Personnage - Apollo Creed

Non, non, non, je ne veux pas annoncer un K.O. fulgurant mais je veux montrer devant les caméras du monde entier que la Russie n’a pas forcément besoin que des super athlètes.

Les petits cochons russes lui ont bouffé la langue, vous avez vu ?

- Mon époux a la satisfaction d’avoir cette opportunité, c’était son rêve : dans notre pays, Apollo Creed est un champion très respecté mais ce serait bien qu’Ivan soit victorieux.
- Eh là, une seconde, on n’y est pas encore ! Vous ne croyez tout de même pas que vous allez me mettre la pile non ?

Vous savez ce qu’on dit ? Prendre des gnons, ça fait rentrer le métier !

- Pourquoi tu es venu me chercher ?
- J’ai mon plan, j’ai envie que tu redeviennes toi-même !
- Vas-y, tu m’intéresses !
- Non, c’est toi qui m’intéresses Rocky !

Paulie : N’écoute pas ces conneries Rocky !
Apollo Creed : Au contraire, écoute tout Rocky car après ton retour, il y a beaucoup de gens qui te devront des excuses publiques et moi je te demanderai une petite faveur.
Rocky : Quelle faveur ?
Apollo Creed : Quand ce sera fini !

- C’est l’heure ! Écoute, je voudrais que tu mettes ça !
- C’est bien Apollo, mais ce sont les couleurs que tu portais à notre premier combat, je peux pas porter tes couleurs.
- Mets le, tu veux ?
- Sûr ?
- Ouais !
- Merci Apollo !
- Juste une chose, j’aimerais que tu le laves avant que tu me le rendes OK ?
- OK !
- N’oublie pas ! Après, tu me dois encore une petite faveur !
- Mais enfin, quelle faveur ?

Eh bien à mon avis, la force se trouve du côté du challenger mais l’expérience et une résistance hors du commun sont du côté de Rocky Balboa et je sais de quoi je parle, je pense donc que Rocky va encore gagner ce soir.

Tony Duke Evans : Eh, salut champion !
Apollo Creed : Duke mon pote, ça va ! Tout est paré ?
Tony Duke Evans : C’est prêt on peut commencer !
Apollo Creed : Je crois que je n’ai pas besoin de présenter !
Tony Duke Evans : Non, ça me fait plaisir de travailler avec toi, j’en ai bavé à travailler contre toi, alors la forme ?
Rocky : Ouais !

- Ouais on a vécu comme des bourgeois mais maintenant on va s’entraîner à l’ancienne. Attends ici Rocky, je vais aller dire bonjour à mes copains.
- Eh les gars, regardez qui j’amène !
- Eh l’étalon, viens par ici que je te présente à mes potes, je vous présente Rocky Balboa les gars !

- Il va se faire tuer !
- Non, non, non, non, non, il est en train de se regonfler à mort !

- Allez Rocky tu me fais encore deux longueurs !
- C’est pas une anguille ! Il a besoin d’entraînement en salle !
- Écoute, il faut qu’il apprenne à se servir de tous ses muscles ! Allez, tu ne perds pas de temps !
- Ça va pas être facile de le changer à ce point là, c’est un cogneur mais pas un bon boxeur !
- Et à force de répéter ça, il ne sera plus rien, tu comprends ?
- Ouais !
- Allez, ne perds pas de temps, encore deux longueurs !

Qui c’est celui là ? Al Capone ?

Au mois de Novembre, je t’abats !

Vous n’avez pas battu Rocky Balboa, il n’est pas nécessaire d’être un boxeur pour voir que le match était truqué.

Tu prétends être le champion, tu n’es rien qu’un fraudeur, ton match était truqué, va te flinguer !

Combien de dollars as-tu touché pour balader ce tocard jusqu’au dernier round ?

Je crois que le grand public attend avec impatience de voir la revanche entre moi et celui qui se fait appeler « L’étalon Italien » mais je vois bien que « L’étalon » tourne les talons peu importe comment tu t’appelles mais tu as peur, tu as peur de venir m’affronter sur le ring et le monde entier le sait aussi bien que moi, c’est votre opinion et c’est votre droit de penser ça et moi je suis prêt à proposer une revanche pour montrer que cet incroyable veinard, oui car c’est bien d’un coup de veine qu’il s’agit, n’aura pas la force de tenir plus de cinq minutes sur le ring devant un super athlète comme moi, ce type se débine, ce type se cache, ce type n’ose pas m’affronter alors je te le dis ici Rocky Balboa si c’est bien ton nom, je veux que l’Amérique entière sache et que le monde entier sache que je suis prêt à te rencontrer ici où tu veux et quand tu veux, je le rencontrerai et j’écraserai ce soi disant boxeur qui se dit « L’étalon Italien » si tu as le cran de me téléphoner, tu peux même m’appeler en PCV et appelle moi, Balboa !

Si vous vous croyez au cirque moi pas !

Je me le taperai comme une bonne branlette !