Kaakook

Personnage - Alcor

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Répliques de Alcor (76)

- Écoute Alcor.
- Je t’écoute.
- On me traite souvent comme une enfant. C’est vrai non ?
- Je ne crois pas que Vénusia te traite comme une enfant. Plutôt comme une sœur et elle prend soin de toi.
- Oh, je ne pensais pas à Vénusia en te disant cela. Je pensais à toi. Tu te moques de moi continuellement.
- Je ne le fais pas méchamment. Je n’oublie pas que tu appartiens à la Patrouille des Aigles.
- Merci Alcor. C’est gentil.
- Eh, Phénicia. J’en ai assez que tu m’appelles Alcor tout court.
- Ah bon ?
- Tu pourrais dire Alcor chéri ?
- Ah et pourquoi pas Alcor mon amour ? Pourquoi aussi mon Alcor adoré ?
- Je ne te le fais pas dire.
- Ah c’est bien ça. Je t’appellerai Cher Alcor tandis que toi tu m’appelleras Phénicia tout court. Est-ce que tu me prends pour une idiote, Alcor ?
- Exactement, poison tout court.

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- Je n’ai rien vu non plus.
- Eh, moi j’ai vu des tas de rats.
- Des rats ?
- Oui, j’ai crié quand j’ai vu des rats escalader la tour.
- Tu parles, tu as failli nous casser les oreilles, oui.
- Ah, ce n’est pas ma faute, je ne supporte pas les rats.

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Mizar : Il est quand même bizarre ou alors il est retombé en enfance j’en aurai le cœur net.
Vénusia : Ce n’est pas parce que papa fait des choses curieuses qu’il faut imaginer je ne sais quoi.
Actarus : Si Mizar a remarqué tout ça, ça mérite d’être approfondi.
Alcor : Je suis aussi de cet avis.
Mizar : Alors, venez voir !

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Vénusia : Oh !
Alcor : Il ronfle !
Vénusia : C’est le moins que l’on puisse dire !
Alcor : Il n’y a pas deux ronflements dans le secteur !
Vénusia : Mizar, maintenant tu vas te retourner te coucher, nous, nous avons autre chose à faire !
Mizar : Autant, je pourrais vous aider !

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- Au lit et en silence !
- D’accord, hm !

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Hydargos : N’essayez pas de jouer au plus fin. De toute manière, votre Centre de recherches est un danger pour nous. Rien que pour ça, vous méritez d’être exécuté.
Le professeur Procyon : Notre travail a pour but le bien être de l’humanité. C’est pourquoi rien ne nous empêchera de continuer.
Hydargos : Vous cachez le Prince d’Euphor dans votre maudit centre. Livrez-le-moi.
Le professeur Procyon : Je vous ai dit que je ne le connaissais pas.
Hydargos : Silence !
Alcor : Je vais vous apprendre… ouch !

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Rigel : Hop, regardez hop !
Mizar : Ah, elle remarche !
Rigel : Oui, Tornade remarche et c’est moi tout seul qui l’ai guérie.
Mizar : Je suis fier de toi, papa !
Alcor : Bravo, ta nuit blanche a finalement porté ses fruits !
Phénicia : Tu dois être soulagé oncle Rigel !

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Actarus : Alcor, tu as entendu ?
Alcor : J’ai compris !
Le professeur Procyon : Il vous faudra agir à la seconde près, bonne chance !

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Le professeur Procyon : C’est grâce à vous deux que nous pouvons contempler ce spectacle.
Alcor : Actarus, tu as encore une fois sauvé notre planète.
Actarus : Parce qu’elle est devenue la mienne.

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- Actarus, dépêche-toi.
- Tiens bon Alcor, j’arrive ! Ils vont l’abattre. Il faut que je m’occupe de lui en premier. Planitronks ! Alcor, ici Actarus. Pas trop secoué ? Rien de cassé ?
- Je crois que tu m’as raconté des histoires. Tu n’es pas un Prince mais un Saint-Bernard.
- Tu as l’air d’avoir besoin d’un petit coup de rhum.
- Ne t’inquiète pas, je tiendrai le coup !

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Alcor : Professeur, Vénusia est parmi les otages.
Le professeur Procyon : Es tu bien sûr de ce que tu dis ? Comment peux-tu le savoir ?
Alcor : Je l’ai vue sur mon écran, Banta est avec elle.
Actarus : Il n’y a pas de temps à perdre, j’y vais !

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- Ah, ce truc finira par me rendre dingue.
- Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas ?
- Cette mécanique ne veut pas fonctionner, je commence à en avoir assez.
- Je salue ta patience légendaire. Pourquoi te décourages-tu si vite ? Après tout, c’est toi qui a voulu construire une nouvelle soucoupe, non ?
- Hum, oui bien sûr mais je croyais que ça irait plus vite que ça.
- Quand on essaye de créer quelque chose, il est normal que tout ne marche pas du premier coup.
- Oh, je sais bien. Dis donc, tu dois t’embêter en ce moment.
- Pourquoi ?
- Tes petits camarades de Véga nous fichent la paix. J’ai l’impression que nous les avons réduits en silence pour un bon bout de temps.
- Il faut toujours se méfier mais s’ils bougent, je suis prêt à les recevoir.
- J’en ai autant à leur service.
- Ce ne sont pas des gens à renoncer aussi vite à leur projet. Ils sont certainement en train de préparer un mauvais coup. Restons sur nos gardes.
- Bon, je retourne au travail.
- Les hommes de Véga ne nous laisseront jamais tranquilles. Ils ont trop envie de conquérir la Planète Bleue. Mon Dieu, donnez-moi encore le temps de m’opposer à leur mission.

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Actarus : Et c’est tout ? Il ne s’est pas nommé ?
Vénusia : Non. Il a seulement dit que son ennemi était le Prince d’Euphor.
Actarus : C’est Ergastule. Il va m’attaquer dès le lever de la pleine lune.
Alcor : Ne t’inquiète pas. Je vais me débarrasser de cet individu.

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Si je suis un morveux, toi tu n’es qu’un gros porc. Tiens !

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- Tout ce qu’il nous reste à faire, c’est prier pour qu’il revienne vivant.
- J’aurais tant aimé être avec lui.

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- Alcor, il est inutile de risquer ta vie !
- Je suis un homme de la Terre et je la défendrai de mes propres mains.
- Alcor, moi aussi, maintenant, je suis un homme de la Terre et c’est à moi surtout que Véga en veut.
- Tu ne me feras pas changer d’idée. Laisse-moi passer.
- Si tu veux aller te battre contre eux, il faudra d’abord te battre contre MOI.
- Si tu y tiens, je n’ai rien contre toi mais tu ne m’empêcheras pas d’y aller. Hh ! Haaa ! Si tu es un homme de la Terre, bats-toi donc comme un homme de la Terre.
- Pardonne-moi, mais je ne veux pas que tu meures. Je ne les laisserai pas détruire cette planète, quand bien même je devrais y laisser ma vie. Je ne les laisserai pas détruire mon pays une seconde fois. Métamorphose.

4.55 (1 vote)

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