Série - Les aventures de Tintin

- Dis-donc, c’est le téléphone ?
- Oui, en effet, je crois que c’est le téléphone !
- Bah alors, vas-y !
- Oh non, je dors !
- Comment tu ne dors pas puisque tu parles !
- Tu sais très bien que je parle toujours en dormant !
- C’est bon mais la prochaine fois, tu iras toi-même !

Le jeune journaliste s’est évadé, il faut le retrouver à tout prix et le faire disparaître, il doit rejoindre le savant au Caire.

Tintin se dirige vers Le Caire, faites-en sorte qu’il n’y arrive pas !

- Je vous assure boss que c’est une soucoupe volante.
- Je me fiche de savoir ce que c’est. Tirez bon sang, tirez dessus, continuez mais enfin tirez !

- Aie, aie, aie, aie, aie, c’est une situation délicate !
- Oui très délicate ! Ah, et voilà, échec et mat !
- Tonnerre, oser me battre moi !
- Hein ?
- Ah, ah, ah, ah, ah, c’est une petite farce que je fais souvent, ce sont des balles à blanc ah, ah, ah, faisons une autre partie voulez-vous ? Ah, ah, ah, ah.
- Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah.

- Je regrette Monsieur Tournesol, je suis très occupé et je n’ai…
- Oh non, ce n’est pas loin, 10 minutes à peine !
- Inutile, Monsieur ! N’insistez pas, je n’ai pas le temps vous entendez pas le temps !
- Eh bien, c’est entendu, allons-y tout de suite alors !
- Mais !

- Encore, Mille sabords !
- Bonjour Messieurs, je vous annonce que mon appareil est réparé !
- Je me charge de cet olibrius !
- Il est en pièces détachées, il ne reste plus qu’à les assembler !
- Là, c’est compris !

Parfait ! Mon plan fonctionne à merveille !

- Et comment va le capitaine ?
- Ah, Monsieur Tintin, il a vieilli de dix ans depuis que le malheur est arrivé. Et de vôtre côté, avez vous des nouvelles du professeur ?
- Aucune Nestor ! C’est à croire que ce pauvre Monsieur Tournesol s’est volatilisé !
- Mon Dieu, comme Monsieur va être déçu !

Et nous irons à Valparaiso ! Goodbye far away ! Goodbye far away !

- Incroyable ! C’est incroyable ! Une sixième victime ! C’est vraiment inouï !
- Non, je crois que c’est un tout petit peu plus à gauche !
- Non, je disais que les Boules de Cristal ont encore fait une sixième victime !
- Non pas vraiment mais j’y suis presque !
- Oh, et puis lisez vous-même !
- Oh, ça par exemple mais c’est incroyable, vous avez lu cet article ? Je vais vous le lire ! Le Professeur Hornet est donc la sixième victime du mystérieux lanceur de Boules de Cristal.

- Filons !
- Hé ! C’est moi qui donne les ordres ici, c’est compris ? Euh, filons !

Dupont et Dupond : Vous êtes bien le dénommé Tintin ? Alors, pas un geste !
Tintin : Que se passe-t-il ?
Dupond : Au nom de la loi, je vous arrête !
Tintin : Quoi ! C’est une plaisanterie, j’espère ?
Dupont : Celui qui vous a dénoncé ne nous a pas mentis.
Tintin : De l’opium ?

Dupond : Et il avoue en plus !
Tintin : Mais ne voyez-vous pas que c’est une machination ?
Dupond et Dupont : Ne vous fatiguez pas ! Nous connaissons la chanson, vous expliquerez tout ça aux autorités et en attendant, on vous boucle jusqu’à l’arrivée du bateau à quai. Suivez-nous !
Tintin : Mais enfin, je suis innocent ! Une croisière à fond de cale ! Mais qui donc a bien pu dissimuler de la drogue dans ce tiroir hein Milou ? Quelqu’un qui veut ma perte mais pourquoi ?

- Alors Tchang, comment te sens-tu ?
- Tout à fait bien, je suis impatient de retrouver la civilisation !
- C’est l’adieu du Yéti, Tchang !
- Il est tout seul maintenant !
- Oui jusqu’au jour où quelqu’un le capturera !
- Eh bien moi je ne le souhaite qu’on ne le trouve jamais car on le traiterait comme une bête sauvage et pourtant je t’assure Tintin, il a été si gentil avec moi que parfois je ne me suis pas demandé si ce n’était pas un être humain.
- Qui sait Tchang, qui sait !

Oui, mon Général ! Je n’ai pas eu le temps de me raser ce matin ! Quatre jours d’arrêt mais enfin je, bien mon Général ! Quatre jours de plus mais mon Général c’est le votre qui ! Huit jours mais enfin, bien mon Général ! Huit jours d’arrêt pour un vulgaire papier !

Yamato, prends tous les hommes dont tu auras besoin et ramène-moi les Wang ! Avec un peu de chance, ça fera revenir ce satané Tintin ainsi tous nos oiseaux seront dans la même cage, il n’y a pas de temps à perdre !

Je désirerais dire quelque chose ! Bien que le départ de notre ami Tintin soit rempli de larmes et de tristesse, il y a un arc-en-ciel dans mon cœur, je pleure le départ de Tintin et je ris de retrouver un nouveau frère et je bénis le ciel que personne n’a perdu sa tête.

Adieu, Tintin ! Ton souvenir restera à jamais gravé dans ma mémoire comme dans le cristal le plus pur.

Tonnerre de Brest il a réussi ! Quel diable ce garçon ! Rien ne l’arrête !