Il me les faut tous les deux le gros et le petit, je mets tout le monde sur l’affaire, je veux les voir ici aujourd’hui vous entendez imbéciles ? Je veux les voir ici. Allez, partez et toi aussi tu m’agaces avec ton sesterce.
- Ça va être un triomphe triomphal César, on n’a jamais vu ça à Rome, un programme exceptionnel ! - Je te le souhaite Caius sinon tu en feras partie. Que les Jeux commencent.
Obélix : Salut Jules, ça va ! Caius Obtus : Les deux Gaulois manquent d’éducation César mais ce sont des combattants terribles, des machines à tuer. La foule va être émerveillée. Obélix : Dis Astérix, ceux-là ce sont nos amis ? Astérix : Je ne le pense pas, Obélix. Obélix : Alors là, je ne comprends plus rien. En Gaule, c’étaient nos ennemis, en Afrique, nos amis. Peut-être que Jules, il va nous l’expliquer. Caius Obtus : Rassure-toi César, on va lâcher les lions, tout va bien se passer.
Jules César : Tu avais raison Caius, c’était un programme exceptionnel, on n’a jamais vu ça à Rome. Astérix : César, sois généreux, accorde ta grâce à ces deux esclaves courageux. Jules César : La bonté de César est infinie ou presque. Caius Obtus : Oh là, oh non ! Jules César : Gaulois, vous êtes libres !