Kaakook

Série - Goldorak

Affiche de Goldorak
Titre
Goldorak
Écrit par
Masayuki Akemi, Tomoharu Katsumata...
Année de sortie
1975
Nombre de citations
250
Note moyenne des citations
5.03
Publication

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Répliques en anglais sur l’IMDB
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Répliques de la série (250)

- Papa !
- Hein ?
- Mais voyons Papa, qu’est-ce que tu veux faire ?
- Je fais justice, je pends un sale voleur de chevaux !
- Si tu fais ça, tu seras condamné à mort et pendu à ton tour !
- C’est insensé ! On ne peut même plus se fier à la justice de son pays !

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Ha, ha, ha, ha, la bagarre va recommencer !

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Actarus : Ça y est ? Donne. Vas-y.
Rigel : Ah ah, dans le temps, quand j’étais dans l’ouest, on m’appelait le « Requin du poker » parce que personne n’a jamais pu me battre.
Mizar : Ah ah, papa va encore raconter ses souvenirs.
Vénusia : Attends de voir sa tête quand Actarus retournera ses cartes.
Rigel : Eh eh, je n’ai pas perdu la main. Tu vas voir mon garçon. Oh hum hem. Alors, tu joues ? Je vais te donner une petite leçon. Alors tu prends tes cartes ? Actarus, j’attends que tu te décides.

Goldorak.
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Vénusia, Mizar et Rigel : Oh, ah !
Mizar : Oh, quatre as, ça c’est super. Il n’a même pas regardé ses cartes.
Vénusia : Papa avait quand même quatre rois.
Rigel : Ah ça va, il a gagné, j’ai raté mon coup. Et alors, l’erreur est humaine, non ? Mais où est-ce qu’il a appris à tricher comme ça ?
Vénusia : Ah, pourquoi veux-tu qu’il triche, il est formidable !
Mizar : Ouais, je voudrais quand même bien savoir comment il fait pour tirer quatre as à chaque coup.

Goldorak.
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- Je dois à tout prix réussir à vaincre le Prince Actarus qui nous empêche de conquérir la Terre sinon le Grand Stratéguerre retirera mon commandement. Je ne supporterai pas cet affront.
- Mon Commandant !
- Qu’est-ce que tu veux ?
- On nous signale la présence d’un aéronef dans notre couloir de navigation, on dirait qu’il nous suit.
- Montre-le moi ! Envoyez-lui la chasse et surveillez ses réactions ! S’il s’approche trop près de nous, ouvrez le feu !
- À tes ordres !
- Il ose nous attaquer, descendez-moi cet imbécile, c’est peut-être un espion, feu à volonté ! Qui pilote cet engin ? Il ne réalise donc pas que nos forces sont supérieures à la sienne, donnez-lui une leçon ! Envoie immédiatement toutes les navettes.

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- Quel plaisir de te revoir Hydargos !
- Je te salue Capitaine Janus ! Est-ce que tu viens de très loin pour me voir ?
- De la Nébuleuse Véga selon les ordres du Grand Stratéguerre !
- Quoi ? Oserais-tu prétendre avoir reçu l’ordre d’ouvrir le feu sur moi ? Devais-tu abattre mes unités de chasse ? Devais-tu mettre plusieurs de mes navettes hors combat ?
- Non, je suis venu évaluer le potentiel de tes forces et comme je le supposais, il est très bas, j’en conclus donc qu’il est impossible de vaincre Goldorak avec des moyens aussi réduits.
- Je ne vois pas en quoi ça te regarde Janus !
- Tu devrais mesurer tes paroles ! Aurais-tu déjà oublié que je suis envoyé par le Grand Stratéguerre et que j’agis selon ses ordres ? Allons, garde ton calme ! A partir de maintenant, c’est moi qui m’installerai sur ce siège, celui de Commandant des Forces d’Attaque.
- Je n’ai pas d’ordres à recevoir de toi Janus !

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Oh, quel cauchemar ! Un terrible adversaire dont j’ignore tout viendrait sur Terre dans le seul but de me supprimer ? Pourtant je ne souhaite que la paix et le triomphe de l’amour ! Mais je ne fuirai pas devant l’affrontement. Même si je dois y perdre la vie, mon destin est de veiller sur la planète bleue.

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- Actarus !
- Regarde père, la Lune est encore rouge !
- Actarus, mon fils ! Tu passes la plupart de tes nuits à observer cet astre mort ! Si ces monstres ont décidé de nous attaquer encore une fois, ce n’est pas en te faisant du mauvais sang que tu parviendras à protéger la Terre !
- Je sais !
- Écoute-moi, Actarus ! Tout ce que nous pouvons faire pour l’instant c’est essayer d’éviter que se reproduise ici sur Terre la même tragédie que sur Euphor !

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- N’allez pas plus loin !
- Ah !
- Excusez-moi Rigel, je vous ai vu arriver, je voulais m’amuser un peu !
- GRRR, Procyon, à votre âge, vous n’avez pas honte de m’amuser à me faire peur espèce de vieux débris ? GRRR !
- Ne vous fâchez pas, on va tout de suite s’occuper de votre cheval, prenez l’escalier roulant et venez nous rejoindre Rigel !

