Kaakook

Personnage - Alcor

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Répliques de Alcor (76)

- Ce que tu n’as pas pu dire à Actarus, pourrais-tu maintenant me le dire si tu te sens assez solide ?
- Où est passé Actarus ? Tu peux me le dire ?
- Il est parti observer ce fluide inconnu qui nous intrigue tous depuis qu’il est apparu sur nos radars.
- Quel idiot ! Procyon, il faut rappeler Actarus ! J’ai remarqué aussi des ovéstables camouflés et dispersés dans les nappes du fluide suspect.
- Quoi ?
- Ça ressemble à des mini-satellites ou si on veut à des copies stellaires de mines flottantes. En tous cas je considère ces O.V. comme suspects et sans doute dangereux.
- Ce que tu décris peut-être catastrophique. Si ce sont des champs de mines, Actarus court le risque de s’y engager et sans se douter du danger qu’ils représentent pour lui.
- Il n’y a qu’une seule solution. Je repars le prévenir !
- Je n’ai pas le droit de te sacrifier à ton tour, Alcor. C’est trop dangereux.
- Si j’avais réussi ma mission de reconnaissance, Actarus n’aurait pas été obligé d’effectuer le travail à ma place.
- Tu es très généreux, Alcor. Dès que tu auras établi le contact avec Actarus, dis lui de rentrer. Mais j’exige que tu fasses alors demi-tour et immédiatement.

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- Mange ! Cela te donnera des forces, tiens !
- Quelle merveille !
- Ne mange pas trop vite !
- C’est étrange, j’ignorais qu’un Prince de l’Espace pouvait aussi savoir faire cuire les poissons et les coquillages.
- Plonge ta main dans le sable maintenant ! Tu vois, je sais aussi que le sable humide protège contre le soleil.
- Mmhmh !
- Nous avions des plages semblables à celle-ci sur Euphor.
- Et aussi des poissons et des coquillages ?
- Mhmmh. Tu vois que nous ne sommes pas tellement différents.
- Aviez-vous aussi cette étoile au coucher du soleil ?
- Oui, comment l’appelles-tu ?
- L’Étoile du Berger.
- Quel joli nom !
- Aha ah Aille ouh ! Mon bras me fait encore un peu mal. Ahaa… oh !

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Le professeur Procyon : Eh bien, si le cygne est blessé, je peux lui appliquer un traitement et le guérir mais s’il est malade, je suis impuissant.
Rigel : Oh, je n’en crois rien, vous êtes un très grand savant, par pitié professeur, faites quelque chose je vous en prie, au nom de notre amitié !
Alcor : Oncle Rigel, tu sais bien que c’est impossible !
Rigel : Pourquoi ?
Alcor : Le Professeur Procyon est un savant pas un ornithologue, il n’y connaît rien en oiseaux !
Rigel : Désolé mon pauvre Mizar, j’ai fait tout ce que j’ai pu !

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- Arrête de tourner comme un ours en cage !
- J’ai des raisons d’être nerveux, Véga nous attaque et nous sommes interdits de vol. J’en ai assez de rester les bras croisés !
- Non, reste et n’oublie pas les ordres de Procyon !
- Mais je vais prendre une douche c’est tout ! Il faut absolument que je trouve leur maudite base sous-marine, Phénicia !
- Je sais ce que tu as dans le crâne, tu croyais peut-être pouvoir me laisser tomber ?

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- Eh, Phénicia, tu pourrais ralentir un peu quand même !
- Hum, je veux avoir pouvoir le temps de visiter la capitale !
- Toi, tu es vraiment une provinciale !
- Et toi tu es vraiment lent !
- C’est un vrai garçon manque, elle va voir si je suis vraiment lent.

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- Phénicia, on ne visitera rien du tout si tu continues longtemps à lécher les vitrines. Ah, tu crois que tes achats te seront utiles dans Fossoirak ?
- Oh regarde, quelle merveille. Je sens que je vais me l’offrir.
- Oh là là. Oh, elle n’a pas vu le prix ! Bon maintenant, ça suffit, je veux profiter de mon jour de congé. Tu t’amènes ? Moi je refuse de perdre tout mon temps à continuer de courir les magasins.
- Ah, tu as peur de dépenser tout ton argent au cas où je te demanderai de me l’offrir. Allez, avoue-le !
- Oui, tu as raison. Euh, enfin, oh et puis et puis fais ce que tu veux.
- Tu n’es qu’un radin.
- Crois ce que tu veux, moi je fiche le camp.
- Attends-moi, ne me laisse pas toute seule.

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Ah ! Une vedette aussi stupide que ses prédécesseurs. Laissez-le moi et je me fais fort de l’éliminer.

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Quand je pense que l’ennemi est peut-être infiltré dans la Centrale en me filant sous le nez… S’ils s’imaginent qu’ils ont réussi à m’avoir, je vais leur montrer de quel bois je me chauffe.

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Ces gars-là ignorent ce qu’ils risquent si jamais la Centrale est attaquée et d’abord qu’est-ce qu’ils font là ?

