Kaakook

Personnage - Adrian

Adrian apparaît dans :


Répliques de Adrian (13)

- Gagne. Gagne.
- Oh, putain, on a le feu vert. Saute dessus.

8.52 (44 votes)

- Est-ce que tu veux bien de moi ?
- Absolument.

7.39 (13 votes)

- Je voudrais en profiter pour dire un truc à ma femme qui est à la maison : Adrian, j’ai gagné, je t’aime.
- Je t’aime Rocky, je t’aime !

7.22 (8 votes)

- Pour la première fois de ma vie, j’ai peur !
- J’ai peur, moi aussi. Y’a aucune honte à avoir peur.
- Pour moi, si.
- Pourquoi, c’est humain, non ?

6.96 (13 votes)

- Comment es-tu devenue si dure ?
- Je suis la femme d’un boxeur.

6.88 (6 votes)

- Je suis avec toi ! Ça passe ou ça casse !
- Ça passe ou ça casse !

6.47 (7 votes)

- Pourquoi vous voulez boxer ?
- Bah j’sais ni chanter, ni danser.

6.06 (23 votes)

- Rocky ?
- Ça… Ça va là bas ?
- Ça va Rocky ? Ça va pas ? Ça va pas ?
- Tu t’rappelles quand Mickey disait que quand il se battait des fois, bah il se battait si dur qu’il arrivait à croire que ça lui avait cassé un truc en d’dans, puis qu’il allait mourir. C’est là qu’il a dit qu’il y avait comme des anges qui le prenaient par la main.
- Rocky, là tu m’fais peur, je, je ne… qu’est ce que tu as ?
- Je ne peux pas !
- Tu peux pas quoi Rocky ?
- Arrêter mes mains, je tremble. Ça m’avait jamais fais ça.
- Il faut que tu vois un docteur immédiatement.
- Non non non.
- Si
- Non, je veux juste rentrer…
- Rentrer ? Tu ne veux pas un docteur ?
- J’suis fatigué. Je veux juste rentrer, Mickey. Mickey, je suis fatigué.
- On rentre.
- Écoute, je veux rentrer à la maison.
- On y va. D’accord.
- À la maison…

5.45 (1 vote)

Toutes ces tabassées que t’as encaissées sur le ring, moi j’les ai prises avec toi !

5.45 (1 vote)

Avant, je comprenais les raisons de te battre, mais là, je ne les comprends plus, tu as vu ce que disent les médias sur lui ? C’est du suicide ! Toi qui l’as vu, tu sais très bien que c’est un boucher, un bœuf ! Tu es battu d’avance !


Rocky : Mais hey pourquoi l’autre môme il t’a fait cette marque là hein ?
Rocky Jr. : C’est très important tu sais. Ils ont pris celui là avec le col là !
Rocky : Bah c’est pas important…
Adrian : Si c’est important. Ils lui ont pris son blouson.
Rocky : Nan ?
Adrian : Si !


- Si j’ai étudié un peu le Russe ?
- Oui, elle siffle couramment la Vodka.


