Top - Citations de films et séries des années 1960

Ah, mon cher, vous êtes Démosthène !

Je n’ai que faire d’un drapeau, monsieur, contrairement à vous, moi, j’ai toujours une patrie !

Il y a ceux qui craignent l’ambition de César. Mais qu’y a-t-il à craindre ? Qu’il détruise un jour la république ? Oui, il le fera. Je vous promets qu’il le fera.

La femme idéale. C’est bien simple : elle a tous les défauts.

Tiens, môme, pour tes cigarettes !

Est-ce que je n’aime pas l’homme qui a fait pendre mon père !

Monsieur, vous vous tenez mal dans une église !

Si t’as pas un grand-père banquier, veux-tu me dire à quoi ça sert d’être juif ?

Vos plaisanteries sont ridicules, Cucherat !

- Nous, en France, les prisonniers, on les flingue pas.
- Forcément, on en n’a pas tellement hein…

- Tes cartes sont inférieures et désuètes comparées aux miennes.
- Elles et moi avons vieilli ensemble.
- Les lacs de l’ouest sont très mal marqués et des positions importantes dans les collines ne sont pas même notées.
- Je veillerai à ce que tu aies une entrevue avec mes géographes et mon état-major.

Quand les Spartiates se sont-ils comptés avant la bataille ?

- Nos troupes ne viendront pas.
- Pourquoi ?
- Le conseil a secrètement décidé de fortifier l’Isthme de Corinthe et de ne pas aller plus loin.
- Nous ne pouvons plus rester ici.
- On le peut et on le doit. Nous n’avons pas reçu l’ordre de partir et nous avons un devoir envers la Grèce. Elle nous a suivis parce qu’elle a cru à notre parole. Nous n’y manquerons pas. Nous resterons et nous tiendrons.
- Jusqu’à quand ?
- Jusqu’à la victoire ou la mort.

Sparte se battra, que les autres suivent ou pas !

- Hier, nous avons jugé vos défenses. Aujourd’hui, nos flèches obscurciront le soleil.
- Alors, nous combattrons à l’ombre !

- Il est aux billes, Mandarès ! Moi, j’ai peut-être pas d’boulot, on vit peut-être mal mais au moins j’dors dans mon lit !
- Mais vas-y dans ton lit, puisque tu t’y plais. Mais sans moi !

Dans les affaires, on sait jamais. Tu te déplaces pour trois semaines et pis tu peux rester vingt piges, ça s’est vu.

- Oh la la, c’est abrutissant, non ?
- Vous n’aimez pas la musique ?
- Si, mais la vraie, pas la musique de singe !

- Chère petite madame, rendez-moi un service.
- Oh, tout c’que vous voudrez.
- Monsieur Lucas, mon banquier, a horreur de la solitude. Allez donc lui tenir compagnie.
- Ah, parce qu’il est banquier ? Je l’croyais dans les affaires.
- Ah parce que pour vous, la banque, c’est pas une affaire ? Vous êtes charmante.

Dis donc, c’te morue va nous casser la cabane, neutralise-la, bon dieu, neutralise-la !