Acteur / Actrice - Anne Hathaway

Comtesse de Feuillide : Fort heureusement, le gros de ma fortune était transportable, donc…
Le juge Langlois : Aaaaaaaaaaaaah !
Jane Austen : Oui, un bien transportable, c’est le bonheur dans un portefeuille.

Tom Lefroy : Oui mon oncle. Et demain, nous en rencontrons une autre : Madame Radcliffe. C’est une femme solitaire, presqu’une recluse, mais je connais son mari, il est juriste.
Le juge Langlois : Juriste ?
Henry Austen : Oui, juriste, William Radcliffe.
Jane Austen : Elle est écrivain de profession.
Le juge Langlois : [de plus en plus choqué] Profession ?
Tom Lefroy : 500 livres, mon oncle, pour son dernier roman : Les mystères d’Udolphe et 800, je crois, pour son prochain.
Jane Austen : L’italien.
Le juge Langlois : Elle a gagné plus de 1000 livres ? Ohohoho, quelle époque !

- Cooper, what are you doing?
- Docking.

- On ne tire pas, on ne tue pas !
- Vous êtes pas un marrant !

Never steal anything from someone you can’t outrun.

De toutes les choses que nous percevons seul l’amour transcende les dimensions temporelles et spatiales. Peut-être qu’on devrait accepter en confiance ce qu’on ne saisit pas encore…

- Très bien, Stanley, écoute moi. On va la jouer raide, et va la jouer rapide ! […] Mets-toi le bandeau sur les yeux tout de suite, Stanley. Oh, tu sais ce qui va se passer quand tu l’auras mis ? Choupette et ton tout petit chaton, on va te lécher, de haut en bas, tous les deux ! Deux petites langues râpeuses qui montent et qui descendent le long de ton… Oh Stanley, je vais avaler un grand verre de sangria pour me rafraîchir, je te dis « à bientôt ». Oh, merde !
- C’est une bien étrange manière de parler à ton patron.

Reine Clarisse, mon grand but dans l’existence, c’est de passer inaperçue et croyez-moi, je sais faire.

- Vous avez l’intention de m’emmener à un talk-show quelconque pour m’y apprendre l’existence d’une sœur jumelle qui est duchesse ?
- Tu as un cousin qui est une comtesse.

Le cadeau habituel à 16 ans, c’est pas la tête d’un pays, c’est une voiture.

- S’il-vous-plait Joe, pouvez-vous vous arrêter à un coin de rue du collège, ça va faire une émeute si on arrive dans ce corbillard.
- Il est anti-émeute ce corbillard. Et si ça en était un, à l’arrière ça ne ferait pas ce bruit là.

- Mia, t’es vraiment folle !
- C’est vrai, oui. Et dans mon cas, le dérangement est juste momentané. Mais toi, dans le cas de ta stupidité, c’est à vie.

Voyez-vous, si je devenais princesse de Génovie, là mes rêves et les rêves de gens plus brillants que moi seraient mieux entendus. Et peut-être aussi que ces rêves pourraient devenir réalité.

- Pourquoi moi ?
- Parce que tu m’as vue quand j’étais invisible.

Moi ? Une princesse ? La vache ! PUTAIN !

Mia Thermopolis : Lilly, t’es gentille maintenant tu arrêtes, laisse donc ma coiffure où elle est et occupes toi de ta paillasse !
Michael Moscovitz : Wahou ! Félicitations !
Lilly Moscovitz : Michael, tu veux bien faire semblant d’avoir une vie ailleurs pour me faire plaisir ?
Michael Moscovitz : Hey, relâche-toi ! Respire !

Lilly Moscovitz : Qui c’est qui t’a défigurée comme ça ?
Mia Thermopolis : Oh ! Tu trouves que c’est raté à ce point là ?
Lilly Moscovitz : T’es Grotesque. Si j’étais toi, je porterais plainte !
Mia Thermopolis : Oui d’accord, c’est vrai que c’est un peu trop raide et un peu trop court aussi…
Lilly Moscovitz : C’est moche !
Michael Moscovitz : Y’a du joli moche !

- Comme un rendez-vous ?
- Non… pas un rendez-vous !

Eh, attendez-moi ! Non, pas vous, j’vous connais même pas !

Quoi ?! Pause ! Votre Altesse ! Moi une princesse ?! Rembobinage !