- Qu’est-ce qui te prend, McFly, mauviette ? Mauviette ! - De quoi m’as-tu traité Griff ? - J’t’ai traité de mauviette ! Mauviette !
- J’te remercie beaucoup mais maintenant tu fais comme dans l’infanterie, tu te casses ailleurs. - Tu te tires ailleurs triple buse, tu fais comme dans l’infanterie et tu te tires ailleurs, t’as l’air d’un demeuré quand tu l’dis de traviole.
- J’te remercie beaucoup mais maintenant tu fais comme dans l’infanterie, tu te casses ailleurs. - Tu te tires ailleurs triple buse, tu fais comme dans l’infanterie et tu te tires ailleurs, t’as l’air d’un demeuré quand tu l’dis de traviole.
À cause de toi, j’ai eu 300 tickets de réparation sur ma voiture espèce de sale fils de pute. Tu vas me le payer.
- Vous faites du grabuge Tannen ? - J’fais pas de grabuge Marshall, juste une affaire privée entre moi et Eastwood, ça regarde pas les forces de l’ordre ! - Ce soir, tout regarde les forces de l’ordre, je ne veux pas d’attroupement. À la moindre rixe c’est 15 jours dans les geôles du Comté ! Allons ceci est un bal ! En piste et que tout le monde s’amuse.
Hey, McFly ! J’croyais que j’t’avais de plus foutre les pieds ici ! T’es pas Seamus McFly ? J’suis sûr que tu lui ressembles surtout avec ce galurin à la noix ! T’es parent avec ce coupe-foin ? Ton nom c’est quoi pied-tendre ?
- Quand vas-tu fourrer ça dans ta tête de linotte ? T’es ma gonzesse ! - Biff Tannen, je ne serai jamais votre gonzesse comme vous dites même si vous aviez un million de dollars. - Oh que si tu verras ! Ce sera toi et moi et pas autrement. Je me marierai avec toi Lorraine ! Un jour tu seras ma femme !
- Huit heures lundi matin avorton et si t’es pas là, j’irai te traquer et te tirer comme un sapin. - Heu ! Lapin patron, tirer comme un lapin ! - Allez les hommes, on s’en va ! Laissons ces fillettes finir leur valse.
Dr. Emmett Brown : Arrête ton cirque ! Va au diable, Tannen ! Buford Tannen : Non, toi tu vas y’aller ! Tout droit, en enfer ! Toi ? Marty : Eh, tu nous lâches espèce de tâche ?
- T’es là d’dans Eastwood ? Il est huit heures ! Alors, viens te battre si t’es pas un lâche ! - Mais, il est pas encore huit heures ! - Bah à ma montre ouais ! Finissons en tout de suite ou est-ce que t’as rien dans les tripes ? - Écoute ! Je n’me sens pas trop d’attaque pour aujourd’hui ! Alors, il va falloir que je déclare forfait ! - Forfait, forfait, quoi ?
- Dégaine ! - Non ! J’croyais qu’on pouvait régler ça entre hommes Tannen ! - Bah, T’as mal cru pied-tendre ! [Il le descend]
Buford Tannen : Eh, ben qu’on en finisse ! Tout de suite ! Un homme de main de Bufford Tannen : Pas maintenant, patron ! Le Marshall a nos armes. Buford Tannen : C’est ce que je disais, on en finit demain ! Un homme de main de Bufford Tannen : Demain, on est à Pine City, on attaque la diligence ! Buford Tannen : Bon, lundi, on fait quelque chose ? Un homme de main de Bufford Tannen : Non, c’est bon, tu peux le buter ! Buford Tannen : Je vais revenir lundi, je te retrouve ici et on réglera ça d’homme à homme dans la grande rue devant le Saloon Palace ! Marty : Ça me convient ! À quelle heure ? Un duel au soleil ? Buford Tannen : Mais qu’est-ce qu’il dit ? Je troue la peau des gens avant mon petit déjeuner ! Lundi matin sept heures !
- Qu’est-ce qu’il y a pied-tendre ? Où tu vas ? T’as les foies ! C’est bien c’que j’pensais ! - Personne ne me dit que j’ai les foies !
- Debout, debout tout l’monde ! J’ai un avorton à descendre ! - C’est encore tôt, patron ! Qu’est-ce qui se passe ! - J’ai faim !