- Ça va ? - Au poil, sinon je t’aurais dit que je tombait en quenouille. - Tu sais j’en ai jamais mangé moi de ces trucs là. - Qu’est-ce que tu débloques ? - Les grenouilles, j’en ai jamais bouffé. - J’ai dis quenouille ! Grosse nouille…
Ce match c’est nous contre les Soviets, reprends-toi ! Tu n’as pas l’air de comprendre ce que j’te dis là ! Mais, crois-moi ! Devant le résultat, là tu pigeras, devant le résultat, tu pigeras ! Fais-moi confiance !
- Mais, il ne perdra pas ! - Alors là, je vous arrête tout de suite ! Il va se faire cirer votre Dragon russe ! - Je vous trouve bien sûr de vous ! - Écoutez-moi ! J’ai fait des matchs avec les meilleurs et j’ai battu les meilleurs ! On m’a baptisé le Pourvoyeur des Caisses de Retraite !
Ludmila Drago : Pourquoi nous insultez-vous ? Apollo Creed : Écoutez-moi, ne me faites pas passer pour le méchant de service ! Je voulais simplement parler posément de notre futur match mais le Camarade Popov m’a cherché ! Nikoli Koloff : C’est vous l’agresseur Monsieur Creed ! Apollo Creed : Eh là, ne jouez pas à ça avec moi, hein !
- T’es chouette l’étalon, c’est super de m’avoir fait venir ici. - Non, on est quittes ! - J’me sens revivre là tout à coup !
Toi et moi, on est de la même trempe parce qu’on est des guerriers. Le boxeur s’il n’a pas sa petite guerre à faire, il se rapproche petit à petit du repos du guerrier qui le guette et ne se rapproche plus loin du repos éternel. Je te demande ça comme une faveur, accompagne-moi encore une dernière fois !
- Excusez-moi de vous interrompre, mais vous n’avez pas du tout le sens des réalités Monsieur Creed ! - Comment ça ? Mais d’où sortez-vous Monsieur ? - Vous savez boxer ! Oui c’est vrai ! Mais, vous êtes trop vieux pour pouvoir envisager de battre Drago. - Quoi ? Je suis trop vieux ? - Oui, et justement ça pourrait vous faire très mal !