Kaakook

Tag - allusion

Mon amour, demain je pars pour un grand voyage, et même si je suis triste, je pars heureuse et sereine car j’ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l’inconnu. J’ai appris que de montrer nos fragilités c’était nous rendre plus fort. J’ai appris à ne pas avoir peur d’aimer, avec toi Zac, j’ai appris à vivre, tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous sépare de ce moment là puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n’aies plus jamais peur du noir tant que tu seras tout seul, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t’aime et je t’attends. Ton étoile, Sarah.

9.19 (4689 votes)

Toutes les fois où je déprime en voyant ce qui se passe dans le monde, je pense à la zone d’arrivée des passagers de l’aéroport de Londres ; de l’avis général nous vivons dans un monde de haine et de cupidité. Je ne suis pas d’accord. J’ai plutôt le sentiment que l’amour est présent partout ; il n’y a pas toujours de quoi en faire un roman mais il est bien là : père et fils, mère et filles, mari et femme, copains, copines, vieux amis…
Quand les deux avions ont frappé les tours Jumelles, à ma connaissance aucun des appels téléphoniques de ces gens qui allaient mourir ne contenaient de message de haine ou de vengeance. C’étaient tous des messages d’amour.
Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour.

9.15 (404 votes)

Attendre après toi c’est comme attendre après la pluie durant cette sécheresse : inutile et désappointant.

9.11 (416 votes)

J’ai commencé à te haïr au moment ou tu m’as obligé à te désirer.

9.09 (1446 votes)

Ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime que ça finit par faire mal.

9.09 (3068 votes)

Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé.


Tout s’achète : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi… Surtout moi. L’homme est un produit comme les autres. Avec une date limite de vente. Je suis publicitaire. Je suis de ceux qui vous font rêver des choses que vous n’aurez jamais. Ciel toujours bleu, nanas jamais moche, bonheur parfait retouché sur Photoshop. Vous croyez que j’embellis le monde ? Perdu, je le bousille.

9.05 (1217 votes)

Il arrive un jour, un jour où t’es debout quelque part, ou tu te rends compte que tu ne veux être personne de ton entourage. Tu veux pas être ce putain de looser à qui t’a démonté la tête, ni ton père, ni ton frère, personne de ta putain de famille. Tu refuses aussi d’être Madame la juge, tu ne veux même pas être toi-même, tout ce que tu veux c’est partir en courant et sortir à fond la caisse de l’endroit où tu te trouves.
Et soudain ça arrive, quelque chose se déclenche et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer, elles ont déjà changé. Et à partir de là plus rien ne sera jamais pareil.
Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n’y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c’est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c’est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n’arrivent qu’une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n’auras jamais plus la sensation d’être à trois mètres au-dessus du ciel.

8.97 (543 votes)

Jacquouille ! Passe moi la gourdasse, j’ai grand soif !

8.92 (334 votes)

Principe de base : peu importe quand, peu importe qui, peu importe où, n’importe quel homme peut envouter n’importe quelle femme.

8.88 (284 votes)

Tu es comme une drogue pour moi, c’est comme si tu étais ma propre marque d’héroïne.


C’est la joie d’me revoir ou tu caches un lapin dans ton pantalon ?

8.78 (64 votes)

La « fibre morale ». Voyons, c’est quoi au fond, la « fibre morale » ? Avant, je croyais que c’était toujours dire la vérité, se montrer généreux, donc à la base, se prendre pour un putain de scout. Mais maintenant je vois les choses différemment. Ce qui compte le plus sur le plan moral, c’est de trouver ce qui est essentiel pour soi. Je veux dire cette passion qui vous fait porter un autre regard sur le monde et quand vous l’avez trouvée, vous ne lâchez plus. Vous prenez tous les risques. Pour vous, elle passe avant tout le reste; votre avenir, vos rêves, votre vie. Même si vous faites des trucs pas très net pour l’aider, au fond, c’est pas grave… Parce-que dans votre cœur, vous savez que le jeu en vaut la chandelle. C’est ça, pour moi, la « fibre morale ».

8.63 (172 votes)

L’amour, c’est deux personnes sur une balançoire. Quand l’un des deux monte, l’autre descend. L’équilibre est toujours rompu. Par le temps, la monotonie, ou les gens comme moi. La seule manière qu’on connaît de soulager la douleur, c’est de faire souffrir l’autre.

8.62 (149 votes)

Tu prends la pilule bleue, l’histoire s’arrête là, tu te réveilles dans ton lit, et tu crois ce que tu veux. Tu prends la pilule rouge, tu restes au Pays des Merveilles et je te montre jusqu’où va le terrier.

8.53 (85 votes)

- Je suis tout mou entre vos mains.
- Entre mes mains, rien ne reste tout mou.

8.21 (29 votes)

Certaines choses changent, et d’autres ne changeront jamais.

8.18 (56 votes)

Ça m’fait des choses bizarre… Comme quand on était p’tits et qu’on grimait la corde à nœuds !


La réussite ça génère des inimitiés et ça crée des ennemis, ton succès se retourne contre toi, qu’est ce que tu vas faire ? Tu vas tuer ton succès ? Tu préférerais ne pas avoir réussi ? C’est pas compliqué soit on réussi son coup et on se fait des ennemis, ou bien on loupe son coup et on se fait quelques amis. C’est une question de choix.

7.84 (41 votes)

Change pas de main, je sens que ça vient.

7.78 (26 votes)

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