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- Que voulez-vous ?
- Professeur Procyon, je suis le Commandant Minos, chef suprême des Forces de Véga.
- Oui, je vois que vous n’êtes pas le bon Dieu. Que voulez-vous ?
- Vous donnez un bon conseil. Si vous ne souhaitez pas que la ville ne soit entièrement rayée du monde, remettez-moi Goldorak immédiatement ! Je vous signale, professeur, que la vie de 12 millions d’individus dépend de votre décision. Réfléchissez ! Mais réfléchissez vite. J’attends votre réponse.
- S’il ne s’agissait que de moi, je vous dirais non, mais vous devez comprendre que je ne peux en décider tout seul.
- Vous pensez que c’est au Prince d’Euphor de prendre la décision ? Je suis d’accord avec vous. Mais laissez-moi vous montrer quelque chose.
- Quoi donc ?
- Mettez la bombe sur explosion à retardement ! Vous avez maintenant cinq minutes pour vous décider. 300 petites secondes, ça passe vite professeur.
- Cinq minutes seulement ?
- C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour sacrifier ou sauver la vie de 12 millions d’hommes, professeur. Quand vous serez prêt, vous me donnerez votre réponse.
- Que dois-je faire ? Je n’ai pas 36 solutions. J’ai le choix entre mon fils et la population.

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- C’est ce qu’on appelle un triomphe. Nous avons réussi à engloutir une île aussi grande que les plus grandes villes du monde avec une seule bombe au lasernium.
- C’est parfait. Cela nous a permis de vérifier la puissance des bombes au lasernium. Minos, c’est à toi que revient l’honneur d’utiliser notre nouvelle arme.
- Avec joie. Cette fois, si le Prince d’Euphor arrive à s’en sortir, je veux bien être pendu. Allez, préparez-vous à lancer une attaque avec Golgoth 64.

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Les salauds, ils massacrent les gosses !

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- Allo, Alcor, fais ce que je te conseille ! Ton appareil risque de se désintégrer et tu le sais !
- Ha ha ha ! Je serai de retour avant que tu n’aies acheté la couronne.
- Je ne veux pas que tu te suicides.

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Alcor : Hah hah hah !
Vénusia : Ha ! Alcor !
Rigel : Ne t’approche pas, Vénusia ! Même endormi, un garçon reste un garçon.
Mizar : Arrête de boire !
Rigel : Hh hh !
Alcor : Hahh hahh hahh !

Goldorak.
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Ce n’est pas entièrement de sa faute. Mon petit doigt me dit que Banta n’est pas tout blanc dans cette affaire.

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- La la la la la la la la la la la…
- Ne m’empêche pas d’entrer, je suis sure qu’ils ont tous les deux besoin de se rafraîchir la gorge.
- Quand deux hommes discutent, seul un homme a le droit d’écouter. Donne-moi ce plateau. Voilà à boire ! Hein ? Où est-ce qu’ils sont ? Je n’y comprends rien, j’étais pourtant sûr de les avoir laissés là tous les deux.
- Ils sont sortis par la fenêtre, regarde !
- À moins que ce ne soit des kidnappeurs qui sont entrés par la fenêtre.

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- Attends, à moins que je l’aie rangé là. Ah c’est celui que j’utilisais dans la prairie. Hé hé aaah je savais qu’il m’en restait quelques gouttes hé hé hé hé hé. Ça c’est ce que je connais de mieux pour les blessures.
- Tu es certain que c’est pas du whisky ? Parce que ce pauvre Alcor il a pas l’air en état de prendre un verre avec toi.
- Je ne connais rien de plus efficace. Avec ça, on arriverait à faire sortir une momie de ses bandelettes. Mm hen hah !
- Tu nous prends pour des imbéciles, ma parole. C’est nous qui allons soigner Alcor !
- Pour bien soigner un malade, le médecin doit être en forme mm.
- Hé bien côté forme c’est plutôt loupé si tu veux mon avis.

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- Ce que tu n’as pas pu dire à Actarus, pourrais-tu maintenant me le dire si tu te sens assez solide ?
- Où est passé Actarus ? Tu peux me le dire ?
- Il est parti observer ce fluide inconnu qui nous intrigue tous depuis qu’il est apparu sur nos radars.
- Quel idiot ! Procyon, il faut rappeler Actarus ! J’ai remarqué aussi des ovéstables camouflés et dispersés dans les nappes du fluide suspect.
- Quoi ?
- Ça ressemble à des mini-satellites ou si on veut à des copies stellaires de mines flottantes. En tous cas je considère ces O.V. comme suspects et sans doute dangereux.
- Ce que tu décris peut-être catastrophique. Si ce sont des champs de mines, Actarus court le risque de s’y engager et sans se douter du danger qu’ils représentent pour lui.
- Il n’y a qu’une seule solution. Je repars le prévenir !
- Je n’ai pas le droit de te sacrifier à ton tour, Alcor. C’est trop dangereux.
- Si j’avais réussi ma mission de reconnaissance, Actarus n’aurait pas été obligé d’effectuer le travail à ma place.
- Tu es très généreux, Alcor. Dès que tu auras établi le contact avec Actarus, dis lui de rentrer. Mais j’exige que tu fasses alors demi-tour et immédiatement.

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- Dans le coin il n’est pas seul, je connais un autre fou !
- C’est moi hein ? Eh bien dans ce cas, je suis très content qu’Uranus vous ait embêté.

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Rigel : Décidément, il ne se passe pas grand chose par ici hein ? Vénusia, l’autocar vient d’arriver, dépêche-toi un peu voyons !
Vénusia : Inutile de crier comme ça papa, tu vas ameuter tout le quartier !
Rigel : Je te prie de ne pas me parler sur ce ton violent !
Vénusia : Actarus, j’y vais ! Veille bien sur le ranch pendant mon absence !
Actarus : Fais bon voyage et amuse-toi bien !
Vénusia : Oui, je vais en profiter ! Au revoir !

Goldorak.
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