Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1968

HAL, ouvre la porte s’il te plaît.

#41
6.43 (18 votes)

Pauv’ Fred.

#42
6.21 (19 votes)

J’ai déjà vu des inconscients, des sauvages et des hystériques, mais des possédés comme vous, jamais !

#43 6.19 (11 votes)

Vous êtes bourrrré d’électricité statique !

#44 6.15 (3 votes)

Quand l’appétit va tout va !

#45
6.15 (3 votes)

T’as trop de choses à perdre. On fait pas une révolution avec des choses à perdre !

#46
6.15 (3 votes)

J’t’avais dit de la boucler, idiot.

#47
5.91 (12 votes)

Vous pouvez aussi me coucher sur la table et vous servir de moi, et appelez vos hommes si ça vous chante. Vous savez, j’connais pas de femme qui en soit morte. Lorsque vous aurez fini, tout ce qui me faudra, c’est un bon baquet d’eau bouillante pour redevenir exactement comme avant !

#48
5.88 (7 votes)

À peine nous sortions des portes de Trézène,
Il était sur son char. Ses gardes affligés
Imitaient son silence, autour de lui rangés ;
Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ;
Sa main sur ses chevaux laissait flotter les rênes.
Ses superbes coursiers, qu’on voyait autrefois
Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix,
L’œil morne maintenant et la tête baissée,
Semblaient se conformer à sa triste pensée.
Un effroyable cri, sorti du fond des flots,
Des airs en ce moment a troublé le repos ;
Et du sein de la terre une voix formidable
Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Jusqu’au fond de nos cœurs notre sang s’est glacé ;
Des coursiers attentifs le crin s’est hérissé.
Cependant sur le dos de la plaine liquide
S’élève à gros bouillons une montagne humide ;
L’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux,
Parmi des flots d’écume, un monstre furieux.
Son front large est armé de cornes menaçantes,
Tout son corps est couvert d’écailles jaunissantes,
Indomptable taureau, dragon impétueux,
Sa croupe se recourbe en replis tortueux.
Ses longs mugissements font trembler le rivage.
Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage,
La terre s’en émeut, l’air en est infecté,
Le flot qui l’apporta recule épouvanté.
Tout fuit, et sans s’armer d’un courage inutile,
Dans le temple voisin chacun cherche un asile.
Hippolyte lui seul, digne fils d’un héros,
Arrête ses coursiers, saisit ses javelots,
Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre,
Il lui fait dans le flanc une large blessure.
De rage et de douleur le monstre bondissant
Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant,
Se roule, et leur présente une gueule enflammée,
Qui les couvre de feu, de sang et de fumée.
La fureur les emporte, et sourds à cette fois,
Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix.
En efforts impuissants leur maître se consume,
Ils rougissent le mors d’une sanglante écume.
On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux,
Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux.
À travers des rochers la peur les précipite.
L’essieu crie et se rompt. L’intrépide Hippolyte
Voit voler en éclats tout son char fracassé.
Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé.
Excusez ma douleur. Cette image cruelle
Sera pour moi de pleurs une source éternelle.
J’ai vu, Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ;
Ils courent. Tout son corps n’est bientôt qu’une plaie.
De nos cris douloureux la plaine retentit.
Leur fougue impétueuse enfin se ralentit.
Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques
Où des Rois nos aïeux sont les froides reliques.
J’y cours en soupirant, et sa garde me suit.
De son généreux sang la trace nous conduit.
Les rochers en sont teints ; les ronces dégouttantes
Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes.
J’arrive, je l’appelle, et me tendant la main,
Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain.
Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie.
Prends soin après ma mort de ma chère Aricie.
Cher ami, si mon père un jour désabusé
Plaint le malheur d’un fils faussement accusé,
Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive,
Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive,
Qu’il lui rende… À ce mot ce héros expiré
N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré,
Triste objet, où des Dieux triomphe la colère,
Et que méconnaîtrait l’œil même de son père.

#49
5.83 (2 votes)

Hé oui Marcel, les bastos c’est plus facile à donner qu’à recevoir… J’suis sûr que t’avais jamais songé à ça !

#50
5.83 (2 votes)

Quand on tue un poulet, c’est fou ce qu’il y a de parties de poker qui s’organisent chez les voyous.

#51
5.83 (2 votes)

Eh l’harmonica. Quand ton heure viendra, prie le ciel que ce soit un bon tireur qui te descende !

#52
5.63 (6 votes)

Take your stinking paws off me, you damned dirty ape!

#53
5.45 (12 votes)

- La colonelle est devenue une mante religieuse, une voleuse d’enfant, une araignée !
- Une araignée ?
- Une araignée qui tisse patiemment sa toile autour du pauvre cocon que je suis.
- Pauvre cocon que vous êtes, oui.

#54 5.45 (1 vote)

Monsieur le comte.

#55
5 (12 votes)

Les nuits sont longues, et la petite orpheline finit par s’endurcir.

#56
5 (0 vote)

I’m afraid… I’m afraid, Dave… Dave… My mind is going… I can feel it… I can feel it… My mind is going… There is no question about it… I can feel it… I can feel it… I can feel it… I’m afraid.

#57
5 (0 vote)

- C’est fou ce que le temps passe vite !
- … ?!
- Il est déjà midi !

#58
5 (0 vote)

- Did you bring a horse for me?
- Looks like we’re… looks like we’re short one horse.
- [Fait non de la tête] You brought two too many.

#59
3.75 (6 votes)

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