Série - Les aventures de Tintin

Vous voilà arrivé à destination, Monsieur Tintin !

No sé, No sé, No sé, ils n’ont que ces mots là à la bouche.

Tintin : Ô toi, puissant Soleil, n’écoute pas les invocations de ton fils et montre à tous ceux ici présent que tu ne désires pas notre mort. Ô sublime Pachacamac, si tu ne veux pas que ce sacrifice ait lieu, voile ici devant tous ta face étincelante.
Le capitaine Haddock : Pauvre petit, il a perdu la raison. Mille millions de mille sabords, que se passe-t-il ? Une éclipse, c’est une éclipse.
Le professeur Tournesol : Mais non, inutile de vous alarmer, Capitaine ! C’est tout simplement une éclipse voilà tout !

Comment ? Moi, Tournesol je fais le zouave ? Ah, je fais le zouave ! Je ne vous permets pas de me dire des choses pareilles. Ah, je fais le zouave !

Tintin : Je sais de quoi vous voulez parlez, noble Fils du Soleil et je vous rassure tout de suite sur ce sujet ! Je jure que jamais je ne révèlerai à quiconque l’emplacement du Temple du Soleil.
Le capitaine Haddock : Moi aussi, je le jure ! Que le grand crique me croque si je lâche un mot sur ce sujet.
Le professeur Tournesol : Eh bien moi non plus, je le jure même si Hollywood me faisait un pont d’or, jamais je ne participerai à un remake de votre film, vous avez ma parole.

- Bougre de phénomène de moule à gaufres, vous n’avez pas fini de faire le zouave mais voyons Nestor, ouvrez donc cette porte !
- Que Monsieur veuille bien m’excuser mais votre invité le jeune Monsieur Abdallah s’amuse à sonner continuellement et à se cacher dès que j’arrive pour ouvrir la porte.
- Cette fois-ci, c’est trop, Nestor allez me chercher la lance d’arrosage ! Allez-y, Nestor ouvrez !

Trois frères unis, trois Licornes voguant au soleil de midi parleront. Car c’est de la lumière que viendra la lumière et resplendira la Croix de l’Aigle. Quel charabia !

- Ils ne peuvent pas rester à bord ! Allo le Ramona, ici Rastapopoulos !
- Ici le Ramona, j’écoute !
- Allan, mets le cap sur mon yacht immédiatement, j’ai des passagers pour toi !

Mes chers amis, je vous souhaite une bonne croisière.

Vous pouvez toujours essayer d’appeler les secours, vous serez tous bientôt dévorés vivants par les requins de la Mer Rouge quand ils arriveront.

J’ai appris que Tintin est impliqué dans le programme spatial. Ça fait tellement longtemps que j’attends l’occasion de prendre ma revanche sur lui.

Comme on se retrouve Colonel Boris, vous n’avez pas beaucoup changé depuis le temps où vous conspiriez contre votre maître le Roi de Syldavie. Vous accusiez ce pauvre Wolff d’avoir saboté le dispositif de départ. Désolé de vous contredire mais le coupable c’est moi.

Mais, per la Madonna ! Je ne me trompe pas : c’est Tintin et son ami le patron-pêcheur Bardock ! L’Art doit ouvrir ses bras aux enfants de l’Aventure !

Désolé, militaire, mais je refuse de serrer une main qui foule aux pieds les droits imprescriptibles de la personne humaine !

Dire que nous foulons ce sol de la Lune où jamais la main de l’homme n’a mis le pied !

La pauvre enfant ! Si, au moins, c’était la conspiration du silence !

Pas bête du tout ce garçon, aucune importance, il ne lui reste plus longtemps à vivre ! Adieu, Tintin !

Encore un qu’on ne reverra plus.

Les amis de la Révolution sont les amis du Général Alcazar et pour te récompenser, je te nomme Colonel aide de camp.

Dans des milliers de lunes viendront sept étrangers. Ces sept profanateurs emporteront le corps de l’Inca dans leur lointain pays mais la malédiction divine s’attachera à leurs pas et les poursuivra par-delà les mers et les monts.