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Personnage - Mark Landers

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Répliques de Mark Landers (191)

- Ça va, capitaine ?
- Danny écoute, il faut absolument que l’on gagne ce match, je veux me retrouver contre la Newteam c’est compris ? Et je compte sur toi. À nous deux, on va y arriver, tu vas voir. C’est ça mon pote, repose-toi bien, profites-en, parce que je vais t’en faire baver.

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- Salut, Landers !
- Tiens, salut, Callahan !
- Je suis désolé d’apprendre que tu as été très malade.
- Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Je me sens en pleine forme au contraire.
- Mais alors pour quelles raisons tu ne joues pas avec la Tôhô ?
- Pour des raisons qui ne te regardent pas figure-toi !
- Tu te trompes, ça me regarde ! Nous pourrions tomber sur La Newteam en demi-finales et si nous les battons, nous jouerons contre toi et ton équipe en finale.
- Et tu veux savoir si je serai présent sur le terrain ce jour-là. Je suis désolé mais je ne peux pas te répondre car je n’en sais rien.
- Landers tu mens !
- Pense ce que tu veux !
- En tout cas il y a une chose dont je suis certain et je te conseille de bien y réfléchir : si tu n’es pas présent sur le terrain quand la finale commencera, la Flynet battra la Tôhô à plates-coutures.

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Bruce Harper : Qu’est-ce qu’il a voulu dire par là ? Il pense qu’on va gagner la demi-finale aujourd’hui contre la France.
Thomas Price : Écoutez, je vais tout traduire !
Ed Warner : Quoi ?
Mark Landers : Ed !
Ed Warner : Tu ne perds rien pour attendre Karl, j’ai un compte à régler avec toi, je n’oublie pas la raclée que tu nous as mise à Hambourg, j’arrêterai tes tirs du Feu en finale demain.

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Mark Landers : Non, ce n’est pas vrai !
Jeff Turner : Allons, allons, Mark, ne prends pas pour un idiot, tu sais parfaitement que c’est vrai, tu ne te serais jamais comporté de cette façon dans les mêmes circonstances il y a trois ans, aies l’honnêteté de l’admettre, tu ne te serais jamais penché sur ton adversaire à lui murmurer des mots doux, tu en aurais profité au contraire, tu t’es gâté à la Tôhô et quand un fruit commence à se gâter, dis-toi bien qu’il n’est pas loin de pourrir, tu t’es assis des verts à la Muppet, ah oui c’était le bon vieux temps, tu jouais au foot avec une autre mentalité, tout était bon pour continuer l’entraînement, tout était bon pour se maintenir en forme et se faire du muscle, il y a des choses qui ne s’oublient pas : tu étais fort et agressif sur le terrain et le plus important était que tu savais te faire respecter, je ne reconnais plus le Mark qui vivait pour le foot. Parle-moi d’Olivier Atton lui c’est un joueur, c’est non seulement un joueur mais un champion dans la plus pure tradition et sans vouloir des mauvais jeux de mots, il n’y a que les champions qui gagnent un championnat. Que peut-on attendre d’un Tigre enfermé dans une cage, un Tigre qui ne sait plus mordre ? C’est ton avenir qui est en jeu et je suis venu te dire ma façon de penser dans l’espoir de te faire réagir. Autre chose, je te signale que je suis responsable d’une nouvelle équipe prête à t’accueillir, toi le Mark que j’ai connu pas celui qui n’est plus que l’ombre de lui-même.
Danny Mellow : Capitaine !
Ed Warner : Mark, dis quelque chose !

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- Comme je le pensais, mes gars vont gagner sans l’aide de leur Capitaine. Quand je t’ai vu pour la première fois Mark, j’ai tout de suite compris que la Tôhô était promise à un bel avenir, parle-moi de toi et de l’équipe d’où tu viens.
- Je m’appelle Mark Landers et je faisais partie de la Muppet. Dans cette équipe, j’ai toujours joué en pointe.
- Tu jouais à la perfection et tu avais des tirs si puissants qu’aucun gardien ne pouvait arrêter et je me suis dit alors que tu pouvais m’aider à réaliser deux grands rêves : remporter le Championnat National et faire de la Tôhô la meilleure école de football de tout le pays. Fais des passes, tu n’es pas tout seul sur ce terrain.
- Non, quand j’ai le ballon, je ne le lâche pas.
- Malgré mes efforts pour organiser un jeu d’équipe structuré, mes joueurs devinrent tous des soutiens au jeu personnel de Landers. Ils n’ont plus besoin de toi Mark.

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Makoto Kitazume : Ce match prend une mauvaise tournure, il vaut mieux que Danny soutienne Mark.
Danny Mellow : Tu as vu ? L’entraîneur veut que je repasse en attaque avec toi, c’est aussi préférable à mon avis.
Mark Landers : Il a raison, je crois qu’il est temps qu’on leur colle quelques buts et à nous deux, on va y arriver, tu vas voir ça Danny.

