Top - Citations de films de l'année 1976

You talkin’ to me?

Ce qui compte c’est pas le nombre de coups que tu peux donner, mais c’est le nombre que tu peux encaisser et continuer à avancer.

Toute ma vie j’ai été suivi par la solitude. Partout. Dans les bars, les voitures, sur les trottoirs, dans les magasins… partout. Y’a pas d’issue… j’suis abandonné de Dieu.

Écoutez bien, bande de dépravés, voilà l’homme pour qui la coupe est pleine, l’homme qui s’est dressé contre la racaille, le cul, les cons, la crasse, la merde… voilà quelqu’un… qui a refusé…

Il y a toute une faune qui sort la nuit : putes, chattes en chaleur, enculés, folles, pédés, pourvoyeurs, camés, le vice et le fric. Un jour viendra où une bonne pluie lavera les rues de toute cette racaille.

- Hé, vous êtes des services secrets n’est ce pas ?
- Non, j’attends seulement le sénateur.
- Ah, vous attendez le sénateur… Ah pour une réponse, ça c’est trouvé, ha ha… merde… et moi j’attends qu’il y ait du soleil !

- Colonel, ma seule consolation, c’est que grâce à ma sœur, votre plan a échoué.
- Grâce à elle ? Je croyais, moi, que c’était parce qu’un de mes hommes s’est sacrifié pour sauver une fillette de chez vous.

Regarde-moi ça. Deux flics me souhaitant bonne chance. J’suis foutu.

- Vous avez le revolver ?
- Et deux balles. Est-ce que je ne devrais pas les garder pour nous ?
- Vous les gardez pour les deux premiers connards qui vont se pointer par là.

Des cocktails Molotov, ils mettent le feu à la baraque, ces fumiers !

Je suis un homme sans avenir !

Agueusie !

Depuis le moment où on vient au monde, on essaie de s’occuper en attendant l’heure de sa mort !

- Vous vous appelez comment ?
- Marguerite. Et vous ?
- Je m’appelle monsieur le directeur !

- Répétez ce que je vais vous dire : « Un apéritif à l’atelier de gravure ? J’arrive tout de suite monsieur le directeur… »
- Un apéritif à l’atelier de gravure ? J’arrive tout de suite monsieur le directeur…
- Je vous attends !
- Je répète ça aussi ?
- Andouille !

- Je suis américaine. Qu’est-ce qui nous rend différend des Américains d’origine italienne ou germanique ?
- Pearl Harbor, c’est tout.

- C’est sans danger ? C’est sans danger ?
- C’est à moi que vous parlez ?
- C’est sans danger ?
- Qu’est-ce qui est sans danger ?
- C’est sans danger ?
- Je ne comprends pas. Je ne peux pas dire si quelque chose est sans danger ou non si je ne sais pas à quoi vous vous référer exactement.
- C’est sans danger ?
- Dites-moi d’abord ce que le sujet représente…
- C’est sans danger ?
- C’est sans danger, oui, c’est tellement sans danger que c’est à peine croyable !
- C’est sans danger ?
- Non, le danger est immense, je vous conseille d’être prudent, très prudent.

- Je considérerais comme un honneur que vous sortiez avec moi.
- J’n’en doute pas.
- T’es vraiment un Corse !
- Ça dépend des moments.

Comment puis-je débarquer à terre mes troupes d’invasion sur Midway si du côté ennemi les terrains d’aviation et les batteries côtières n’ont pas été neutralisés ?

Aujourd’hui, il s’agit d’un coup contre Midway et les Aléoutiennes avec un effectif de cent mille hommes et de deux cents bâtiments !