Top - Citations de films des années 1960

Dans les situations tendues, quand tu parles fermement avec un calibre en pogne, personne ne conteste. Y’a des statistiques là-dessus.

- Qu’est-ce que c’est, une révolte ?
- Non Sire, une révolution.

- Pourquoi est-ce que j’irais te buter ?
- Parce que tu es un carnassier, un sauvage, un vindicatif, un haineux.

Cette nuit, Albert vous a parlé du Yang-tsé-Kiang. Eh bien ! Il faut pas ! C’est mauvais pour lui.

Vous avez suivi une étoile depuis l’Asie jusqu’au centre du monde ?

Notre dieu est un dieu sauveur, pas un dieu de vengeance !

Lève-toi et marche !

Bonne nuit camarade Beria !

Une femme célibataire est une proie facile.

- Dites 33 !
- Thirty three…
- Oui oui oui…

- Il est mort
- Oui. Pourquoi ?
- Ceci c’est mon puits.
- J’ai aussi bu l’eau du puits.
- Tu es le bienvenu.

Esteban tu es un crétin, ça me gêne parce que tu es mon frère.

- La prime pour la capture de cet homme est de 5000 dollars.
- Un certain Judas a trouvé que 30 dollars c’était tout à fait suffisant.
- Il n’y avait pas de dollars à cette époque là.
- Mais des fils de putes ça il y en avait.

But alors, you are french ?

- Dans notre métier, commissaire, vaut mieux passer pour un fou que pour un imbécile.
- Alors là, vous risquez pas la camisole !

Tu disais pourtant tout à l’heure : « ces deux types, au lieu de les avoir derrière moi, j’aimerais les avoir devant, à l’horizontal et complètement refroidis. »

Il ne faut pas que tu m’en veuilles
Où je vais me mettre à pleurer
Mon maquillage va couler
Et j’ai déjà la larme à l’œil !

Je me savais intelligent mais pas à ce point.

Je ne pense pas que Jésus-Christ parlait l’anglais !

- Nous, on vous a jamais demandé de venir piocher les statues de Staline et de Lénine !
- Mais si vous nous l’aviez demandé, eh, nous serions venus !