Top - Citations de films de l'année 1985

Ludmila Drago : Pourquoi nous insultez-vous ?
Apollo Creed : Écoutez-moi, ne me faites pas passer pour le méchant de service ! Je voulais simplement parler posément de notre futur match mais le Camarade Popov m’a cherché !
Nikoli Koloff : C’est vous l’agresseur Monsieur Creed !
Apollo Creed : Eh là, ne jouez pas à ça avec moi, hein !

Bien, je vois que vous nous insultez ! Oui, c’est typique de votre comportement envers les visiteurs qui viennent de l’étranger ! Mais peut-être que la défaite de votre grotesque soi-disant champion va illustrer la faiblesse et la fin d’une pathétique société de capital. Nous repartons !

Nikoli Koloff : C’est toi qui as entraîné cet abruti, il nous déshonore ! Écoute, tu les entends ? C’est lui que notre peuple acclame espèce d’idiot, lui ! Alors, gagne !
Ludmila Drago : Niet !
Ivan Drago : Je me bats pour gagner, pour moi, pour moi !

- C’est fini ! Tu n’as plus rien à craindre ! Nous voilà revenu en cette bonne vieille année 1955 !
- En 1955 ! Ah !

Le Maire Goldie Wilson ! Ça sonne vachement bien Whooo !

Avant, je comprenais les raisons de te battre, mais là, je ne les comprends plus, tu as vu ce que disent les médias sur lui ? C’est du suicide ! Toi qui l’as vu, tu sais très bien que c’est un boucher, un bœuf ! Tu es battu d’avance !

Je voudrais en profiter pour ajouter un truc à dire à mon gosse qui est à la maison et qui me regarde en ce moment même : Joyeux Noël mon grand, je t’aime.

Cette fois Balboa tabasse le Soviétique.

Il est touché ! Le géant soviétique est touché à l’arcade, regardez, il saigne !

Superbe droite de Rocky Balboa !

Décidément, tous les coups sont permis ici à Moscou, l’Étalon italien en a pris mais il a tenu en frappant le Russe. Regardez tous les officiels s’en mêlent pour séparer les deux boxeurs, c’est la bagarre générale et on ne sait plus très bien qui boxe qui.

Je reste imbattable, il n y’a personne qui peut me battre et bientôt, je le battrai le vrai champion.

Il est touché, le Russe est touché, méchamment même ! Cette fois c’est Balboa qui revient à la charge, Rocky tabasse le Soviétique en enchaînant les crochets du droit et du gauche. Le deuxième round est terminé mais Rocky est déterminé à continuer mais on dirait que Drago aussi veut continuer. Il attrape Balboa à la gorge mais Rocky se rebiffe en projetant Drago à trois mètres comme un champion de catch. Décidément tous les coups sont permis ici à Moscou. On peut dire que Balboa en a pris des tonnes mais il en a encore sous le pied. Ça commence à devenir n’importe quoi, ça tourne au chaos et franchement on ne sait plus très bien qui boxe qui.

Jusqu’au bout !

Ce qui me saute aux yeux, c’est qu’il faudrait qu’Apollo prenne la courte échelle.

- T’es chouette l’étalon, c’est super de m’avoir fait venir ici.
- Non, on est quittes !
- J’me sens revivre là tout à coup !

Toi et moi, on est de la même trempe parce qu’on est des guerriers. Le boxeur s’il n’a pas sa petite guerre à faire, il se rapproche petit à petit du repos du guerrier qui le guette et ne se rapproche plus loin du repos éternel. Je te demande ça comme une faveur, accompagne-moi encore une dernière fois !

Je veux… ce que eux veulent et ce que tous les autres gars qui sont venus ici et qui ont vidé leurs tripes et donné tout ce qu’ils avaient dans le ventre veulent… nous voulons juste que notre pays nous aime autant que nous l’aimons… voilà ce que je veux.

Ce jeune blanc bec a besoin d’apprendre la boxe à l’américaine tant qu’on y’est.

Non, non, non, je ne veux pas annoncer un K.O. fulgurant mais je veux montrer devant les caméras du monde entier que la Russie n’a pas forcément besoin que des super athlètes.