Kaakook

Acteur / Actrice - Michael J. Fox

Michael J. Fox joue dans :


Répliques de Michael J. Fox (84)

- Eh, petit ! Tu es sûr que ça va ? Je peux t’aider ?
- Il n’y a qu’un homme sur Terre qui peut m’aider !


- Oh, tiens, j’te la rends, merci !
- J’vous en fait cadeau ! J’ai un Pittbull maintenant !


- Qu’est-ce qu’il y a pied-tendre ? Où tu vas ? T’as les foies ! C’est bien c’que j’pensais !
- Personne ne me dit que j’ai les foies !


- C’est fini ! Il n’y a plus rien à craindre ! Nous voilà revenu à la ferme McFly !
- La ferme McFly, quoi ?


Alors, tu es mon arrière grand-père, tu es le premier McFly né en Amérique et tu m’as fait pipi dessus !


- Doc, Doc, Doc, s’il vous plait, réveillez-vous ! Combien de verres il a bu ?
- Juste un !
- Juste un ? Pas de blagues, Doc !
- On peut dire qu’il tient pas l’alcool !


- Dans exactement 10 minutes, il sera aussi sobre qu’un prêtre le jour du Seigneur !
- Dans 10 minutes ?


- Doc, je croyais ne plus vous revoir !
- Un savant a plus d’un tour dans son sac et je ne voulais pas que tu te fasses de souci pour moi. Oh, je t’ai rapporté un petit souvenir !
- C’est super, merci !


- Doc, où allez-vous maintenant ? Vous retournez vers le futur ?
- Non ! J’y suis déjà allé !


- Allez, vide ton sac, gamin ! Qu’est-ce que tu sais à propos de ce bouquin ?
- D’abord, je veux savoir comment tu l’as eu, à quel endroit, de quelle façon et à quel moment ?
- Très bien, assieds-toi ! Assieds-toi ! Le 12 novembre 1955 voilà quand je l’ai eu !
- Le 12 novembre 1955 mais c’est le jour où je suis parti dans… c’est le jour où la foudre est tombée sur l’horloge de l’hôtel de ville.
- T’es fort en histoire, c’est bien ça ! Je n’oublierai jamais ce samedi, je venais de reprendre ma bagnole car je l’avais envoyée dans le décor en faisant un rallye quelques jours plus tôt.
- Je croyais que tu l’avais encastrée dans un camion de fumier !
- Comment peux-tu savoir ça ?
- Mon père, c’est mon père qui me l’a dit !
- Ton père ?
- Avant de mourir !
- Oui bien sûr ! J’avais repris ma bagnole et je ne demandais rien à personne et y’a ce vieux crouton qui se pointe avec sa canne à la main, il me dit qu’il est un parent éloigné, j’avais pas la moindre ressemblance alors il me fait « ça te dirait d’être riche ? » alors je lui ai dit « ouais bien sûr ! ». Et il me refile ce bouquin, il m’a dit que dedans, il y’a les résultats de tous les évènements sportifs jusqu’à la fin du siècle, tout ce que j’ai à faire c’est de miser sur le vainqueur et je gagnerai à tous les coups. Mais enfin ce que tu fais c’est quoi, de l’arnaque ? Y’a pas d’arnaque il m’a dit seulement il faut que t’en parles à personne ! Après ça il a disparu et je l’ai jamais revu. Il m’a encore dit autre chose aussi qu’un jour, y’aurait peut-être un vieux savant cinglé au regard fou ou un sale gamin qui viendraient roder par ici et poser des questions au sujet de ce bouquin et qu’au cas où ça se produirait, C’est drôle, j’aurais jamais cru que le gamin ça serait toi.
- Mais Biff ce que tu oublies… oh regarde là !


- Vas-y gamin, saute ! Bonne idée le suicide, ça m’arrange !
- Et si je veux pas sauter ?
- Indigestion de plomb !
- Et la Police, tu y’as pensé Biff ? Ils sauront que la balle vient de ton revolver !
- C’est moi qui donne des ordres à la Police. Et puis d’ailleurs, ils n’ont jamais su d’où venait la balle qui a descendu ton père.
- Espèce de sale…
- Tu vois ça ? C’est une drôle de justice !


- T’as les foies ?
- Personne… Ne me dit que j’ai les foies.


- Vous êtes vivant ! Un gilet pare-balles ? Mais comment avez-vous su ? Je ne vous en avais jamais parlé ! Alors toutes ces histoires farfelues sur la rupture du continuum espace-temps, vous en pensez quoi ?
- Bah, je me suis dit « On s’en balance ! »
- Alors Doc, vous allez loin dans le futur ?
- Environ 30 ans, j’ai toujours adoré les chiffres ronds !
- Passez me voir quand vous serez là-bas ! J’aurai à peu près 47 ans !
- D’accord, j’y penserai !


- Attendez Doc, je vous vois mal entrer dans une droguerie et demander du plutonium, vous ne l’auriez pas fauché ?
- Oui, précisément ! Un groupe d’extrémistes libyens voulait que je leur fabrique une bombe surpuissante avec du plutonium alors je les ai roulés en leur refilant des vieilles billes de flipper.


c’est vous le doc, Doc.


- Eh, banane ! Tu croyais m’entuber avec ce déguisement idiot ? On va régler nos comptes toi et moi, terminé, fini la rigolade.
- Non, merci, Biff !
- Bah qu’est-ce que t’as ? Où tu te barres comme ça ? Attends, t’es une mauviette ? Ouais c’est ça ! Tout ce que t’es, c’est une petite mauviette.
- Personne ne me traite de mauviette, ouille !
- Le salaud, tu me piques mes affaires ?
- Ah !
- Et ça, c’est pour ma bagnole !
- Ouille !