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Ed Warner : Je le hais, il m’a humilié.
Makoto Kitazume : Je dois avouer que je ne m’attendais pas à ça de la part de Julian Ross : se remettre d’une longue convalescence et qu’il nous marque toute de suite un but, quel dommage qu’il ne soit pas dans notre équipe car c’est vrai que si on avait des joueurs comme lui ou Olivier Atton au milieu de terrain, la Tôhô serait vraiment une équipe invincible, c’est un garçon sensible, un joueur remarquable, un capitaine exemplaire qui sent le jeu, qui voit tout et sait quelle genre d’action il faut mener, ça ne va pas être facile de gagner contre lui, il faut que je trouve une parade pour paralyser ses attaques voilà avec Danny au centre, il aura du mal à passer.
Danny Mellow : L’entraîneur veut que je descende au milieu de terrain pour que je m’occupe de Julian ?
Mark Landers : Très bien Ross, tu nous as marqués un beau but mais tu vas voir que moi-aussi je sais le faire.

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Jack Morris : Il faut toujours qu’il nous fasse son cirque celui-là.
Mark Landers : Tu vois Atton pour l’instant, on a deux buts d’avance et bientôt, on en aura trois et puis, quatre et ensuite, cinq. Cette fois-ci vous êtes fichus et vous êtes complètement à notre merci, je sais très bien que tu n’es pas en bonne condition physique mais je n’en tiens pas compte car je ne m’en sens pas responsable et tant mieux si vous vous faites battre avec un score gigantesque, ça ne fera que renforcer la réputation de notre équipe. C’est à moi tu entends, c’est à mon tour d’être célèbre à ta place Olivier Atton.
Olivier Atton : C’est ce qu’on verra !
Danny Mellow : Vive notre Capitaine, à nous la victoire, on va gagner !
Jeff Turner : Mark est redevenu comme avant, un Tigre au cœur de glace invincible qui ne pense qu’à une seule chose : gagner.

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- Acceptes-tu que nous gardions ce drapeau pendant les six premiers mois ?
- Bien sûr !
- Regardez les gars ! C’est incroyable mais nous y sommes arrivés, cette victoire c’est à vous tous que je la dois.

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- Eh, Mark ! Passe-moi la balle et va te placer, je suis démarqué, regarde !
- Ne te mêle pas de ça, Danny ! C’est un match individuel entre lui et moi.

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Mark Landers : Eh, regarde où tu vas !
Philippe Calahan : Mais tu es cinglé ou quoi ?
Ben Becker : Mark qu’est-ce qui te prend ?
Philippe Calahan : Essaie de recommencer pour voir !
Ben Becker : Arrête Philipp s’il te plaît !
Philippe Calahan : Oui Ben, tu as raison !

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Mark Landers : Vous avez les chevilles qui enflent mais vous êtes dans la sélection parce que vous êtes les moins minables du lot c’est tout ne rêvez pas ! Il n y’a qu’une équipe qui gagnera le championnat et vous l’avez en face de vous.
Philippe Calahan : Tu vas voir toi !
Olivier Atton : Assez ! C’est sur le terrain et pas ailleurs que tout ça se décidera !
Bruce Harper : Bravo Olivier, c’est exact !
Julian Ross : Olivier a parfaitement raison et ça ne sert à rien de rouiller les mécaniques tant que le match n’a pas encore lieu.
Mark Landers : Julian Ross vient nous faire la morale maintenant ?

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Mark Landers : Tu n’as toujours pas compris Danny !
Danny Mellow : Je n’ai jamais souhaité autant ta présence !
Mark Landers : Mais change de tactique bon sang puisqu’ils te connaissent !
Olivier Atton : Pauvre Danny !

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Les gars, dès que vous le pouvez, n’hésitez pas ! Avec cette nouille, on ne craint rien c’est compris ? On peut lui marquer autant de buts qu’on peut, il ne bougera pas.

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- Regroupez-vous en défense !
- Quoi ? Comment ose-t-il jouer défensif ? Il faut penser à la contre-attaque.

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- Vous êtes sourds ou quoi ? J’ai dit de vous regrouper en défense.
- Mais il insiste pour une tactique défensive alors qu’au contraire, on devrait attaquer pour marquer le but de la victoire.
- Faites très attention, ils sont capables de recommencer le coup de tout à l’heure, verrouillez tout, ils ne passeront pas.

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- Allez ! Continuez à attaquer ! Ce serait déshonorant de gagner par les tirs aux buts.
- Le capitaine a raison. Avec moi dans les buts, nous sommes sûrs de gagner et ce ne serait pas flatteur pour une équipe comme la nôtre.

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- Alors minus, tu es venu pour prendre la raclée du siècle ou tu espères encore ?
- Cause toujours, tu m’intéresses beaucoup !

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Je ne jouerai pas dans ce match aujourd’hui mais les choses s’arrangent entre l’entraîneur et moi mais je suis sûr qu’il m’appellera pour la finale à condition que mon équipe gagne les deux prochains matchs et ensemble, le moment venu, nous remporterons ce championnat, ha !

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Makoto Kitazume : Même composition de l’équipe que celle d’hier : et on ne change rien à notre dispositif.
Danny Mellow : Mark peut reprendre sa place Monsieur ?
Makoto Kitazume : Hein ?
Mark Landers : Ne discute pas les ordres de notre entraîneur Danny, je vous ai vus jouer les autres matchs et vous pouvez vous débrouiller sans moi et si jamais vous êtes en difficulté, il me demandera de rentrer mais je pense que ça ne sera pas nécessaire.
Danny Mellow : Entendu, Mark !

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