Kaakook

Acteur / Actrice - Al Pacino

Al Pacino joue dans :


Répliques de Al Pacino (94)

Le véritable pouvoir, c’est de ne jamais avoir à s’excuser.

8.46 (94 votes)

T’es de la merde en sachet Franck ! Tu n’es qu’une sale punaise !

8.45 (74 votes)

In this country, you gotta make the money first. Then when you get the money, you get the power. Then when you get the power, then you get the women.

8.38 (132 votes)

Le libre arbitre, c’est ça qui fout la merde.

8.36 (57 votes)

Je me l’enfile ta balle de merde, je suis Tony Montana !

8.33 (38 votes)

Tu veux jouer à la vache ? Okay, tin’ de pute moi je suis Tony Montana, vous baisez avec moi !

8.31 (73 votes)

I always tell the truth. Even when I lie.

8.28 (89 votes)

Je ne sais pas quoi vous dire en fait. Trois minutes avant le plus grand combat de nos carrières.

Tout se joue aujourd’hui. Soit nous guérissons en tant qu’équipe, soit nous nous écroulons, centimètre après centimètre, jeu après jeu, jusqu’à la fin…

Nous sommes en enfer messieurs. Croyez-moi. Nous pouvons y rester, nous faire massacrer… Ou nous pouvons nous battre et revenir dans la lumière. Nous pouvons remonter de l’enfer centimètre par centimètre. Je ne peux pas le faire à votre place. Je suis trop vieux. Je regarde autour de moi, je vois ces jeunes visages et je me dis que j’ai fait tous les mauvais choix qu’un homme d’âge mûr peut faire. Croyez-le ou non, j’ai claqué tout mon fric. J’ai fait fuir tous ceux qui m’ont aimé.

Ces jours-ci, je ne peux plus me regarder dans la glace… Quand on vieillit, certaines choses vous sont enlevées. Ça fait partie de la vie. Mais on n’apprend ça que quand on commence à perdre des choses. On apprend que la vie se joue centimètre par centimètre. Le football aussi. Dans les deux jeux, la vie ou le football, la marge d’erreur est très mince. Un demi-pas trop tard ou trop tôt, et on n’y arrive pas tout à fait. Une demi-seconde avant ou après, et on n’attrape pas tout à fait. Ces centimètres que nous voulons sont partout autour de nous.

Dans chaque phase de jeu, à chaque minute, à chaque seconde. Dans cette équipe, on lutte pour chaque centimètre. Dans cette équipe, on se déchire et on déchire tout le monde autour pour chaque centimètre. On griffe de nos ongles pour chaque centimètre. Parce qu’on sait qu’à la fin, le total de tous ces centimètres fera la putain de différence entre gagner et perdre ! Entre vivre et mourir !

Je vais vous dire : dans tout combat, c’est celui qui est prêt à mourir qui gagnera ce dernier centimètre. Et si j’ai encore un peu de vie, c’est que je veux encore lutter et mourir pour ce centimètre. Parce que vivre, c’est ça ! Ces quinze centimètres devant vous ! Je ne peux pas vous y forcer !

Regardez ce type à côté de vous ! Regardez-le dans les yeux ! Vous verrez un type qui foncera avec vous. Vous verrez un type qui se sacrifiera pour l’équipe parce qu’il sait que le moment venu, vous en ferez autant pour lui… C’est ça une équipe messieurs. Soit nous guérissons, maintenant, en équipe… Soit nous mourrons, en individus. C’est ça le football, les gars. Rien de plus. Eh bien, qu’allez-vous faire ?

8.28 (19 votes)

Kevin Lomax : Il dort bien quelque part ?
Un collègue : Qui a dit qu’il dormait ?
Kevin Lomax : Mais il baise bien quelque part ?
John Milton : Partout !

8.26 (36 votes)

Mon père lui a fait une offre qu’il ne pouvait pas refuser.


Les rêves ne se réalise pas en restant sans rien faire, il faut leur courir après.

8.18 (34 votes)

This is paradise, I’m tellin’ ya. This town like a great big pussy just waiting to get fucked.

8.13 (54 votes)

Je suis un humaniste ; peut-être même le dernier…

8.13 (54 votes)

Enfin voila, c’est que j’ai a vous dire c’est ca, vous me plaisez, dés que je vous ai vu, j’ai eu le coup de coeur, j’ai dis c’est une tigresse, elle appartient à moi. Enfin bref, je veux que vous soyez ma femme, et c’est à vous la mère à mes enfants.

