Top - Citations de films de l'année 1991

I really wish we could chat longer, but I’m having an old friend for dinner.

- T’as remarqué comme les nuits sont claires ?
- Hum, normal, on entre dans l’ère de la vierge… Mon signe.
- Hum, sans blagues !
- J’te jure… Je suis vierge ascendant lion.
- Ah, ah, ah, ah, ah…
- Oh, ça va, tout le monde peut pas être gorille ascendant bulldozer… En tout cas, c’est ma veine, ils annoncent un tas de choses pour bientôt… tenez-vous prêtes, le vent tourne.
- C’est pas bien de faire le malin, avoue… Toute façon, tu verrais pas grand chose, ailleurs c’est pire : ils tirent au sort… Puis ça serait dommage de perdre ces jolis jambons… C’est le petit cochon de lait.
- Rigole-pas avec ça, j’aime pas.
- Ah, ah, t’es mieux ici, au moins c’est organisé.
- Organisé mes fesses, le pauvre gars que tu dégomme, il la tire pas au sort, sa petite annonce ?
- Ça, c’est le destin… Le destin, on peut rien contre justement… C’est comme tu disais, le vent tourne, ça va tomber.

- Ah ça, c’est un détecteur de connerie. Allez-y !
- Eh… Allez-y quoi ?
- Ben dites une connerie. Allez !
- Mais ça vient pas comme ça hein ! … C’est beau la vie.
[bip bip bip bip]

J’ai tellement faim que je boufferais le cul d’une vache enragée.

Terminator : Comment s’appelle le chien ?
John Connor : Max.
Terminator : [Avec la voix de John] Eh Janelle, qu’est-ce qui lui arrive à Woolfy ? Je l’entend aboyer ! Il va bien ?
Janelle Voight : Woolfy va bien, chéri. Woolfy va très bien. Où es-tu ?
Terminator : [Raccroche] Tes parents adoptifs sont morts.

- Solitaire ?
- Nan, Kawasaki.

- Vous valez pas mieux que ce crétin, avec votre ventre et votre gâtisme précoce. D’où est-ce que j’ai pu sortir des cons pareils, j’me le demanderai toujours.
- Harp, j’ai un p’tit truc à vous expliquer. Quand j’ai démarré au FBI, vous creviez des p’tits boutons sur votre vilain fessier en vous branlant devant la partie lingerie d’un catalogue de grossiste.

No fate but what we make.

- Tu crois que ça va marcher ?
- C’est comme demander si Schwarzenegger c’est dur a épeler.

Au dernier homme avant de mourir je dirai : « j’ai aimé merveilleusement l’amour, l’amour merveilleux, le merveilleux amour ; j’ai du ramasser plein d’éclats de miroir, je meurs meurtrie, si tu te souviens de moi, garde mon silence pour toi… ».

Ils sont passés nom de Dieu !

Dr. Lecter : Dites-moi sénateur, avez-vous pris soin de Catherine vous-même ?
La sénatrice Ruth Martin : Comment ?
Dr. Lecter : Lui avez-vous donné le sein ?
Paul Krendler : Non, attendez une minute…
La sénatrice Ruth Martin : Oui, c’est exact.
Dr. Lecter : Ça renforce les mamelons, à ce qu’on dit.
Paul Krendler : Oh, vous êtes un monstre !
Dr. Lecter : On peut couper la jambe d’un homme, mais elle le démangera toujours. Dis-moi maman, une fois que ta chérie sera entre quatre planches, où est-ce que ça te démangera ?

- Que lisez-vous ?
- Rien !
- Genièvre et Lancelot ?
- En fait c’est les chevaliers de la Table Ronde. Soldats, armée, cape et épée.
- C’est surtout une histoire romantique.

Du calme Duncan, le bien triomphe du mal, il faut le croire !

- Tapas ! Angelo Tapas !
- De merde ! Footballeur de merde.

- You broke my arm!
- There’s 215 bones in the human body. That’s one.

- Et bien, vous savez ce qu’on dit : plus ils sont grands…
- … Et plus ils font mal…

La peur engendre l’hésitation et l’hésitation engendre ce pourquoi tu avais peur.

Sacha, c’est la dernière lettre que je t’écris, ne m’en veux pas, je pars. Je sais que vous allez chercher un responsable à ma disparition, mais crois moi, je meurs sans qu’il y ai de coupable, et surtout pas toi. C’est très bête, et très simple. Si je meurs, c’est que je ne veux pas grandir. Sacha, tu n’as pas su choisir entre Laura et Moi, tu m’aimais en cachette, je l’avais accepté. Aujourd’hui j’ai compris que Laura savait tout, pourquoi n’a t-elle rien dit ? Pour mieux te garder… Tu vois, déjà vous savez mentir, moi je ne veux pas apprendre… Je vous aime, et c’est pour ça que je pars. Quand on aime, il faut partir. Myriam.

Bonjour mon amoureux !