Personnage - Olivier Atton

- Le Brésil c’est vraiment la patrie du football ?
- Oh ça oui ! Là-bas, les Brésiliens sont fous de ce sport et ne vivent que pour lui.

Ça y’est, je me souviens maintenant, je suis sûr que Roberto est quelque part dans ce stade et regarde le match. À la page 52, tu avais écrit à l’encre rouge qu’il fallait prendre du plaisir et s’amuser sur un terrain quand on joue un match de football. Regarde-moi Roberto, c’est parti, Yaooouh !

C’est Thomas Price le fameux gardien de but ?

Je n’ai jamais vu un gardien de but comme lui, j’aimerais bien essayer de jouer contre lui.

- Je me suis promis qu’aujourd’hui je vous écraserai tous. C’est aujourd’hui que je serai sacré champion. Non pas ça !
- Écoute-moi bien Mark, je ne suis pas disposé à te laisser gagner ce championnat, je me battrai.
- Il n’a peur de rien.

- Olivier et Mark sont complètement différents non seulement comme joueurs mais aussi dans leur manière de concevoir le football. Non, on ne peut vraiment pas les comparer.
- Mark Landers de l’équipe des Muppet.

Bruce Harper : Qu’est-ce qui se passe et qui est ce guignol qui ose interrompre notre match ?
Ben Becker : C’est Mark !
Olivier Atton : Quoi, tu veux dire que c’est lui le fameux Mark Landers.

Thomas Price : Vous n’avez pas à être désolés, vous ne pouviez rien faire, il nous reste encore du temps pour marquer un but et gagner ce match, c’est juste une question de volonté, vous pouvez y arriver les gars.
Freddy Marshall : Tu as parfaitement raison de les encourager encore, tu as tout compris maintenant Thomas.
Olivier Atton : Ils se regroupent tous autour de leur capitaine, c’est comme ça que doit réagir une équipe après avoir encaissé un but. Oh !
Thomas Price : Je ne perdrai pas ce match Olivier !
Olivier Atton : Le défi continue ?!

Roberto Sedinho : Salut les gars ! C’est moi qui ai tout organisé !
Olivier Atton : Ah, c’était ça la surprise que tu m’avais annoncée ?
Roberto Sedinho : Hm, hm !
Jack Morris : Mais regardez-moi ces minables, pas étonnant qu’ils aient perdu 30 à zéro contre Saint Francis !
Olivier Atton : Quoi ? 30 à zéro ?
Bruce Harper : Ouais, désolés !

Olivier Atton : Il y a trois ans, ils nous ont déjà surpris avec cette technique de rebond sur les poteaux, c’était très efficace et nous avions failli perdre ce match contre la Hotdog. Et voilà que cette année, ils nous ont inventé cette stratégie complètement révolutionnaire. Ces deux frères sont vraiment des athlètes exceptionnels, ils tiennent une forme du tonnerre, leur nouvelle technique aérienne a l’air de bien fonctionner. Comment allons-nous faire ? Que faire pour contrer cette Catapulte Infernale ?
Les jumeaux Derrick : Alors Bruce, ça t’a plu ? Tu as l’air de bien aimer ? C’était une surprise inventée spécialement pour vous la Newteam.
Bruce Harper : Grrr !
Les jumeaux Derrick : Tu n’as pas encore gagné le match Olivier Atton !

- Voici donc Pierre Alcide, celui qu’on surnomme l’ « Artiste des Pelouses ».
- Après Juan Diaz hier, voici ton adversaire du jour en milieu de terrain. Si on veut que le Japon aille en finale demain, il faudra que toi et Ben parveniez à le neutraliser au milieu.
- Entendu !

Jack Morris : Mais regardez moi ces minables ! Pas étonnant que vous ayez perdu 30 à zéro contre Saint Francis.
Olivier Atton : Quoi ?! 30 à zéro ?!
Bruce Harper : Ouais, désolés !
Jack Morris : C’est simple les gars nous allons écraser ces rigolos de Newpie sur le même score, comme ça ce sera la preuve qu’on est aussi balèzes que ces prétentieux de Saint Francis et que nous pouvons même les battre.
Bruce Harper : Je vous garantis que vous allez regretter ces paroles, il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.