8.13 (65 votes)

M. Trask : Monsieur Simms…
Charles : Oui ?
M. Trask : Vous ne portez pas de lentilles vous ?
Charles : Non monsieur…
M. Trask : Vous dont la vision n’est pas défaillante, qui avez-vous vu ?
Charles : Eh bien… j’ai vu quelque chose monsieur mais, je… je ne pourrais pas vous dire c’que c’était.
M. Trask : Très bien. Quelle est cette « chose » que vous avez vu ?
Charles : Je ne saurais vous dire.
M. Trask : Vous ne sauriez ou ne voudriez le dire ?
Charles : Non je… Non j’pourrais pas.
M. Trask : Pourrais, voudrais, devrais… M. Simms, vous venez à bout de ma patience, vous vous moquez des membres de ce jury ! Je vous donne une dernière chance ; les conséquences de votre réponse peuvent être des plus néfastes. Par néfaste, je veux dire que votre avenir sera irrémédiablement compromis. Alors pour la dernière fois : qu’avez-vous vu, mardi dernier dans la soirée en sortant de la bibliothèque ?
Charles : J’ai vu trois personnes.
M. Trask : Ah ! Trois personnes… On avance ! Avez-vous vu à qui ils ressemblait.
Charles : Oui.
M. Trask : Et à qui ressemblaient-ils, M. Simms ?!
Charles : Eh bien je crois qu’ils ressemblaient… À n’importe quel élève de l’école.
M. Trask : Nous sommes donc privés de tout témoignage. La déposition de M. Willis n’est pas seulement vague, elle n’a aucune substance. Cette substance que nous recherchons M. Simms, je croyais la trouver en vous !
Charles : J’suis désolé…
M. Trask : Et moi encore plus, M. Simms… Vous vous doutez de ce que vous m’obligez à faire : dans la mesure où je ne peux punir M. Havemeyer, M. Potter et M. Jameson - et je ne punirai pas M. Willis ! Il est le seul protagoniste de cet incident qui puisse encore s’ enorgueillir du titre de Compagnon de Baird - je m’en vais recommander au Conseil de Discipline… de vous expulser. Vous êtes un virtuose du trompe-l’œil et vous êtes un menteur !
Le colonel Slade : Mais pas un indic !
M. Trask : Excusez-moi ?
Le colonel Slade : Non je ne vous excuse pas !
M. Trask : M. Slade…
Le colonel Slade : Tout ceci est un ramassis de conneries !
M. Trask : M. Slade je vous demanderais de surveiller votre langage ! Vous êtes à Baird : une grande école, pas une caserne ! M. Simms, je vais vous offrir une ultime possibilité de vous justifier…
Le colonel Slade : M. Simms vous remercie du cadeau. M. Simms n’en a rien à branler d’être estampillé ou non Compagnon de Baird ! C’est quoi cette secte ?! Qu’est-ce que c’est que votre devise ?! « Messieurs, il faut balancer vos camarades et assurer vos arrières, faute de quoi nous vous clouerons au pilori ! ». Mais quoi, comme on dit, quand les choses tournent au vinaigre y’en a qui baissent leur froc et d’autres qui montent la garde ! Hein ?! Ici : Charles, qui brave la tourmente, et là : George qui se cache dans le jupes de papa ! Et vous, qu’est-ce que vous faites ? Vous récompensez George et vous sacrifiez Charles !
M. Trask : Avez-vous fini M. Salde ?
Le colonel Slade : Non ! Non, je commence à peine à m’échauffer ! Je ne sais pas qui est sorti de cette école : William Howard Trask, William James Bryan, Guillaume Tell, qui vous voulez… Leur esprit s’est éteint ! S’ils en ont jamais eu un ! Éteint ! Vous bâtissez le radeau de la Méduse. Un vaisseau pour cafards aquatiques ! Et si vous croyez préparer ces marins d’eau douce-là à être des hommes, vous vous mettez le doigt dans l’œil, parce que j’affirme que vous tuez l’esprit même que cette institution prétend faire naître ! Tout ça, c’est le pipeau ! Qu’est-ce que c’est que cette comédie que vous mettez en scène ?! Le seul qui a de la classe dans cette farce est assis à côté de moi, et je suis venu vous le dire : l’âme de ce garçon est intacte ! Elle n’est pas négociable, là-dessus aucun doute ! Une des personnes présentes - et je ne dirai pas qui - a voulu l’acheter ! Mais l’âme de Charlie n’était pas à vendre !
