Top - Citations de films de l'année 1997

- Sauf votre respect M, je ne sais pas si vous avez ce qu’il faut dans le pantalon pour faire votre boulot.
- Peut-être pas. Mais c’est mieux que d’avoir tout dans la culotte et rien dans la cervelle.

Je vais te donner du plaisir avec ma langue.

- Ce jeune homme est Bane.
- Hum, un livreur qui délivre aussi.

- Ça serait gentil de lui laisser un petit mot non ?
- Mais absolument, bravo… bravo, tu veux que je te dicte ?
- Si ça t’amuse.
- Comment tu l’appelles ?
- Robert.
- « Mon cher Robert… » non attends, tu étais censée être quoi ?
- Sous directrice du contentieux à l’UAP, Elisabeth Desroulèdes.
- Desroulèdes, t’as pas honte ?… Tu prends bien une écriture de femme d’affaire, juste un peu sensuelle… » Mon cher Robert, je suis désolée pour ce contre temps… Peut-être n’est-ce que partie remise… Reposez-vous bien, Elisabeth… » Tu rajoutes : « je suis obligée de regagner Paris. »

Tu veux que j’te colle un procès, t’en a trop d’la tune ?

Give us us free !!

Je connais vôtre genre comme femmes : pas de gosses, pas de mec pour vous troncher, alors on joue les vierges offusquées tout en fourrant son nez dans les problèmes de cul des autres !! On renifle et on se MÊLE DE TOUT !!

- Puis-je vous offrir mes services ?
- Pourquoi quittez-vous Moscou ?
- Que faire d’autre ? J’ai besoin d’être là où vous êtes.
- Je vous en prie, cela suffit, retournez auprès de Kitty.
- Non.
- C’est mal.
- Pour moi cela ne change rien.
- Vous n’avez pas le droit.
- Pour moi cela ne change rien.
- Chassez-moi de votre esprit, si vous êtes un galant homme, vous oublierez.
- Et vous ? Oublierez-vous ?
- Oui.

C’est ce que j’ai dit à Lady Freeze avant de débrancher la prise : « dégage il n’y a pas de place pour toi ! »

Ce sur quoi tu pisses est à toi pour toujours.

- Ou tu vas ?
- Chercher Marie.
- Et la fonte ?
- Bah, on finira la s’maine dernière.
- Quoi la s’maine dernière ?
- Mais non mais on finira demain.
- Demain demain, c’est pas aujourd’hui demain. Si je r’metais tout à demain bah se s’rais le bordel.
- Bah ça c’est sur que vu de ton vieux fauteuil pourri, le Ricard ça fond plus vite que la ferraille.

T’as qu’à te bouger l’oignon.

- Laisse-le putain, il a des aptitudes, tu préférerais le voir traîner ?
- Non j’préfère rien moi, j’ai perdu un fils c’est tout.

- Bon j’ai pu d’jaune moi j’fais quoi ?
- Bah t’as qu’à en acheter, j’suis pas ta bonniche ! Et pi tu picoleras plus tard.

Quand un homme dit qu’il a des principes, ce qu’il entend par là en général, c’est qu’il est un peu plus cher que prévu.

Je ne comprends rien aux êtres humains, je ne comprends rien aux femmes, je ne comprends rien aux émotions, aux passions. Je ne comprends rien à tout ça. Si j’avais su, tu penses bien que je n’aurais pas passé toute ma vie dans un labo à essayer d’expliquer comment fonctionne le monde, je l’aurais plutôt parcouru pour comprendre pourquoi il fonctionne. Je sais que je l’aime, Weebo. Le moindre neurone de mon système limbique est saturé de phényléthylamine, c’est ce qui déclenche l’euphorie, allégresse, l’ivresse. Tu veux que je te dise, Weebo ? Mon étourderie n’est pas de l’égoïsme, de la folie ou de l’indifférence. Je n’ai pas toute ma tête parce que je suis amoureux de Sarah.

Voyons, ce gars est sûrement horrible. Tous les rosbeefs sont très laids ! Il y a qu’à regarder le Prince Charles, il en est l’exemple !

Mon médecin dit que j’ai assez de silicone dans le corps pour tuer un éléphanteau. C’est cool, non ?

- George, tu te rappelles de tout ce que je t’ai appris sur les règles de la boxe anglaise et du combat à la loyale ?
- Uh-huh ?
- Eh bien c’est le moment de tout oublier.

Pardon, les filles. Je sais que vous vous sentez le marin là-haut en ce moment. Mais si je pouvais commander un bol de moules-frites, on pourrait tous avoir la rougeole demain matin.