Top - Citations de films de l'année 1991

That’s a nice bike.

- John, tu vas me faire le plaisir de te ramener et de faire ce que ta mère t’a dit !
- Ce n’est pas ma mère, Todd.

- Who sent you?
- You did… 35 years from now.

Eh mec ! T’as un soucis ?

- C’est comme une immense stroboscope qui me brûle les yeux ! Et pourtant, j’y vois toujours ! On sait que le rêve est le même chaque nuit ! Les enfants ont l’air de papiers brûlés ! Noirs, immobiles ! Ensuite, la vague de feu arrive sur eux et elle les effrite comme des feuilles mortes ! [Elle craque]
- Les rêves de cataclysme et de fins du monde sont très courants.
- C’est pas un rêve, imbécile ! C’est réel ! Je connais le jour où ça arrivera !
- Je suis sûr que cela vous semble très réel.
- LE 29 AOÛT 1997, ÇA VOUS SEMBLERA VACHEMENT RÉEL À VOUS AUSSI ! LES PERSONNE QUI N’AURONT PAS À UN ÉCRAN TOTAL PROTECTIONS D’UN MILLION VONT PASSER UN SALE QUART-D’HEURE !
- Ne vous énervez pas, Sarah !
- OH NOM DE DIEU ! VOUS VOUS CROYEZ VIVANTS ET EN BONNE SANTÉ ! VOUS ÊTES DÉJÀ MORT ! VOUS ÊTES TOUS DÉJÀ MORTS ! LUI ET VOUS, VOUS ÊTES TOUS DÉJÀ MORTS ! IL N’EXISTE PLUS RIEN ! TOUT CE QU’IL Y A ICI EST FOUTU ! C’EST VOUS QUI VIVEZ DANS UN PUTAIN DE RÊVE, SILBERMAN ! MOI, JE SAIS QUE ÇA VA ARRIVER ! ÇA VA ARRIVER !

- Vous m’avez bousillé le bras !
- Il y a 215 os différents dans le corps humain. Ça, c’en est un.

I’m a machine!

3 milliards de vies humaines prirent fin le 29 Août 1997.
Les survivants de l’incendie nucléaire appelée la guerre du jugement dernier, ne vécurent que pour affronter un nouveau cauchemar : la guerre contre les machines. L’ordinateur qui avait le contrôle de ces machines, Skynet, envoya deux terminators remonter le temps. Leur mission : éliminer le chef de la résistance humaine, John Connor, mon fils. Le premier terminator avait été programmé pour s’attaquer à moi en 1984, avant la naissance de John. Il avait échoué. Le second devait s’attaquer à John lui même lorsqu’il était encore enfant. Comme la première fois, la résistance fut mesure d’envoyer un guerrier solitaire, un protecteur pour John.
Toute la question était de savoir qui atteindrait John le premier…

Je n’y comprends rien, Robin me contraint à malmener la populace en volant mon trésor, et la populace ne l’en aime que davantage ?

C’est parce que tu es mon cousin que je ne t’ai pas occis à la petite cuillère, excellente lame.

T’as vu son petit cul ? Quand même, Darryl n’a pas un petit cul comme ça… On garerait une Cadillac à l’angle de son cul !

Quand j’étais petit, j’gobais quatre douzaine d’œufs, pour être fort pour me sentir à l’aise ! Maintenant que je suis grand, j’en avale 49, c’est pour ça qu’j’suis le Roi des Balèzes !

- C’est vrai qu’il a l’air méchant mais il ne ferait pas de mal à une mouche mais il est tendre et très gentil ! C’est mon ami !
- Si je ne te connaissais pas, je pourrais croire que tu éprouves des sentiments pour ce monstre.
- Ce n’est pas lui le monstre Gaston, c’est toi.
- Cette petite dinde est aussi folle que son père !

La Garde-Robe : Le maître n’est pas quelqu’un de si méchant lorsqu’on le connaît, voyons ! Pourquoi ne lui donnez-vous pas cette chance ?
Belle : Je n’ai pas envie de le connaître ! Je ne veux ni le voir, ni lui parler !
La Bête : Tu rêves ma pauvre amie ! Elle te voit comme un tortionnaire et comme un monstre ! C’est sans espoir !

Nous avons chassé ces brutes sanguinaires ! Lumière !

Dans la pluie, dans le vent, dans la fièvre et le vacarme, se prépare une terrible chevauchée ! Aux frontières du mystère, au château de l’impossible, niche le diable dans son horrible tanière ! Un butor sanguinaire aux crocs d’acier. Monstre fou qui se joue de la mort. Ombre rouge, Bête infâme, tu y perdras ton âme dans la rage du carnage. Tuons la Bête !

- Belle, c’est moi !
- Oui, c’est toi !

- Ouah ! Tu ne rates jamais ta cible Gaston ! T’es le plus grand chasseur du monde !
- Le meilleur !
- Aucune bête sauvage n’a la moindre chance de gagner contre toi, ni même aucune fille d’ailleurs !
- Aucune en effet, et j’ai jeté mon dévolu sur cette délicieuse enfant !
- Quoi, la fille de l’inventeur ?
- Exactement, c’est elle que j’ai choisie pour compagne, la plus belle fille de la ville sans aucune doute, la plus mignonne, la plus intelligente, celle qui deviendra ma femme !
- Oui, bien sûr, mais…
- À cet instant où je l’ai vue à mes yeux, je suis tombé amoureux d’elle. Elle est la seule ici bas, qui se trouve digne de moi et je compte bien épouser cette demoiselle.

Touche à ma fille et je t’enfile un parapluie dans le cul.

- Maître, avant tout, je tenais à vous dire que je n’étais pas du tout d’accord avec lui, j’ai voulu l’en empêcher mais…
- Groarr !