Acteur / Actrice - Daniel Radcliffe

Je suis Harry, juste Harry !

Faites appel à un souvenir extrêmement fort, le plus heureux de tout vos souvenirs. Laissez-le vous envahir.

Horace Slughorn : [Par rapport à la mort d’Aragog] Voulez-vous que je prononce quelques-mots ?
Hagrid : Oui !
Horace Slughorn : Il avait une famille, j’imagine ?
Harry : Oooh oui !

- Étrange ! Vraiment très étrange !
- Excusez-moi, mais qu’est-ce qui est étrange ?
- Je me souviens de chaque baguette que j’ai vendue, Mr Potter. Or, il se trouve que le phénix, sur lequel on a prélevé la plume qui est dans votre baguette, a fourni une autre plume, une seule autre plume. Il est étrange que ce soit cette baguette qui vous ait convenu quand on sait que sa sœur vous a fait cette cicatrice !
- Et qui possédait cette baguette ?
- Oh, on ne prononce pas son nom. La baguette choisit son sorcier, Mr Potter. Les raisons n’en sont pas toujours suffisantes, mais ce qui est évident, c’est que vous êtes appelé à faire de grandes choses ! Après-tout, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom a fait de grandes choses terribles ! Certes, mais stupéfiantes !

- Qu’est-ce que j’ai raté ?
- Le choixpeau nous a conseillé d’être forts et courageux en ces temps de trouble. Ça lui est facile de dire ça, c’est un chapeau !

- Tu sais, par moment, j’oublie combien tu as grandi. Par moment, je vois encore le petit garçon dans le placard. Pardonne ma sensiblerie, je suis un vieil homme.
- À mes yeux, vous êtes resté le même.
- Tout comme ta mère, tu as beaucoup de cœur, une qualité que les gens sous-estiment trop souvent, je le crains.

Harry : C’est Malefoy qui a ensorcelé le collier.
McGonagall : Il s’agit d’une accusation très grave, Potter !
Rogue : En effet ! Votre preuve ?
Harry : Je le sais, c’est tout.
Rogue : Vous le savez, c’est tout ? Une fois encore, on est stupéfié par vos dons, Potter. Des dons que les simples mortels ne peuvent que rêver de posséder. Comme ça doit être fabuleux de savoir qu’on est l’élu.

- Mais s’il tue par un simple regard, pourquoi personne n’est mort ?
- Personne ne l’a regardé dans les yeux.

Plus on s’attache, plus on a à perdre.

- Papa, et si je me retrouve à Serpentard ?
- Albus Severus Potter, tu portes les prénoms de deux directeurs de Poudlard. L’un d’eux était un Serpentard et l’homme le plus courageux que j’ai connu.
- Mais si c’était le cas ?
- Alors la maison Serpentard gagnerait un merveilleux jeune sorcier. Mais, écoute, si vraiment ça a une telle importance pour toi, tu peux choisir Gryffondor. Le choixpeau tient compte de vos préférences.
- Vraiment ?
- Vraiment.

- Endoloris !
- Hinhinhinhin ! Potter, il faut vouloir la souffrance de l’autre, aimer le faire souffrir !

- Comment avez-vous eu cette épée ?
- C’est compliqué. Pourquoi Bellatrix Lestrange pensait qu’elle devait être dans sa chambre forte à Gringotts ?
- C’est compliqué.

Ron : Dès que j’ai transplané, j’ai voulu revenir. Mais je savais pas comment vous retrouver.
Harry : Oui, comment tu nous as retrouvé ?
Ron : Avec ça [Il sort l’absorbeur de lumières]. Il ne fait pas qu’éteindre des lumières. Je sais pas comment il fonctionne, mais le matin de Noël, je m’étais endormi dans un pub. Je me cachais d’une bande de raffleurs et je l’ai entendu.
Harry : Quoi ?
Ron : Une voix. Ta voix, Hermione. Elle venait de là.
Hermione : Et qu’est-ce que je disais si je suis pas indiscrète ?
Ron : Mon nom, seulement mon nom comme un murmure. Alors je l’ai prit, je l’ai actionné. Une petite boule lumineuse est apparu et j’ai su. Et c’est vrai, la boule de lumière a flotté vers moi droit sur ma poitrine et elle est entrée en moi. Juste là [Il indique sa poitrine gauche] et j’ai su qu’elle m’emmènerait là où j’avais besoin d’aller. Alors j’ai transplané et je me suis trouvé dans cette forêt. Il faisait nuit et je ne savais pas où j’étais. Tout ce que j’espérais, c’est que l’un de vous se montrerait et c’est arrivé.

- Harry ! Je me dois d’insister, retournez avec moi au château, immédiatement !
- Ah, ce serait contre-productif monsieur.
- Mais qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Aucune idée !

- C’est une élève qui m’avait offert Francis. Un jour de printemps, j’ai trouvé un bocal sur mon bureau avec juste quelques centimètres d’eau dedans et flottant, à la surface, un pétale de fleur. Tandis que je le regardais, il s’est enfoncé. Juste avant qu’il ne touche le fond, il s’est transformé en un minuscule poisson. C’était de la belle magie, magnifique à voir. Ce pétale venait d’un lys ou d’une Lily, votre mère. Le jour où je suis descendu, où j’ai trouvé le bocal vide, c’était le jour où votre mère… je sais pourquoi vous êtes là, mais je ne peux rien pour vous. Cela causerait ma perte.
- Vous savez pourquoi j’ai survécu, monsieur ? La nuit où j’ai eu ça [Il montre sa cicatrice] ? Parce-qu’elle était là. Parce-qu’elle a donné sa vie pour me sauver. Parce-qu’elle a refusé de s’écarter. Parce-que son amour était plus fort que Voldemort.
- Pas ce nom s’il vous plaît !
- Je n’ai pas peur de ce nom, professeur. Je vais vous dire quelque-chose, quelque-chose que les autres n’ont fait que deviner. C’est vrai, je suis l’élu. Moi seul peut le détruire. Mais pour y arriver, j’ai besoin de savoir ce que Tom Jedusor vous a demandé il y a des années dans votre bureau et ce que vous lui avez dit. Soyez courageux, professeur ! Soyez courageux comme ma mère ! Sinon, vous ne lui faîtes pas honneur. Sinon, elle est morte pour rien. Sinon, le bocal restera vide à jamais.

- Elle ne s’intéresse à toi uniquement parce qu’elle pense que tu es l’élu !
- Mais je suis l’élu.

Non merci, je sais choisir mes amis.

Hermione : Flamel est le seul à avoir fabriqué la pierre philosophale.
Ron et Harry : La quoi ?!
Hermione : La pierre philosophale.
Ron et Harry : La quoi ?!
Hermione : La pierre philosophale.
Ron et Harry : La quoi ?!
Hermione : La pierre philosophale…
…
Ron et Harry : La quoi ?!
Hermione : Ça ne vous arrive donc jamais de lire ?
Ron : Non !

- Par la barbe de Merlin, il s’agit d’une vraie acromantule ?
- D’une acromantule morte, monsieur…

- C’est intime !
- C’est un placard à ballet.
- Tu devrais te sentir chez toi alors !