- Oh, ça alors, je n’en crois pas mes yeux, regardez ce qui est écrit dans ce canard, c’est en dernière page, c’est une information de dernière minute, c’est à propos de la Tôhô. Ils racontent que Mark Landers a mystérieusement disparu du club depuis plusieurs jours, hier l’entraîneur aurait pris la décision officielle de l’exclure de l’équipe pour le championnat national.
- Mais c’est dingue, où peut-il bien être ?

Jack Morris : Il faut toujours qu’il nous fasse son cirque celui-là.
Mark Landers : Tu vois Atton pour l’instant, on a deux buts d’avance et bientôt, on en aura trois et puis, quatre et ensuite, cinq. Cette fois-ci vous êtes fichus et vous êtes complètement à notre merci, je sais très bien que tu n’es pas en bonne condition physique mais je n’en tiens pas compte car je ne m’en sens pas responsable et tant mieux si vous vous faites battre avec un score gigantesque, ça ne fera que renforcer la réputation de notre équipe. C’est à moi tu entends, c’est à mon tour d’être célèbre à ta place Olivier Atton.
Olivier Atton : C’est ce qu’on verra !
Danny Mellow : Vive notre Capitaine, à nous la victoire, on va gagner !
Jeff Turner : Mark est redevenu comme avant, un Tigre au cœur de glace invincible qui ne pense qu’à une seule chose : gagner.

- Acceptes-tu que nous gardions ce drapeau pendant les six premiers mois ?
- Bien sûr !
- Regardez les gars ! C’est incroyable mais nous y sommes arrivés, cette victoire c’est à vous tous que je la dois.

J’ai déjà eu affaire au « Gardien Parfait » italien Gino Hernandez puis au « Génie » argentin Juan Diaz durant les éliminatoires. Maintenant, il y a l’« Artiste des Pelouses » français Pierre Alcide et le « Kaiser » Karl Heinz Schneider qui nous attend déjà en finale demain mais pas question que je perde face à ces grands joueurs si je veux devenir le numéro un mondial.

Voilà à peine deux jours que je suis arrivé en Europe et je croise déjà des champions exceptionnels : le « Kaiser » Karl Heinz Schneider, l’« Ordinateur » Franz Schester et le « Gardien Parfait » Gino Hernandez. J’ai tellement hâte de les affronter.

Mark Landers : Vous avez les chevilles qui enflent mais vous êtes dans la sélection parce que vous êtes les moins minables du lot c’est tout ne rêvez pas ! Il n y’a qu’une équipe qui gagnera le championnat et vous l’avez en face de vous.
Philippe Calahan : Tu vas voir toi !
Olivier Atton : Assez ! C’est sur le terrain et pas ailleurs que tout ça se décidera !
Bruce Harper : Bravo Olivier, c’est exact !
Julian Ross : Olivier a parfaitement raison et ça ne sert à rien de rouiller les mécaniques tant que le match n’a pas encore lieu.
Mark Landers : Julian Ross vient nous faire la morale maintenant ?

Bruce Harper : Il a peut-être changé d’avis ! Il a peur de se faire battre et se ridiculiser par Olivier ha, ha, ha, ha, ha !
Thomas Price : Très drôle Bruce !
Bruce Harper : Eh mais c’est Thomas Price !
Thomas Price : Salut Olivier Atton comme je te l’ai déjà dit : le plus important dans ce match n’est pas le résultat mais de savoir si tu es capable de me marquer un but.
Olivier Atton : Eh bien moi ça ne me suffit pas. Ce que je veux c’est gagner ce match et ce tournoi.

Thomas Price : Dépêchez-vous de marquer, je veux 50 buts à la fin du match.
Bruce Harper : Quoi ?
Olivier Atton : 50 buts !