- Je comprends rien, moi, à ce qu’il se passe. Tout allait si bien et d’un seul coup, tout va si mal.
- Qu’est-ce qui va mal ? Dis-moi quoi ?
- J’aurais pas dû laisser Mickey tout décider à ma place. Hein, pourquoi est-ce qu’il m’a pas dit ce qu’il pensait, ce que je valais, dès le départ ? Il a raconté des histoires, il m’a menti, et moi, je me suis à croire que j’étais meilleur que je ne l’étais, en réalité !
- Il ne t’a jamais menti.
- Les combats étaient pas réguliers, je te le jure, Adrian ! Aucun des adversaires que j’ai battu, aucun n’était dangereux ! Chaque fois, il y avait un truc ! Le combat était arrangé pour que je conserve le titre ! Est-ce que tu comprends bien ce que je te dis, là ?!
- Oui, je comprends, mais il faut que tu te rendes comptes qu’il t’aimait, qu’il voulait te protéger avant tout !
- Mais être protégé, ça te rend pas service, ça complique les choses ! Et un jour, tu te réveilles au bout de quelques années et tu te crois le meilleurs ! Mais c’est faux ! T’es juste un ringard ! Et si on l’avait perdu, le titre, est-ce que ça aurait été si grave ?! Ça aurait au moins l’avantage d’être vrai !
- Non, Rocky, tu te trompes !
- Mais rien n’est vrai quand on croit plus à ce que l’on est ! Je crois plus en moi ! Tu comprends pas ce que ça veut dire ?! Quand un boxeur y croit plus, il est rincé, il est fini, il a plus qu’à raccrocher !
- Non, ce n’est pas vrai !
- Mais si, c’est vrai !
- Pourquoi tu ne dis pas la vérité ?
- Jusqu’où tu veux me pousser, Adrian ? Tu veux la savoir, la vérité ? La vérité, c’est que j’ai peur de perdre ce que j’ai. Au début, j’en avais rien à foutre de ce qu’il m’arrivait sur le ring. Je pouvais me faire taper dessus, je m’en foutais. Maintenant, il y a toi, il y a le petit. Et je veux pas perdre ça.
- Voyons, réfléchis ! Qu’est-ce qu’on a d’irremplaçable ? Quoi ? De l’argent ? Et puis, des voiture ? Ou même la maison ? Tout ce qu’il faut, on l’a, sauf la vérité ! Mais c’est quoi, la vérité ? Dis-le moi !
- J’ai peur ! T’es contente ?! Tu voulais me le faire dire ?! Tu veux me démolir ?! Je te le dis : J’ai peur ! Pour la première fois de ma vie, oui, j’ai peur !
- J’ai peur, moi aussi. Il y a aucune honte à avoir peur.
- Ah, si ! Pour moi… pour moi, si !
- Pourquoi ? C’est humain, non ?
- J’en sais rien. En tout cas, moi, je suis un menteur, et c’est ma faute si Mickey est mort !
- Non, tu n’es pas responsable de ça ! Il savait ce qu’il faisait ! Ce n’était pas un débutant ! Et tu n’as aucune raison de te sentir coupable de ce qu’il s’est passé, aucune raison ! Tu étais le champion, tu as fait ce que tu devais faire et tu as fait ce que moi et tous les autres t’encouragions à faire ! Et aujourd’hui, tu prétends que les combats étaient truqués, que tout était arrangé ?! Eh bien, je n’y crois pas ! Mais ça ne fait rien que je ne te crois pas, puisque c’est toi, et toi seul, qui vis avec cette peur qui te dévore ! L’angoisse que tout le monde va essayer de te dépouiller, la peur qu’on se souvienne de toi comme d’un lâche, la peur de ne plus être un homme, eh bien tout ça est faux ! Mais ça ne sert à rien que je te le dise. Ça ne sert à rien, parce que c’est toi qui dois surmonter cette peur, t’en débarrasser. Parce que, quand tout sera terminé, quand la foule aura cessé de scander ton nom, il n’y aura plus que nous ! Et tu ne peux pas vivre comme ça ! Nous ne pouvons pas vivre comme ça ! Ça nous empêchera de vivre le restant de nos jours ! Regarde ce que je t’ai déjà fait. Apollo croit en toi. Moi aussi. Mais tu dois le vouloir de toutes tes forces et non pas à cause de Mickey, ni pour le public, ni pour le titre, ni pour l’argent ou pour moi, mais pour toi. Pour toi, Rocky, pour toi seul.
- Et si je suis battu ?
- Eh bien, tu seras battu. Mais, au moins, tu seras battu sans excuses, sans peur, et tu continueras à vivre.
- Comment es-tu devenue si dure ?
- Je suis la femme d’un boxeur.


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