Kaakook

Acteur / Actrice - Thomas F. Wilson

Thomas F. Wilson joue dans :


Répliques de Thomas F. Wilson (49)

- On a un nouveau tribunal ! Ça manquait d’pendaisons ces temps-ci !
- Ouais, vas-y, Buford ! Pends-le ! Tire-le ! Hé, les gars, regardez-le gigoter !
- Ça fait longtemps qu’on n’avait pas pendu quelqu’un les gars !
- Ouais c’est vrai ça !


- T’as toujours su y faire avec les femmes !
- Hé, mais dégage de ma bagnole, papy, mais qu’est-ce que… ?
- Tu veux te marier avec cette fille ? Je sais comment faire pour y arriver !
- Ah, ouais, t’es qui ? Madame courrier du cœur ?
- Monte dans la voiture, banane !


- T’as toujours su y faire avec les femmes !
- Hé, mais dégage de ma bagnole, papy, mais qu’est-ce que… ?
- Tu veux te marier avec cette fille ? Je sais comment faire pour y arriver !
- Ah, ouais, t’es qui ? Madame courrier du cœur ?
- Monte dans la voiture, banane !


- Allez, vide ton sac, gamin ! Qu’est-ce que tu sais à propos de ce bouquin ?
- D’abord, je veux savoir comment tu l’as eu, à quel endroit, de quelle façon et à quel moment ?
- Très bien, assieds-toi ! Assieds-toi ! Le 12 novembre 1955 voilà quand je l’ai eu !
- Le 12 novembre 1955 mais c’est le jour où je suis parti dans… c’est le jour où la foudre est tombée sur l’horloge de l’hôtel de ville.
- T’es fort en histoire, c’est bien ça ! Je n’oublierai jamais ce samedi, je venais de reprendre ma bagnole car je l’avais envoyée dans le décor en faisant un rallye quelques jours plus tôt.
- Je croyais que tu l’avais encastrée dans un camion de fumier !
- Comment peux-tu savoir ça ?
- Mon père, c’est mon père qui me l’a dit !
- Ton père ?
- Avant de mourir !
- Oui bien sûr ! J’avais repris ma bagnole et je ne demandais rien à personne et y’a ce vieux crouton qui se pointe avec sa canne à la main, il me dit qu’il est un parent éloigné, j’avais pas la moindre ressemblance alors il me fait « ça te dirait d’être riche ? » alors je lui ai dit « ouais bien sûr ! ». Et il me refile ce bouquin, il m’a dit que dedans, il y’a les résultats de tous les évènements sportifs jusqu’à la fin du siècle, tout ce que j’ai à faire c’est de miser sur le vainqueur et je gagnerai à tous les coups. Mais enfin ce que tu fais c’est quoi, de l’arnaque ? Y’a pas d’arnaque il m’a dit seulement il faut que t’en parles à personne ! Après ça il a disparu et je l’ai jamais revu. Il m’a encore dit autre chose aussi qu’un jour, y’aurait peut-être un vieux savant cinglé au regard fou ou un sale gamin qui viendraient roder par ici et poser des questions au sujet de ce bouquin et qu’au cas où ça se produirait, C’est drôle, j’aurais jamais cru que le gamin ça serait toi.
- Mais Biff ce que tu oublies… oh regarde là !


- Vas-y gamin, saute ! Bonne idée le suicide, ça m’arrange !
- Et si je veux pas sauter ?
- Indigestion de plomb !
- Et la Police, tu y’as pensé Biff ? Ils sauront que la balle vient de ton revolver !
- C’est moi qui donne des ordres à la Police. Et puis d’ailleurs, ils n’ont jamais su d’où venait la balle qui a descendu ton père.
- Espèce de sale…
- Tu vois ça ? C’est une drôle de justice !


- T’as les foies ?
- Personne… Ne me dit que j’ai les foies.


- Eh, banane ! Tu croyais m’entuber avec ce déguisement idiot ? On va régler nos comptes toi et moi, terminé, fini la rigolade.
- Non, merci, Biff !
- Bah qu’est-ce que t’as ? Où tu te barres comme ça ? Attends, t’es une mauviette ? Ouais c’est ça ! Tout ce que t’es, c’est une petite mauviette.
- Personne ne me traite de mauviette, ouille !
- Le salaud, tu me piques mes affaires ?
- Ah !
- Et ça, c’est pour ma bagnole !
- Ouille !


Dr. Emmett Brown : Arrête tout de suite, va au Diable Tannen !
Buford Tannen : Non, toi tu vas y aller, tout droit, en enfer ! Toi ?
Marty : Eh, tu nous lâches espèce de tâche ?
Buford Tannen : Pour causer, t’es fortiche l’avorton. T’as rien d’autre dans le bille qu’à balancer un plat à tarte ?
Marty : Écoutez, laissez mes amis tranquille et c’est tout.
Buford Tannen : Ben qu’est-ce qu’il y a pied-tendre ? Où tu vas comme ça ? T’as les foies ? Ouais, c’est bien ce que je pensais.
Marty : Personne ne me dit que j’ai les foies.
Buford Tannen : Eh ben qu’on en finisse, tout de suite !
Un homme de main de Bufford Tannen : Pas maintenant patron, le Marshall a nos armes.
Buford Tannen : C’est bien ce que je disais, on en finit demain.
Un homme de main de Bufford Tannen : C’est que demain, on est à Pine City, on attaque la diligence.
Buford Tannen : Bon, Lundi, on fait quelque chose Lundi ?
Un homme de main de Bufford Tannen : Euh, non ! C’est bon tu peux le buter !
Buford Tannen : Je vais revenir Lundi, j’te retrouve ici et on réglera ça là-dehors, dans la grande rue, devant le Saloon Palace.
Marty : Ça me convient, à quelle heure ? Un duel au Soleil ?
Buford Tannen : Mais qu’est-ce qu’il raconte ? Je troue la peau des gens avent mon p’tit déjeuner, Lundi matin à sept heures.
Marty : Non, huit heures ! Je troue la peau des gens après mon p’tit déjeuner.
Dr. Emmett Brown : Marty ! Euh, non !
Marshall Strickland : Ça suffit, dispersez-vous, qu’est-ce qui se passe ? Vous faites du grabuge Tannen ?
Buford Tannen : Je fais pas de grabuge Marshall, juste une affaire privée entre moi et Eastwood, ça regarde pas les forces de l’ordre.
Marshall Strickland : Ce soir tout regarde les forces de l’ordre alors je ne veux pas d’attroupement et à la moindre rixe, ce sera 15 jours dans les geôles du Comté allons tout le monde, ceci est un bal alors en piste et que tout le monde s’amuse.
Buford Tannen : Huit heures, Lundi matin avorton ! Et si t’es pas là, j’te traquerai et j’te tirerai comme un sapin.
Un homme de main de Bufford Tannen : Euh, c’est lapin patron, on dit Tirer comme un lapin.
Buford Tannen : Bon allez les hommes on s’en va ! Laissons ces fillettes finir leur valse.


Buford Tannen : Lundi, on fait quelque chose lundi ?
Un homme de main de Bufford Tannen : Non on fait rien lundi, c’est bon tu peux le buter lundi !
Buford Tannen : J’vais rev’nir lundi ! Et j’te retrouve ici ! Et on réglera ça, là dehors devant le Saloon Palace !
Marty : Ça me va, un duel au soleil ?
Buford Tannen : huh ? Mais qu’est ce qu’il raconte ? Je troue la peau des gens avant mon p’tit déjeuner ! Lundi matin ! sept heure !
Marty : Non ! huit heure, je troue la peau des gens après mon p’tit déjeuner.


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