Top - Citations de films de l'année 1997

- Hé p’tit, combien d’doigts tu vois là ?
- Heu, six !
- Bon, tu m’rassures !

Chaque fois que j’ai eu du pognon j’ten ai refilé, j’ai jamais eu de pognon mais si j’en avais eu, j’aurais 100 biftons dans ma poche j’ten refilerais 50, non ?

- C’est le manque d’amour qui rend fous les hommes.
- Pfff le manque d’amour… c’est le manque de pognon oui !!

Et a part nichon elle fait quoi dans la vie ?

C’est un pédant, un emmerdeur, un frimeur un beau salaud, un vieux teigneux de merde, un vilain tas fumant de bouse de vache en conserve. Au sens figuré bien sur.

N’oublie pas qu’il y a 15000 ans tout le monde était sûr que la terre était le centre de l’univers, n’oublie pas qu’il y a 500 ans tout le monde était sûr que la terre était plate, il y a 20 minutes tu étais sûr, toi même que l’on était seul sur cette planète, imagine de quoi tu seras sûr demain.

Bas les pattes Spermamix !

Laisse-moi te dire un truc, y a rien de plus triste qu’un japonnais triste !

Je vais remonter jusqu’à mes grand-parents et je vais demander leur secours et ils me répondront car à cet instant je suis la seule raison pour laquelle ils ont vécu.

Et c’était comme ça, chaque jour je me débarrassais d’autant de peaux mortes, d’ongles et de cheveux que possible, pour limiter les traces que mon être invalidé laisserait dans le monde validé.

Et c’est grâce à cela que le groupe Carver Media brillera comme la meilleure source d’information sur le monde entier.

- Rico !
- Lieutenant ?
- Vous serez mon caporal. Jusqu’à votre avis de décès ou bien jusqu’à ce que je trouve mieux.

Tu as la main, verte, mais de quelle couleur est le reste ?

- En te portant candidate, tu es prête à donner ta vie, tu es prête à mourir pour ça. Pourquoi ?
- D’aussi loin que je me souvienne, je me vois à la recherche de quelque chose : la raison pour laquelle nous sommes ici, ce que nous faisons ici, qui nous sommes. S’il y a une chance de trouver ne serait-ce qu’une petite partie de cette réponse, je crois que ça vaut la peine de donner sa vie. Pas toi ?

- Moi je choisis mes programmes, c’est différent, je ne regarde pas n’importe quoi ! Ahahah !
- Oh, on est d’accord de toutes les émissions c’est la mienne que je regarde le moins… Forcément, haha !
- Ah ouais ! Nan mais c’est pas une excuse, personne n’aime manger sa merde hein !

Je vais te donner du plaisir avec ma langue.

- Ce jeune homme est Bane.
- Hum, un livreur qui délivre aussi.

- Ça serait gentil de lui laisser un petit mot non ?
- Mais absolument, bravo… bravo, tu veux que je te dicte ?
- Si ça t’amuse.
- Comment tu l’appelles ?
- Robert.
- « Mon cher Robert… » non attends, tu étais censée être quoi ?
- Sous directrice du contentieux à l’UAP, Elisabeth Desroulèdes.
- Desroulèdes, t’as pas honte ?… Tu prends bien une écriture de femme d’affaire, juste un peu sensuelle… » Mon cher Robert, je suis désolée pour ce contre temps… Peut-être n’est-ce que partie remise… Reposez-vous bien, Elisabeth… » Tu rajoutes : « je suis obligée de regagner Paris. »

Tu veux que j’te colle un procès, t’en a trop d’la tune ?

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