Série - Goldorak

L’emblème de la Division Ruine ! C’était l’emblème qu’avaient arboré les envahisseurs qui ont anéanti Euphor ! Voilà le sens caché de mon rêve, le Grand Stratéguerre a mobilisé la Division Ruine pour me tuer ! Et pour y parvenir, ils tueront des milliers d’hommes.

- Quoi, le Capitaine Janus a échoué ?
- Oui, battu à plates-coutures !
- Même la Division Ruine ne peut rien contre le Prince de l’Espace !
- Commandant Minos, je te fais le serment qu’Actarus ne sera vaincu que par moi, je le jure.
- Je te le conseille, Hydargos !
- Je te le jure. S’il croyait que j’allais laisser cette gloire à un vulgaire capitaine, c’est qu’il me connaît bien mal ! Cet honneur m’est réservé à moi.

Janus : Eh, alors ! Où est Actarus ! Je sais qu’il est tout près ! Si tu veux vivre, dis-moi où il se cache !
Alcor : Ce chantage est inutile, je ne te dirai rien ! Je n’ai pas peur de mourir !
Janus : Tu bluffes ! Tout le monde a peur de disparaître ! Dis-moi où il est, c’est ta dernière chance !
Alcor : Cause toujours, tu ne m’intimides pas ! Tu sais bien que je ne dirai rien alors écrase-moi tout de suite et finissons-en !
Janus : Pourquoi un terrien protège-t-il le Prince de l’Espace ?
Alcor : Parce que nous sommes d’accord ! Parce que nous sommes d’accord, parce que nous luttions tous les deux pour que la paix règne !
Janus : Ah les oeuvres de bonne volonté m’ont toujours beaucoup amusées ! Assez bavardé, Actarus ! Prépare-toi à aller visiter les enfers !
Alcor : Actarus, va-t-en, je t’en prie !
Actarus : Tu crois que je vais te laisser mourir seul ?
Janus : Eh bien, adieu, Actarus !

- Que voulez-vous ?
- Professeur Procyon, je suis le Commandant Minos, chef suprême des Forces de Véga !
- Oui, je vois que vous n’êtes pas le bon Dieu, que voulez-vous ?
- Vous donner un bon conseil : si vous ne voulez pas que la ville soit entièrement rayée de la carte du monde, veuillez me remettre Goldorak et le Prince d’Euphor. Je vous signale que la vie de 12 millions d’hommes est en jeu.
- S’il ne s’agissait que moi, je dirais non, mais je ne peux agir seul dans cette circonstance.
- Si vous pensez que la décision revient au Prince d’Euphor je suis d’accord mais laissez-moi vous montrer ceci Professeur : mettez la bombe sur explosion à retardement. Vous avez maintenant cinq minutes pour vous décider, 300 petites secondes, ça passe vite Professeur.
- Cinq minutes seulement ?
- C’est plus qu’il n’en faut pour sauver ou sacrifier la vie de 12 millions d’individus. Quand vous serez prêt, vous me donnerez votre réponse.
- Mon Dieu que faire ? Je n’ai pas 36 solutions. J’ai le choix entre mon fils ou la bombe !

À tes ordres ! Moi, Général Hydargos jure de vaincre Goldorak et le Prince d’Euhpor jusqu’au péril de ma vie s’il le faut !

Je ne le laisserai pas vaincre Actarus, cette gloire m’est réservée à moi !

Goldorak s’est laissé manœuvré comme un enfant.

- Actarus ? Actarus c’est toi qui était là-haut ?
- Là-haut ! De quoi est-ce que tu parles ?
- Je croyais t’avoir reconnu !
- Tu passes ton temps à rêver, Alcor !
- J’aurais juré que c’était lui ! J’en aurais le cœur net !
- Le palefrenier retourne s’occuper de ses chevaux !

- Papa vite, Tara est en train de mourir !
- Mizar, arrête de me répéter sans arrêt la même chose, tu me l’as dit cinq fois déjà !
- Non, pas cinq fois, six fois !
- Ah, oui ça fait bien six fois !

La destruction de la soucoupe amirale nous a permis de nous débarrasser d’un adversaire mais il allait bientôt être remplacé par un autre et le massacre continuera et nous serons obligés de combattre et être condamnés à vaincre ou à périr.

Allez Goldorak montre-toi et mes cygnes te mettront en pièces !

Nous devons faire comprendre au peuple de la Terre que nous sommes les plus forts, que les armées de Véga sont invincibles, je compte sur vous tous, préparez-vous !

- On dit que les Golgoths de la Division Ruine sont les plus redoutables. Aucun OVT ne peut leur résister et je ne sais même pas si Goldorak le peut.
- C’est pour ça qu’il veut être seul !
- Oui, il ne voulait pas t’envoyer à une mort certaine !

Alcor : Actarus, pourquoi as-tu abandonné la Terre ? Cette Terre que tu aimes tant ?
Actarus : Ne parle pas sans savoir Alcor, je n’ai pas encore dit mon dernier mot !
Hydargos : Veux-tu dire tes dernières volontés, Acatarus ?
Actarus : Écoute, Hydargos ! Ne crie pas victoire trop vite ! Tu n’as pas encore gagné !
Hydargos : Ha, ha, ha ! Cette fois, je ne vois vraiment pas comment tu vas t’en sortir Actarus. Attachez-les aux croix !

Il ne faut pas se décourager ! Ne perdons pas espoir, on ne sait jamais ! Un match n’est pas terminé tant que n’a pas retentit le coup de sifflet final !

- Ha, ha, ha, ha ! Prince d’Euphor, c’est moi qui vais te tuer !
- Puisqu’il y a cette guerre à faire, je la ferai !

- Si seulement notre base était terminée, nous pourrions détruire le Centre en 30 minutes. Il faut intensifier la cadence du travail.
- Quand nous passerons à l’attaque, les techniciens du Centre n’auront plus le temps de réagir
- Ha, ha, ha, ha, ha, ha !

- Regarde, Goldorak !
- Oh !
- Mais, comment a-t-il pu arriver à découvrir l’entrée du tunnel ?
- S’il détruit l’entrepôt, on va prendre du retard.

Le Grand Stratéguerre : Bandes d’imbéciles, je vous avais dit de ne commettre aucune erreur même la plus minuscule. Regardez ça !
Horos : C’est la fusée que nous avions repérée !
Le Grand Stratéguerre : Idiots ! C’est la dernière trouvaille de Procyon !
Minos : Quoi ?
Horos : Seigneur !
Le Grand Stratéguerre : Horos, tu t’es laissé berner comme un gamin. Tu es indigne des responsabilités que je t’ai confiées.

Horos : Grand Stratéguerre, laisse-moi une nouvelle chance. Je t’en prie. Je te jure de terminer la construction de la base en temps utile.
Le Grand Stratéguerre : Entendu, je vous accorde un sursis à tous les deux. Mais si la construction de la base n’est pas achevée dans 10 jours, ce sera la dégradation !
Minos : À tes ordres ! Rah !