Top - Citations de films de l'année 1991

J’ai besoin de vacances.

De là haut je vois ma maisoooooon.

I’m a machine!

Eh mec ! T’as un soucis ?

N’oubliez pas que l’opinion publique est friande de vérité, et c’est vous qui détenez la vérité mon ami.

- C’est ta mère ?
- Ouais.
- Elle est super cool, hein ?
- Non, c’est une vraie psycho. C’est pour ça qu’elle à Besquadero. C’est un hôpital psychiatrique, ok ? Elle a essayé de faire sauter une usine d’ordinateurs et elle s’est fait piquer, l’idiote.
- C’est pas vrai !
- Si. C’est une vraie ratée.

Tu sais, on a passé beaucoup de temps en Nicaragua ou des pays comme ça. Il y a même eu une époque où elle était avec ce givré d’ancien béret vert, trafiquant d’armes. Puis il y en a eu d’autres. Elle se serait collé avec n’importe-quel mec qui pouvait lui apprendre comment faire de moi un « grand chef militaire » puis elle s’est fait bouclée. C’est genre : « Désolé, petit. Ta maman est une folle. Tu savais pas ? » C’est comme si tout ce qu’on m’avait apprit à croire n’était plus que de la merde tout d’un coup. Je l’ai haï pour ça, mais tout ce qu’elle a dit était vrai. Elle savait. Seulement, personne ne l’a cru. Même pas moi.
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T’as vu son petit cul ? Quand même, Darryl n’a pas un petit cul comme ça… On garerait une Cadillac à l’angle de son cul !

LeFou et Gaston : Qu’on aide ce vieux loufoque ou non, ça lui rendra pas sa tête ! Ah, Ah, Ah, !
Belle : Je vous défends de dire du mal de mon père !
Gaston : Je te défends de dire du mal de son père ! Pam
Belle : Mon père à toute sa tête ! C’est un grand génie ! Boum
LeFou et Gaston : Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah !

Quand j’étais petit, j’gobais quatre douzaine d’œufs, pour être fort pour me sentir à l’aise ! Maintenant que je suis grand, j’en avale 49, c’est pour ça qu’j’suis le Roi des Balèzes !

La Garde-Robe : Le maître n’est pas quelqu’un de si méchant lorsqu’on le connaît, voyons ! Pourquoi ne lui donnez-vous pas cette chance ?
Belle : Je n’ai pas envie de le connaître ! Je ne veux ni le voir, ni lui parler !
La Bête : Tu rêves ma pauvre amie ! Elle te voit comme un tortionnaire et comme un monstre ! C’est sans espoir !

Dans la pluie, dans le vent, dans la fièvre et le vacarme, se prépare une terrible chevauchée ! Aux frontières du mystère, au château de l’impossible, niche le diable dans son horrible tanière ! Un butor sanguinaire aux crocs d’acier. Monstre fou qui se joue de la mort. Ombre rouge, Bête infâme, tu y perdras ton âme dans la rage du carnage. Tuons la Bête !

Touche à ma fille et je t’enfile un parapluie dans le cul.

Je sais désormais pourquoi vous pleurez… Mais c’est quelque chose que je ne pourrais jamais faire.

- Maître, avant tout, je tenais à vous dire que je n’étais pas du tout d’accord avec lui, j’ai voulu l’en empêcher mais…
- Groarr !

- Nous ne buvons pas, et nous fumons encore moins.
- J’enlève le gras du poulet Monsieur.
- Bravo !

I don’t love you ’cause love is for girl, and girl are disgusting!

- J’arrive même pas à tenir sur une planche de jour, alors de nuit…
- T’inquiète pas ! Comme ça personne verra qu’t’es nul !

- Il va falloir d’abord que t’apprennes à parler. On ne dit pas « affirmatif » ou bien des conneries de ce genre. On dit « No problemo ». Et si quelqu’un est vers toi en roulant des mécaniques, tu dis « Va chier » et si tu veux en mettre plein la vue c’est « Hasta la vista, baby ».
- Hasta la vista, baby.
- Ouais, ou « Dégage, sac à merde ». Et si un type s’énerve, tu dis comme ça « Reste cool ». Tu peux aussi faire des combinaisons.
- Reste cool, sac à merde.
- C’est super ! Tu vois que ça rentre !
- No problemo.

- Ça ne marchera pas, Sarah ! Vous n’êtes pas une tueuse ! Je ne peux pas croire que vous le ferez !
- Vous savez que vous êtes déjà mort pour moi ! Tout-le-monde l’est, je le pense ! ALORS N’ESSAYEZ PAS DE ME BAISER !
- Ouvrez la porte !