Saga - Le seigneur des anneaux

Frodon : Je suis Frodon Sacquet, de la Comté, et voici Sam Gamegie.
Faramir : Votre garde du corps ?
Frodon : Son jardinier.

Cet adversaire est plus fort que vous… Courrez !

Je ne suis pas un homme !

La mort n’est qu’un autre chemin, qu’il nous faut tous prendre, le rideau de pluie grisâtre de ce monde sourira, et tout sera brillant comme l’argent alors vous les verrez… les rivages blanc et au delà la lointaine contré verdoyante sous un fuguasse levé de soleil.

Oubliez le Rôdeur, devenez celui que vous deviez être.

Comment reprendre le cours de son ancienne vie ? Comment continuer, lorsque dans son cœur on commence à comprendre, qu’on ne peut plus retourner en arrière. Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes, qu’elles se sont emparées de vous…

Cette cité était autrefois le joyau de notre royaume. Un lieu de lumière, de beauté et de musique. Et c’est ce qu’elle va redevenir ! Clamons ce message aux armées du Mordor : plus jamais les terres de mon peuple n’iront aux mains de l’ennemi ! La cité d’Osgiliath a été reprise par le Gondor ! Pour le Gondor !

Un elfe oserait aller sous terre alors qu’un nain ne le voudrait pas ?

Avancez Sam Gamegie ! Ne désespérez pas !

Une mine !

If you want him, come and claim him!

Les morts ne tolèrent pas que les vivants passent !

Cours Grispoil. Montre-nous ce que célérité veut dire.

Futés les hobbits d’avoir grimpé si haut !

17… 18… 19…!

- Frodon Sacquet… Je crois qu’enfin nous nous comprenons.
- Vous connaissez les lois de votre pays, les lois de votre père ! Vous perdrez la vie si vous les laissez partir…
- Alors je la perdrai. Relâchez-les !

Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre. Même les ténèbres doivent passer. Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant. […] Il y a du bon en ce monde et il faut se battre pour ça.

Merry : Des tomates, des saucisses, et du bacon bien grillé.
Sam : On vous en a gardé m’sieur Frodon.
Frodon : Éteignez ce feu sombres crétins, vite !
Pippin : Oh, j’te remercie, de la cendre sur mes tomates !

Les grandes histoires ne finissent jamais. Chacun de nous doit aller et venir dans le récit. Son rôle dans ce comte touche maintenant à sa fin, il n’y aura plus de voyage pour Bilbon Sacquet… sauf un.

On dirait de l’elfique.