Saga - Le seigneur des anneaux

- Pauvre fou… aucun homme ne peut me tuer… Meurs !
- Je ne suis pas un homme !

Souffler c’est la clef.

Aussi souvent que faire se peut !

Le lac est bon, fraîche est son eau, c’est délicieux ! Ce que nous voulons c’est du poisson fort bien goûteux !

Ce n’est qu’une ombre et une pensée que vous aimez.

- La lame a été brisée.
- Elle a été reforgée.

Aucun parent ne devraient enterrer son enfant.

- Tu crois que l’on devrait partager avec Sylvebarbe ?
- … Non… des feuilles mortes ! Il ne comprendrait pas ! Ça pourrait être de la famille…
- Ah ! J’ai saisi ! Ne soyons pas hâtif !

L’âge des hommes est achevé, le temps des orques est arrivé !

- Héhéhéhé, haha, ce sont bien les nains qui aiment nager avec les jolies femmes poilues hahahaha… roooh.
- Je sens quelque chose. Un picotement au bout des doigts. Je crois que ça me fait de l’effet.
- Qu’est-ce que je disais ? Il ne tient pas l’alcool… [Gimli s’évanouit]
- La partie est finie.

Les longues distances m’épuisent ! Nous les Nains, nous sommes des sprinters, redoutables sur les courtes distances !
[…]
Il faut respirer, c’est la clé, respirer !

Tout ce que vous avez à décider, c’est ce que vous devez faire du temps qui vous est imparti.

Non sans raisons tombent les feuilles de la Lorien.

Froids sont les gens, les eaux et les cœurs. Froids sont les voyageurs loin de leur demeure… Ils ne voient pas quels mensonges sont cachés, quand le soleil et la lune sont couchés.

Le monde a changé…

La voie est close, elle fut faite par ceux qui sont morts ; et les morts la gardent… la voie est close, maintenant vous allez mourir.

Les ténèbres m’entourèrent et je m’égarai hors de la pensée et du temps. Les étoiles tournaient au-dessus de moi et chaque jour était aussi long qu’une existence sur la Terre. Mais ce n’était pas la fin, je sentis la vie revenir en moi. Je fus renvoyé, jusqu’à ce que ma tâche soit accomplie.

On m’a dit : « ne le perdez pas Sam Gamji », alors je vais pas vous perdre.

- Régale toi de sa chair.
- Je vous tuerai si vous le touchez.
- Ne te mets pas entre Nazgûl et sa proie.

La lumière de l’étoile du soir ne croît ou ne décroît. Il m’appartient de la donner à qui bon me semble tout comme mon cœur.