Top - Citations de séries des années 1970

- L’air va bientôt se raréfier dans leur soucoupe père.
- Il n’existe malheureusement qu’une seule solution pour essayer de sauver les otages.
- Laquelle père ?
- Non, je m’y refuse c’est beaucoup trop dangereux.
- Tu penses vraiment qu’il y ait du temps à perdre ? Il faut tenter l’impossible. Dis-moi ce qu’il faut faire, père.

- Dites donc, vous n’auriez pas un téléphone là sous la main parce que j’ai un coup de fil de la plus haute importance à donner.
- Mais pourquoi êtes-vous donc si pressé ?
- Il faut que je donne l’alerte, tout de suite.
- Donner l’alerte ? On l’emmène au quartier général. Allez vite, montez.
- Ah, merci. Que vous êtes gentils ! Allez hop là, ça y est. Hue !
- Allez en route.

- Voilà, il doit y avoir un téléphone là-dedans.
- Ah, vous êtes chics, merci infiniment. J’espère aussi qu’il y a du café bien chaud.
- On a eu raison de l’amener, on va le conduire jusqu’à Cyrus car je veux savoir pourquoi il est si pressé de téléphoner mais je n’ai pas l’intention de laisser Cyrus bénéficier de notre travail. Plus tard, je ferais un rapport au Général Horos personnellement.

- Ah oui, aucune erreur. Je l’ai vu de mes yeux vu. J’ai même réussi à le prendre en photographie et même que je l’ai sur moi. Et quoi, ça va pas ? Vous êtes malade ?
- Allez, assez téléphoné pour le moment !
- Ah, j’ai compris, vous êtes des hommes de Véga, hein ?
- Avance ! Maintenant, tu vas me donner la photo que tu caches dans ta poche.
- Tiens, la voilà. Allez tiens, prends ça et ça c’est de la part de… Ah ah, je ne suis pas aussi bête que vous en avez l’air, les gardes, hein ? Hue hue !

Rigel : Enfin, ça y est. Je vois l’ovni qui arrive ! Ils acceptent enfin mon invitation. Wahoo hoo celui-là doit transporter le Président de l’Espace. Il porte un curieux emblème dont j’ignore la signification : une espèce d’étoile à quatre branches inscrite dans un cercle.
Actarus : L’Emblème de la Division Ruine ! C’était celui qu’arboraient les envahisseurs qui ont anéanti Euphor. Voila révélé le sens caché de mon rêve : Le Grand Stratéguerre a mobilisé la Division Ruine pour me tuer. Et pour y parvenir, ils tueront des milliers d’hommes.
Vénusia : Où vas-tu ?
Actarus : Vénusia, ne dis surtout pas à Alcor qu’un ovni s’est approché de notre planète !
Vénusia : Attends ! C’est curieux, dès qu’une soucoupe apparaît, Actarus décide d’aller se promener.

Actarus : Beau travail. J’espère que tu es fière de ce que tu as fait !
Phénicia : Pardon !
Actarus : C’est amusant. Il est un peu tard pour pleurnicher. Alcor est dans de beaux draps maintenant.
Vénusia : Assez, Actarus. Ce qu’ils ont fait, c’était pour arrêter l’attaque des missiles.
Phénicia : Elle a raison.

- Ha, ha, ha, ha ! L’imbécile, il ne sait pas à quoi il s’expose. Ha, ha, ha !
- Ha, ha, ha, ha, ha, ha !

Minos : Le voilà !
Horos : Je vais l’accueillir et cette fois, il ne s’en sortira pas vivant !
Actarus : Tu es prête ?
Vénusia : Hm, hm !
Actarus : Transfert, Autolargue, Renseversement, Accrochage !

- Oh, sacrée secousse !
- Tout risque de s’écrouler !

- Je te salue, Grand Stratéguerre.
- Minas, d’où te vient ce visage éclatant ?
- C’est la joie d’être Commandante.
- Tu n’y es pas, tu restes Générale. Tu ne fais qu’exercer une nouvelle fonction. Je sais que tu en es capable.
- Alors, je l’accepte humblement.
- J’ai des ordres à te donner, Minas.
- Je t’écoute.
- J’ai décidé de te donner le Commandant Horos pour assistant.
- Je n’ai pas besoin d’un assistant.
- Ne discute pas, c’est un de nos meilleurs techniciens et le grand maître du centre de nos recherches scientifiques.
- C’est une excellente idée de le placer sous mes ordres.
- Compte tenu de l’importance de ta mission, j’ai tenu à le placer à tes côtés.
- À mes côtés ? Cela signifie-t-il qu’il aura le même grade que moi ?
- Je veux que tu coopères avec le Commandant Horos et que vous anéantissiez la Terre aussi vite que possible. C’est un ordre, Minas !
- Très bien, je t’obéirai Grand Stratéguerre. Il l’envoie pour me surveiller. Qu’il aille au diable !

