Top - Citations de films et séries des années 1960

- Je te dois la vie, étranger.
- Oh, c’est une façon comme une autre de passer un fleuve à gué mais je crains d’avoir perdu une sandale dans l’affaire.

- Vous ne voyez pas qu’on est surchargé ? Un homme de plus et vous me faites couler.
- Ah, eh bin, si c’est comme ça, j’suis volontaire alors !

- Mais tu causes français, ma salope !
- Je ne le cause pas, je le parle.

Quand on est cintré comme toi, on porte un écriteau ! On prévient !

- J’croyais qu’tu savais l’allemand ?
- J’l’ai pas appris dans un garage !

Il y a en chaque Dudu un Platon qui sommeille !

Dans quinze jours, tu te taperas ton infirmière !

Jason : Les dieux veulent leur divertissement.
Zeus : Oh, Jason exagère !
Héra : Pourquoi, parce qu’il n’a pas peur de dire que les dieux eux-mêmes exagèrent ?

- Avez-vous prévu un endroit pour le tirage ?
- Bah j’crois qu’nulle part on s’rait mieux qu’ici. J’avais pensé à la cave. On pourrait débarrasser un coin.
- Tiens donc ! Pourquoi pas sur l’trottoir ? T’as déjà entendu rouler une bécane d’imprimerie ?

Depuis Adam s’laissant enlever une côte jusqu’à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basés sur la confiance !

- J’ai un autre tube. Un manouche…
- Oh…
- Attends, attends… dont le beau-frère connaît un Arménien qui travaille dans une papeterie de Saint-Ouen…
- Comme quoi ? Comme balayeur ?

- T’es là pour longtemps, j’espère ?
- Bah en principe, non, mais t’sais dans les affaires, on sait jamais. Tu t’déplaces pour trois semaines et pis tu peux rester vingt piges, ça s’est vu !

Monsieur l’abbé, monsieur l’abbé, ce monsieur me veut des misères…

- Georges !
- Oui, père.
- Tiens, voilà le signe que t’envoie le ciel.
- Un message ?
- De l’huissier. Si dans trois jours, nous n’avons pas payé le terme, on nous flanque dehors.
- Mais vendons quelque chose.
- Il n’y a plus rien à vendre.
- Votre fauteuil, nos lits.
- Ah, on n’en voudrait pas aux Puces !
- Ah, c’est la fin. Plus rien à vendre. Plus rien à manger.
- Et bientôt, plus de toit !

Encore des pièces de dix centimes ! Y’en a déjà treize mille !

- Ce petit boulot de guetteur dont tu me parlais, ça consistait en quoi exactement ?
- Ah, c’était de tout repos. Tu regardais à droite, à gauche. Tu te promenais un peu dans les églises. Tu dévisageais les gens, pas trop.
- Y’a un horaire ?
- Quarante heures par semaine. De neuf à six, une heure pour déjeuner.
- Euh, on peut s’arrêter pour prendre un verre en cours de route ?
- Aux frais de la maison.

Ce jean-foutre de Villeneuve est à Cadix ! Où il va être bloqué, naturellement… Quelle marine. Quel amiral. Ça n’a pas de nom. Misérable ! Il sacrifierait tout pourvu qu’il sauve sa peau ! Mais qu’est-ce que je peux bien foutre avec des gens comme ça ? Deux ans de préparatifs, cent cinquante mille hommes immobilisés. Tous ces sacrifices, inutiles ! À Cadix ! Quand on le guette à la lunette à Boulogne !

J’avais déjà vu des batailles perdues mais je n’avais pas l’idée d’une aussi affreuse défaite !

- Sais-tu comment ils finissent tes poissons ? Ils se débattent, étouffent et meurent.
- On se débat et on étouffe. Tu as dit là une bonne chose ! Pauvres poissons… Moi aussi, je me débats et j’étouffe.
- Et tu meurs !
- Et je meurs… Je meurs afin de revivre ! C’est là que l’homme a l’avantage sur le poisson.

Si deux hommes se couchent et refusent de continuer le combat, votre entraîneur devra leur couper la gorge comme à des poulets, nous ne voulons pas de trucage !