Saga - Pirates des Caraïbes

Je n’ai de sympathie pour aucun de vous, bande d’asticots, ni même la patience de prétendre le contraire.

La cruauté est affaire de perspective.

- Je viens chercher l’homme que j’aime.
- Tu m’en vois ravi mon gars, mais mon seul et unique amour reste l’océan.

Ce qui fait de toi… l’homme aux cartes !

Garde 1 : Il dit la vérité !
Garde 2 : S’il disait la vérité jamais il nous l’aurais dit !
Jack : Sauf s’il savait que vous refuseriez de le croire même s’il avouait tout.

Tia Dalma, tu es aussi du voyage ! Tu ajoutes une agréable touche de macabre à tout le délirium !

Le haut est en bas ! Accrochez-vous.

On dit toujours que les pirates sont plutôt futés mais on manque d’imagination quand il s’agit de nommer les choses.

Maman va bien ? Elle a bonne mine.

- Qui es-tu donc ?
- Personne ! C’est personne ! Un lointain cousin germain, un neveu d’une tante au deuxième degré… Comme chanteur, il est divin ! Un eunuque !

Un bateau, c’est ça vous savez. C’est pas qu’une quille, une coque et un pont et des voiles, ça, ils l’ont tous mais un vrai navire, comme le Black Pearl en réalité, c’est la liberté.

Un bocal de terre, un bocal de terre…

On est des vraies canailles… des maudits pirates… Trinquons mes jolis yo ho !

J’veux pas de toi tu me fais peur !

Vous aimez souffrir ? Essayez de porter un corset.

Commencez à croire aux histoires de fantômes, Mademoiselle Turner… vous en vivez une !

- … As-tu peur de la mort ?
- Tu n’imagines même pas à quel point !

Quoi ? Tu as tout vu, tout fait, tu as survécu. C’est ça le truc hein. Survivre.

Mes amis, je me lave les mains de ces étrangetés.

Et à moins que vous ne portiez des voiles et un gouvernail sous votre jupon, ce qui m’étonnerait, le jeune Wiliam Turner sera déjà mort.