- Ah, ce truc finira par me rendre dingue.
- Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas ?
- Cette mécanique ne veut pas fonctionner, je commence à en avoir assez.
- Je salue ta patience légendaire. Pourquoi te décourages-tu si vite ? Après tout, c’est toi qui a voulu construire une nouvelle soucoupe, non ?
- Hum, oui bien sûr mais je croyais que ça irait plus vite que ça.
- Quand on essaye de créer quelque chose, il est normal que tout ne marche pas du premier coup.
- Oh, je sais bien. Dis donc, tu dois t’embêter en ce moment.
- Pourquoi ?
- Tes petits camarades de Véga nous fichent la paix. J’ai l’impression que nous les avons réduits en silence pour un bon bout de temps.
- Il faut toujours se méfier mais s’ils bougent, je suis prêt à les recevoir.
- J’en ai autant à leur service.
- Ce ne sont pas des gens à renoncer aussi vite à leur projet. Ils sont certainement en train de préparer un mauvais coup. Restons sur nos gardes.
- Bon, je retourne au travail.
- Les hommes de Véga ne nous laisseront jamais tranquilles. Ils ont trop envie de conquérir la Planète Bleue. Mon Dieu, donnez-moi encore le temps de m’opposer à leur mission.

Minas : Ce jeune officier est vraiment très drôle.
Minos : Je ne supporterai pas ça. Je vais faire punir cet impudent par l’un de nos Golgoths
Horos : Il est trop fort.
Minos : Nous allons voir.

Ah, j’ai retrouvé la main, hein ? Avouez qu’il faut le faire ! Alerte ! On a un visiteur. Oh, quel cavalier ! On dirait moi, il y a vingt ans. Bon sang, nom d’un cowboy, ça me rappelle ma belle jeunesse.

Actarus : Et c’est tout ? Il ne s’est pas nommé ?
Vénusia : Non. Il a seulement dit que son ennemi était le Prince d’Euphor.
Actarus : C’est Ergastule. Il va m’attaquer dès le lever de la pleine lune.
Alcor : Ne t’inquiète pas. Je vais me débarrasser de cet individu.

Si je suis un morveux, toi tu n’es qu’un gros porc. Tiens !

Ergastule, je suis celui que tu cherches. Battons-nous mais n’attaque aucun de mes amis.

Oh, quel cauchemar ! Aie. Quand les radiations atteindront la poitrine, ce sera la fin. Plus les jours passent, plus je sens mes forces décliner doucement. Pour combien de temps en ai-je encore ? Mes heures sont peut-être comptées. Je n’ai pas le droit de mourir. Il faut que je tienne encore un peu. Dans le temps, il existait un rayon qui guérissait ce genre de blessure. Malheureusement ce secret a été perdu quand Euphor et ses alliées ont été conquises. Seigneur, accordez-moi le privilège de vivre assez longtemps pour sauver la Terre.

Minos : Comment est-il parvenu jusqu’au Camp de la Lune Noire ? Cela me parait incroyable.
Le Grand Stratéguerre : Par qui est-il piloté ?
Horos : Je crois reconnaître l’appareil du capitaine Pollux.
Le Grand Stratéguerre : Pollux ? Oui, je me souviens, le Prince de la planète Pallas.

S’il a été notre ennemi un jour, il peut rester une menace aussi grave que le Prince d’Euphor.

- Grand Stratéguerre, je ne comprends pas ta décision.
- Et pourquoi, Minos ?
- Pollux était le Prince héritier de la planète Pallas que nos armées ont anéantie. Il peut nous trahir à n’importe quel moment. Pourquoi l’as-tu nommé, - Général en Chef de tes armées ?
- Ah, tu ne sauras jamais lire dans mes pensées, Minos.
- Que veux-tu dire, Maître ?
- Je suis moins stupide que tu peux le supposer, que j’ai pris toutes les précautions utiles en ce qui concerne Pollux. Tout à l’heure, j’ai donné ordres de le faire soigner notre invité. Tu peux être certain qu’il a été merveilleusement traité. Comprends-tu ? Je lui ai fait personnellement subir un second lavage de cerveau particulièrement efficace.