- Ce n’est pas ma faute cette fois ! Doc a retardé toutes ses horloges de 25 minutes.
- Doc ? Dois-je comprendre par là que vous vous collez toujours aux basques du Dr. Emmett Brown McFly ? Voici votre feuille de retard Mlle Parker et la votre McFly ça doit être la quatrième ou cinquième. Je vois que vous ne profitez pas de mes conseils McFly, votre soi-disant Dr. Brown est un homme dangereux, sa place est à l’asile, continuez à le fréquenter et vous vous retrouverez dans de beaux draps.
- C’est noté Monsieur !
- Vous aurez intérêt à changer de comportement McFly vous m’entendez ? Vous êtes un tocard ! Vous me rappelez votre père à l’époque quand il était au lycée, un vrai tocard lui-aussi.
- Je peux y’aller maintenant Mr Strickland ?
- J’ai appris que votre orchestre participait à l’audition qui doit avoir lieu ce soir ? Pourquoi vous casser le cul McFly ? Vous savez très bien que vous n’avez pas la moindre chance ! Vous êtes bien le digne fils de votre père ! Aucun McFly n’a jamais laissé la moindre petite trace dans toute la grande histoire de Hill Valley !
- Vous savez, l’histoire elle va changer !


- Non, non, ce n’est pas possible ! Décédé le 15 mars 1973 ? Mon Dieu, non, je vous en prie mon Dieu, ce n’est pas vrai ! Ce n’est pas possible, ce n’est pas possible !
- J’ai bien peur que ce cauchemar soit la triste réalité !
- Doc !
- Quand j’ai su pour ton père, je me suis dit que tu viendrais ici !
- Alors vous savez ce qui lui est arrivé ? Vous savez ce qui s’est passé le 15 mars 1973 ?
- Oui Marty, je sais ! Je suis allé à la bibliothèque pour y voir clair dans toute cette folie mais toutes les issues étaient condamnées alors je suis entré par effraction et j’ai emprunté plusieurs journaux.
- Mais enfin Doc, je n’y comprends rien mais comment est-ce possible tout ça ? J’ai vraiment l’impression d’être en enfer.
Non, on est à Hill Valley bien que je ne vois pas comment l’enfer pourrait être pire. Oh, Einstein, excuse-moi ! Le labo est dans un triste état, pauvre biquet, allez viens là ! De toute évidence, une rupture du continuum espace-temps a provoqué une nouvelle séquence chrono-événementielle provoquant l’émergence de cette réalité alternative.


Dr. Emmett Brown : Arrête tout de suite, va au Diable Tannen !
Buford Tannen : Non, toi tu vas y aller, tout droit, en enfer ! Toi ?
Marty : Eh, tu nous lâches espèce de tâche ?
Buford Tannen : Pour causer, t’es fortiche l’avorton. T’as rien d’autre dans le bille qu’à balancer un plat à tarte ?
Marty : Écoutez, laissez mes amis tranquille et c’est tout.
Buford Tannen : Ben qu’est-ce qu’il y a pied-tendre ? Où tu vas comme ça ? T’as les foies ? Ouais, c’est bien ce que je pensais.
Marty : Personne ne me dit que j’ai les foies.
Buford Tannen : Eh ben qu’on en finisse, tout de suite !
Un homme de main de Bufford Tannen : Pas maintenant patron, le Marshall a nos armes.
Buford Tannen : C’est bien ce que je disais, on en finit demain.
Un homme de main de Bufford Tannen : C’est que demain, on est à Pine City, on attaque la diligence.
Buford Tannen : Bon, Lundi, on fait quelque chose Lundi ?
Un homme de main de Bufford Tannen : Euh, non ! C’est bon tu peux le buter !
Buford Tannen : Je vais revenir Lundi, j’te retrouve ici et on réglera ça là-dehors, dans la grande rue, devant le Saloon Palace.
Marty : Ça me convient, à quelle heure ? Un duel au Soleil ?
Buford Tannen : Mais qu’est-ce qu’il raconte ? Je troue la peau des gens avent mon p’tit déjeuner, Lundi matin à sept heures.
Marty : Non, huit heures ! Je troue la peau des gens après mon p’tit déjeuner.
Dr. Emmett Brown : Marty ! Euh, non !
Marshall Strickland : Ça suffit, dispersez-vous, qu’est-ce qui se passe ? Vous faites du grabuge Tannen ?
Buford Tannen : Je fais pas de grabuge Marshall, juste une affaire privée entre moi et Eastwood, ça regarde pas les forces de l’ordre.
Marshall Strickland : Ce soir tout regarde les forces de l’ordre alors je ne veux pas d’attroupement et à la moindre rixe, ce sera 15 jours dans les geôles du Comté allons tout le monde, ceci est un bal alors en piste et que tout le monde s’amuse.
Buford Tannen : Huit heures, Lundi matin avorton ! Et si t’es pas là, j’te traquerai et j’te tirerai comme un sapin.
Un homme de main de Bufford Tannen : Euh, c’est lapin patron, on dit Tirer comme un lapin.
Buford Tannen : Bon allez les hommes on s’en va ! Laissons ces fillettes finir leur valse.


Buford Tannen : Lundi, on fait quelque chose lundi ?
Un homme de main de Bufford Tannen : Non on fait rien lundi, c’est bon tu peux le buter lundi !
Buford Tannen : J’vais rev’nir lundi ! Et j’te retrouve ici ! Et on réglera ça, là dehors devant le Saloon Palace !
Marty : Ça me va, un duel au soleil ?
Buford Tannen : huh ? Mais qu’est ce qu’il raconte ? Je troue la peau des gens avant mon p’tit déjeuner ! Lundi matin ! sept heure !
Marty : Non ! huit heure, je troue la peau des gens après mon p’tit déjeuner.


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