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Top - Citations de films et séries des années 1960

- Monsieur Travis, je confierais à Jim ma propre existence, qui plus est je lui confierais la vie de mes propres enfants et plus encore, j’avoue que je lui confierais le sort du Texas !
- Mon général…
- C’est tout Travis !
- À vos ordres.
- Travis ! Je n’ai jamais pu vous sentir mais vous n’en êtes pas moins l’un des rares hommes à qui je confierais le sort du Texas.
- Pour cela, merci mon général.
- J’ajoute même qu’il se pourrait bien que son sort dépende de vous ces temps-ci.

#81
8.15 (17 votes)

- Est-ce que vous êtes fâché de toutes mes questions, pasteur ?
- Non, petit. C’est en interrogeant qu’on s’instruit.
- Oui, m’sieur. Mais souvent, en chemin, vous vous arrêtez en route pour dire les grâces. Et moi je ne saisis guère les raisons pour lesquelles vous remerciez Dieu. J’veux dire que je n’vois rien de spécial.
- Je l’remercie pour le temps et puis pour l’endroit.
- Je n’comprends pas, pasteur.
- Le temps pour vivre, l’endroit pour mourir. C’est tout ce qu’on obtient sur Terre. Ni plus, ni moins.

#82
8.15 (17 votes)

Un volontaire : C’est l’armée la mieux habillée qu’on puisse voir.
Bull : C’est pas une jolie tunique qui fait un bon combattant.
Un volontaire : Ils sortent d’une guerre de deux ans et ont maté une révolution. Ils savent se battre.

#83
8.15 (17 votes)

- As-tu peur de mourir, Spartacus ?
- Non, pas plus que je n’ai eu peur de naître. Et toi, tu as peur ?
- Oui.

#84
8.15 (17 votes)

- If I go to the turkish bath, I risk, I risk énormément !
- Yes.
- but if you, you go out, si vous sortez, the germans, les Allemands, ils sont là, ils vont vous attrapez…. vous allez parler. Et moi, I risk encore plus !
- Yes.
- Donc I risk on the deux tableaux !

#85
8.14 (60 votes)

Fonce Alphonse !

#86
8.14 (33 votes)

Les résolutions, c’est comme les migraines, on les oublie quand la douleur part.

#87
8.08 (42 votes)

[Il découvre la statue de la Liberté]
C’est pas vrai… c’est pas possible. 2000 ans plus tard, nous étions revenus sur la Terre. Ce monde de cauchemar, c’est la Terre. Ah, les criminels ! Ils les ont fait sauter, leurs bombes ! Ah, les fous ! Je vous hais, soyez maudits jusqu’à la fin des siècles !

#88
8.08 (16 votes)

Voulez-vous la paix, voulez-vous la guerre ? Si vous voulez la guerre, nous la ferons jusqu’à la ruine de l’une des deux nations !

#89
8.08 (16 votes)

J’ai vu couler beaucoup de sang et il a partout la même couleur mais il y a toujours un Teclo qui dit le contraire !

#90
8.08 (16 votes)

Il y a des mots pour lesquels on se tue !

#91
8.08 (16 votes)

La femme idéale. C’est bien simple : elle a tous les défauts.

#92 8.08 (16 votes)

Dis-toi bien qu’en matière de monnaie, les états ont tous les droits et les particuliers aucun !

#93
8.08 (16 votes)

- Chère petite madame, rendez-moi un service.
- Oh, tout c’que vous voudrez.
- Monsieur Lucas, mon banquier, a horreur de la solitude. Allez donc lui tenir compagnie.
- Ah, parce qu’il est banquier ? Je l’croyais dans les affaires.
- Ah parce que pour vous, la banque, c’est pas une affaire ? Vous êtes charmante.

#94
8.08 (16 votes)

- Dis-moi, Jason, pourquoi es-tu venu ici ?
- Je suis venu en ami.
- J’ai dit pourquoi. Je n’ai pas dit comment.

#95
8.08 (16 votes)

Imbécile ! Un ministre de la police qui ne veut pas qu’on le réveille est un jean-foutre !

#96
8.08 (16 votes)

Chaussez tous vos bottes de sept lieues ! Chaque heure de perdue est une chance de plus pour le malheur !

#97
8.08 (16 votes)

- Berthier, écrivez. Mes cent cinquante mille hommes, cantonnés de Brest à Ambleteuse, vont partir immédiatement. Ils vont, dans le plus grand secret, traverser la France et l’Allemagne, en trois semaines, en direction de Vienne.
- Mais il y a cinq cents lieues à pied !
- Oui ! Oui. Des souliers, des souliers, occupez-vous de ça tout de suite, Daru !

#98
8.08 (16 votes)

Franz Von Weyrother : Mi zametili…
Un général autrichien : Pardon ? Ich verstehe nicht russisch…
Franz Von Weyrother : Ah, richtig. Die ender ebe…
Un général russe : Ja nie panimayu ponemetski…
Langeron : Moi, mon général, vous savez que je suis Français et que je comprend mal l’allemand et le russe.
Franz Von Weyrother : Bon, alors je… j’espère que tout le monde comprend le français !
Tous : Oui ! Ja ! Da !

#99
8.08 (16 votes)

- Une bataille de titans se prépare. C’est si beau, c’est si grand ! Je vis auprès de vous de telles minutes que je voudrais trouver le titre de mon chapitre de ce deux décembre.
- Mais le voici le titre, mon petit, le Soleil d’Austerlitz !

#100
8.08 (16 votes)

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