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Où sont-ils passés ? Ils sont partis à la pêche ? Hein ? Mais ce n’est pas une heure pour aller se baigner. Oh, de la radioactivité, des hommes de Véga, ils étaient donc déguisés ? Les bandits ! Voyons, cette rivière traverse la Centrale ! Ici Alcor, amenez-vous vite !

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- Ne t’inquiète pas, le docteur a dit qu’il ferait l’impossible pour sauver l’enfant. Voyons, Alcor, qu’est-ce qui te prend ? Tu n’es pas responsable de ce qui est arrivé.
- Si je suis responsable, j’aurais dû attaquer et descendre ce missile beaucoup plus tôt et j’ai agi inconsidérément en quittant la patrouille, rien ne serait arrivé avec vous à mes côtés.

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Alcor : Il était donc programmé pour attaquer la Centrale ?
Le professeur Procyon : Peut-être ! Mais ne t’inquiète pas, elle est merveilleusement protégée. J’ai l’impression que l’attaque des missiles était une diversion et que leur but réel est de s’infiltrer dans la Centrale, j’ignore encore comment et qui ?
Actarus : Tu veux dire que le missile qu’Alcor a suivi hier peut avoir été piloté et que le pilote est entré dans la Centrale ?

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Actarus, aucun homme ne peut rester seul. Nous dépendons tous les uns des autres. C’est la loi. Tu as la puissance d’un demi-Dieu mais ton destin t’a amené à vivre sur notre vieille Terre et que tu le veuilles ou non, tu dois subir nos lois humaines. À moins que tu ne sois un robot pensant, échappé de la planète Euphor.

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Le professeur Procyon : Vous savez ce qu’ils veulent ? Essayer de vous attirer dans les fosses les plus profondes !
Actarus : Deux Golgoths nous y attendent en permanence. Y aller serait une opération suicidaire.
Le professeur Procyon : Oui, tu as raison, nous devons changer de fusil d’épaule.
Alcor : Alors que pouvons-nous faire ?
Le professeur Procyon : Nous sommes en train de mettre au point les derniers détails d’un supra sous-marin, l’Aquarak.

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Actarus : Et quand sera-t-il opérationnel ?
Le professeur Procyon : Bientôt, je l’espère et en attendant je vous interdis à tous de prendre l’air avec vos appareils habituels c’est bien compris ?
Actarus, Phénicia, Alcor et Vénusia : Quoi ?

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- Ça fait des heures qu’on tourne sans rien. Tiens, regarde !
- Des émanations de lasernium ! Qu’est-ce qu’on fait Alcor ?
- On va jeter un coup d’œil ! Un Golgoth, Oooh !
- Alcor !
- Ne viens pas ! Fiche le camp !
- Tiens bon Alcor, je vais chercher les autres !

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- Il faut absolument que j’arrive à piloter cette machine, tu vas t’ouvrir oui ou non ? Attends !
- Rigel, tu vas me faire le plaisir de laisser cette soucoupe tranquille !
- Écoute-moi bien Alcor, j’ai été un des meilleurs cow-boys du pays, j’étais capable de dompter n’importe quel cheval alors ce n’est pas une petite soucoupe qui va me résister.
- Rigel, ne mélange pas les soucoupes et les chevaux. Je vais finir par te mettre une de ces raclées.
- Inutile de te fâcher, tout ce que je veux c’est apporter cette lettre d’invitation à notre petite fête aux hommes de l’espace.
- Au lieu de perdre du temps à des bêtises pareilles Rigel, tu ferais mieux d’aller aider les autres.
- C’est toujours pareil, je ne peux jamais faire ce que je veux ici.
- C’est pas croyable d’arriver à cet âge pour être aussi bête.

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- Oh, Alcor !
- Actarus, pourquoi ne me demandes-tu pas d’aller combattre avec toi ?
- Parce que cette soucoupe est très particulière Alcor et je suis le seul à prendre un risque.
- Attends une seconde ! S’il t’arrivait malheur, je ne me le pardonnerais pas. Laisse-moi les pourchasser avec toi !
- Je t’ai dit de me laisser tranquille. S’il m’arrivait malheur, ce serait à toi qui incombe de défendre cette planète.
- Oh Actarus, tu ne pourrais pas me demander ça gentiment ?

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- Les navettes sont là pour s’emparer de l’hyperanium. Bien sûr, c’était trop tentant. Alcor, attaque les navettes.
- J’ai remarqué qu’il y en avait une plus grosse que les autres. Il faut se débarrasser d’elle en premier.
- Non, laisse-là moi. Ne t’occupe que des petites.
- On ferait mieux d’attaquer ensemble et de descendre les autres ensuite.
- Pas de temps à perdre. Fais ce que je te dis !
- Tu te prends pour le pacha, dis donc.
- Je me prends pour le chef, compris ?
- Ne te fâche pas, je n’ai rien dit.

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- Pour un jour de congé, c’est réussi, tu ne trouves pas ? On rentre.
- Mais tu es sûr qu’ils n’ont plus besoin de nous ?
- Non, tout est arrangé. Laissons-les tranquille maintenant.
- D’accord.

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