Top - Citations de films des années 1960

Y en a !

C’est pas inhumain d’entendre ça ! Mais qu’est-ce que tu veux que je fasse avec cinq cents briques, hein ! Surtout d’nos jours… Le SMIC est en plein chancelique, la TVA nous suce le sang, la Bourse se fait la malle… J’ai calculé, j’en aurais à peine pour cinq piges… J’aurais cinquante berges… Tu voudrais tout d’même pas que j’retourne au charbon à c’t âge-là, non ? Tu serais pas vache avec les vieux, des fois ?

C’est lourd nom de Dieu… oh pardon ma sœur !

- L’amour a un grand pouvoir d’attraction sur les créatures.
- Plus grand que la gravitation ?
- Oui mon garçon, c’est une force énorme. Je dirais même que c’est la plus grande force sur cette Terre.

- Un jour c’est ton père et moi que tu tueras, de chagrin !
- Eh bien comme ça, on ne retrouvera pas l’arme du crime.

Ça prouve qu’on peut être pucelle en tout. Je me demandais ce qui n’avait pas encore servi chez toi, bah c’était la mémoire !

Mon général, vos regrets ne sauveront pas le pont mais des chars, eux, l’auraient pu !

Le temps change l’espace !

Je prendrais bien un petit chocolat !

Mais pourquoi il dit plus « Coucou ! » ?

J’suis la mascotte des tortionnaires…

- Mais qu’est-ce que vous faites ? Pourquoi avez-vous mis la main dans le feu ?
- Je n’en avais jamais vu.

H. George Wells : Quel genre de gouvernement possédez-vous ?
Un Eloi : Nous n’avons pas de gouvernement.
H. George Wells : Oui mais, vous devez avoir un groupe de personnes qui… qui fait respecter les lois ?
Un autre Eloi : Les lois ? Il n’y a aucune loi.
H. George Wells : Votre nourriture et vos vêtements ? Est-ce que personne ne travaille ?
Un Eloi : Non.
H. George Wells : Mais alors, d’où vient tout ceci ?
Un autre Eloi : Ça pousse. Y’en a toujours.

- Écoutez. Weena, vous entendez ça ?
- Oui.
- Des machines !
- Non, les Morlocks !

La guerre entre l’Est et l’Ouest qui était entrée dans sa 326ème année est enfin terminée. Il ne reste plus rien qui puisse servir à tuer et presque personne pour se battre. L’atmosphère est tellement polluée de germes mortels qu’il est devenu impossible de la purifier. Il n’est pas un coin de la planète qui soit à l’abri. La dernière usine qui fabriquait encore de l’oxygène vient d’être atomisée. Les stocks diminuent à vue d’œil. Lorsqu’ils seront épuisés, nous mourrons.

- Qui êtes-vous monsieur ?
- Je ne suis qu’un étranger qui a connu votre père.
- Est-ce que vous venez du front ?
- Du front ? Quel front ?
- Mais, nous sommes en guerre, monsieur…
- Quelle guerre ?
- C’est incroyable ! Est-ce que vous ignorez que nous sommes en guerre avec l’Allemagne depuis 1914 ?

Après tout, faites ce que vous voulez avec moi !

- Pourras-tu passer pour un Arabe dans une ville arabe ?
- Certainement ! Si l’un de vous veut me prêter des vêtements sales.

- L’un d’eux a commis un meurtre.
- Un seulement ? Mais le meurtre est l’occupation de tous les généraux.
- Alors disons que ce qui est admirable sur une grande échelle est monstrueux sur une petite. Comme il faut que les meurtriers de masse soient décorés, essayons d’appliquer la justice aux petits entrepreneurs.
- Très joliment dit !

- J’ai signé ma feuille de sortie.
- Mais pourquoi cette hâte ? N’y avait-il pas de belles infirmières ?
- Oh, si, si. Mais il y avait trop de mauvaises nouvelles.