne chance !
- Prince d’Euphor, tu vas payer maintenant !

Oui, je peux très faire disparaître mais ne pas changer le destin d’Actarus.

Creusons-nous la cervelle ! Procyon n’est certainement pas invulnérable !

La soucoupe amirale disparut dans une immense explosion et Hydargos périt mais il allait être bientôt être remplacé par un autre adversaire encore plus impitoyable et le massacre continuera et Dieu ne sait quand il se terminera puisque de toute façon nous sommes condamnés à vaincre ou périr.

- Je te remercie Alcor car sans toi je ne serais plus de ce monde !
- Actarus, je sais que tu aimes cette Terre plus que tout, tu l’aimes plus que n’importe lequel d’entre nous, tu es mon frère !
- Merci Alcor ! Je ne laisserai jamais personne envahir ce pays !

- Maintenant, nous sommes vraiment les Frères de l’Espace !
- Dis donc, on s’en souviendra longtemps du premier raid d’Alcorak !
- J’aime beaucoup ce nom là !

- Appuie-toi à moi Actarus ! Qu’est-ce que tu veux voir ?
- Je veux voir la ville !
- La ville mais tu ne peux pas la voir d’ici !
- L’important c’est de voir qu’elle tient toujours là et qu’il y a des gens dont le cœur bat contre ceux qui voulaient la détruire !
- Je te comprends ! Moi aussi, je sens vivre la ville !

- Moi, j’en ai un !
- Ah, tu parles sérieusement ?
- Oui, l’Opération Pégase !
- Qu’est-ce que c’est ?
- Regarde !
- Qui sont ces créatures ?
- Ce sont des cybernétisés de mon invention : Cyber un, Cyber deux, Cyber trois, Cyber quatre.
- Qui est le minuscule ?
- C’est Cyber quatre ! Il jouera le rôle de Rigel !
- Ingénieux, je te donne carte blanche ! Nous avons peut-être une chance !
- J’en suis sûr Grand Stratéguerre !

- Alcor, pourquoi me suis-tu ?
- Je veux connaître la vérité sur toi !
- Tu te méfies de moi ? Je suis le fils de Procyon et je m’appelle Actarus !
- Tu peux tromper les autres mais pas moi, je veux savoir qui tu es et je te jure que je le saurai !
- Je ne suis qu’un être humain qui aime passionnément le pays dans lequel il vit.
- Ce que tu dis ! J’ai comme dans l’idée qu’il y a autre chose !
- Laisse-moi partir ! Je me moque de ce que tu crois !
- Tu ferais aussi mieux de me dire la vérité !
- Ne reste pas là ! Ah, l’idiot ! Alcor tu es blessé ? Pourquoi tu as fait ça ?
- Maintenant, tu vas me dire qui tu es !
- Alors, je suppose que tu es content de toi !
- Ne t’inquiète pas ! Je finirai par savoir qui tu es !

Je suis amoureux de Vénusia mais Vénusia est amoureuse d’Actarus !

Professeur, vous avez un fils ! Maintenant, vous aurez une fille !

Les hommes de cette division sont les plus dangereux que je connaisse. Ils ne craignent ni Dieux, ni les diables, ni les loups.

- Décidément, cet homme est invincible, rien à faire !
- Si, il y a quelque chose à faire : c’est de lancer une attaque générale !
- Tu crois qu’une attaque générale depuis le camp de la Lune Noire va suffire ?
- Exactement !
- Ça ne marchera pas !
- Silence, tu as essayé, tu as échoué ! Décidément une guerre n’est pas un travail de femme ! Ah
- Comme ça au moins tu me ficheras la paix ! J’en ai assez d’être dirigée par les autres, il est grand temps que je me prenne en mains moi-même.

Nous allons rire, Missiles Epsilon !