Top - Citations de films et séries des années 1960

Alors là… Y m’épate, y m’épate, y m’épate…

- Oh oui. Dallas, pour demain, ne mettez surtout pas la chemise rouge que vous portiez à votre arrivée.
- Pourquoi ?
- Je ne crois pas, quoiqu’on en dise que les animaux soient daltoniens.
- Un jour un taureau m’a couru après.
- Ah oui ? Vous ne croyez pas que c’était le contraire ?

Les sentiments ne s’expliquent pas.

Mein Fuhrer, je marche !

Bill : Elles n’en foutent pas lourd !
Yvonne Garnier : Vous n’êtes pas très galants avec vos dames…
Etienne : Ce ne sont pas nos dames. Enfin, presque pas…
Yvonne Garnier : Ce sont des artistes ?
Etienne : La petite blonde fait le numéro du chabavanais indien, et la rousse le numéro du chabavanais chinois.
Bill : … C’est plus difficile !
Yvonne Garnier : [D’un ton pas convaincant] Hum… c’est intéressant…

Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n’est pas un fleuve, c’est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d’îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c’est des millions de mètres cubes d’or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l’alcool de riz, les religions… les garces et l’opium…

Cette nuit, Albert vous a parlé du Yang-tsé-Kiang. Eh bien ! Il faut pas ! C’est mauvais pour lui.

- À partir de maintenant on ne paye plus, on ne connait plus, on ne salut plus…
- On méprise !! [Il claque la porte et fait tomber le panneau « picon »]

Désespoir, amour et liberté. L’amertume. L’espoir. La recherche du temps disparu.

Ça m’angoisse un peu. José a apporté les plans du ranch. Je les ai peut-être mélangés avec mes patrons de tricot. Il est possible que je tricote un ranch !

- Ah, tu veux savoir de quelle couleur je voudrais la voiture ! Eh bien…
- Rose ! avec des étoiles vertes !

Heureusement que j’aime pas les épinards, sans ça j’en mangerais, or je peux pas les supporter. Ben avec toi c’est pareil, sauf que c’est le contraire.

Va donc hé poison.

Tout antisémite a son Juif. Tout anticlérical peut bien avoir son curé, pas vrai ?

Eh bien, j’avais encore jamais vu crever autant de monde !

- [Tuco prend un papier et essaie de le lire] J’au… j’aurai votre peau. I… i…
- Idiot. Alors c’est pour toi.

Écoute ma bonne Suzanne, tu es une épouse modèle. Mais si, t’as que des qualités et physiquement, t’es restée comme je pouvais l’espérer. C’est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois, même si c’était à refaire, je crois que je t’épouserai de nouveau. Mais tu m’emmerdes. Tu m’emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour, mais tu m’emmerdes…

- Assassin !
- J’espère que le mot dépasse ta pensée, Léonard.

Mais c’est Yalta qui recommence !

Faut bien dire que de le flinguer comme ça de sang froid, euh, sans être tout à fait de l’assassinat, y’aurait quand même comme un cousinage…