M. Trask : Vous allez trop loin, M. Slade !
Le colonel Slade : Trop loin ?! Je vous ferais voir moi jusqu’où on peut aller !! Aller trop loin, vous ne savez pas ce que c’est M. Trask ! Je vous le ferais voir, mais je suis trop vieux, trop fatigué, et bien sûr aveugle ! Si seulement j’étais le même homme qu’il y a cinq ans, c’est au lance-flammes que j’attaquerais Baird !! Trop loin ? Mais à qui croyez-vous vous adresser, hein ? Oh ! J’en ai vu des choses, vous savez ! Il fut un temps où je n’étais pas aveugle… Un temps où j’ai vu des gamins comme ceux-là - et plus jeunes que ceux-là - les jambes arrachées, les bras déchiquetés par les bombes ! Mais il n’y a rien de pire que le spectacle de l’amputation d’un esprit ! Il n’existe… aucune prothèse pour ça ! Vous croyez simplement renvoyer ce splendide fantassin dans ses foyers au bout de l’Oregon, la queue entre les jambes pour tout salaire ?! Moi je vous dit que vous êtes en train d’exécuter son âme !! Et pourquoi ? Parce qu’il n’est pas Compagnon de Baird ?! « Compagnons de Baird » ! Ah ! Faites-lui du mal, et on vous appellera les « Compagnons de Merde » tous autant que vous êtes ! Et Harry ! Jimmy ! Trent ! Où que vous soyez : allez vous faire foutre !
M. Trask : Veuillez vous asseoir M. Slade !
Le colonel Slade : Non ! Je n’ai pas fini ! Quand je suis arrivé ici, j’ai entendu ces mots : « Berceau des dirigeants de ce pays »… Quand la proue du bateau se brise, le berceau va par le fond et il coule corps et biens ! Vous qui formez les chefs, qui façonnez nos dirigeants, faites bien attention au genre de dirigeants que vous nous préparez ! Je ne sais pas si le silence de Charlie est justifié ou non : je ne suis ni juge ni jury. Mais il y a une chose que je sais : ce n’est pas quelqu’un qui vendrait père et mère pour se payer un avenir ! Et ça, mes amis, ça s’appelle l’intégrité ! Ça s’appelle le courage ! Voilà de quelle étoffe nos dirigeants devraient être faits !
Se retrouver à la croisée des chemins, ça m’est déjà arrivé. À chaque fois, je savais quel était le bon chemin… Sans aucune exception, je le savais ! Mais je ne l’ai jamais suivi. Et vous savez pourquoi ? Il m’aurait fallu ce que l’on appelle le courage ! Et maintenant, regardez Charlie… Il est à la croisée des chemins. Il a choisi sa voie… C’est la bonne voie… C’est une voie fondée sur les principes qui forgent un caractère !
Laissez-le poursuivre sa route. Vous tenez dans vos mains l’avenir de ce garçon, mesdames et messieurs. Et c’est un avenir plein de promesses ! Vous pouvez me croire. Vous ne devez pas le détruire. Protégez-le. Prenez-en soin. Et vous pourrez être fiers de lui un jour, je vous le promets.

8.13 (22 votes)

Je ne suis pas une pute qui vole, je suis M. Montana Tony prisonnier politique renvoyé par cuba et j’exige mon putain d’asile politique maintenant.

8.11 (154 votes)

- My father is no different than any powerful man, any man with power, like a president or senator.
- Do you know how naive you sound, Michael? Presidents and senators don’t have men killed.
- Oh. Who’s being naive, Kay?

8.1 (48 votes)

Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups.

8.09 (37 votes)

N’encule pas tes amis, même si tous les coups sont permis…

8.08 (63 votes)

Quand t’es en cellule tu passes ton temps a gamberger. Tu te demandes qui tu vas voir le jour de ta sortie, le deuxième, le troisième… Mais quand tu sors plus personne n’a la même tête qu’avant. Peut-être que toi non plus. Tu pries le ciel de te faire voir un visage qui n’a pas changé, un visage qui te reconnait, qui te regarde avec les mêmes yeux qu’avant.

8.06 (26 votes)

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