Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1960

- J’ai vu trois de ces caches poussière toute à l’heure, ils attendaient un train. Il y avait trois hommes à l’intérieur des caches poussière…
- Alors ?
- À l’intérieur des hommes, il y avait trois balles.

#41
8.62 (113 votes)

- Vous avez amené un cheval pour moi ?
- Bah, question chevaux, on est un peu justes, on s’excuse !
- J’en vois deux qui ne sont à personne…

#42
8.59 (68 votes)

Je pense que quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de tourner !

#43
8.57 (32 votes)

- Qu’est-ce qu’il a dit ?
- Que vous êtes une femme dégueulasse.
- C’est quoi dégueulasse ?

#44
8.57 (39 votes)

Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail ?

#45
8.53 (65 votes)

Ne freinez jamais, une voiture c’est fait pour rouler pas pour s’arrêter.

#46
8.46 (55 votes)

C’est lourd nom de Dieu… oh pardon ma sœur !

#47
8.46 (29 votes)

You see, in this world, there is two kinds of people, my friend: those with loaded guns and those who dig. You dig.


- Are you ?
- You are ?

#49
8.45 (48 votes)

[En pleurs devant un tas de lingots d’or] J’sais que j’devrais pas… Mais j’peux pas m’en empêcher. C’est beau comme une crèche !

#50
8.44 (22 votes)

Ah bah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien forcément !

#51
8.42 (47 votes)

Il joue de l’harmonica quand il devrait parler, et il parle quand il ferait mieux de jouer.

#52
8.39 (77 votes)

Oui ! Il s’agit de deux charmants enfants : Jane et Michael. Un jour, ils se rencontrent dans la rue, et Jane dit à Michael : « J’ai un ami avec une jambe de bois qui s’appelle Smith. » Et Michael dit : « Ah oui ? Et comment s’appelle l’autre jambe ? »

#53
8.39 (46 votes)

- Combien t’a-t-il payé pour m’abattre ?
- Pas loin de mille dollars…
- Tiens, en voilà deux mille pour toi.
- Deux mille dollars… La moitié en or ! Plutôt intéressant. Mais… L’ennui, c’est que j’finis toujours l’travail pour l’quel on m’paie…

#54
8.36 (51 votes)

Dieu n’est pas avec nous et il déteste les corniauds de ton genre !

#55
8.36 (45 votes)

Si un homme te pince les fesses, fais comme si c’était pas trop grave, il sera heureux.

#56
8.31 (49 votes)

- Tends-lui ta main, Fred !
- Si je la lui tends, ce sera au travers de la gueule !

#57
8.29 (31 votes)

Vous savez ce que vous êtes Mlle Je-ne-sais-pas-qui ? Une poule mouillée. Vous n’avez pas de cran. Vous avez peur de dire « D’accord, c’est la vie ». Les gens tombent amoureux. Les gens s’appartiennent l’un l’autre, parce que c’est la seule chance de trouver le bonheur. Vous vous dites libre, sauvage. Vous êtes terrifiée à l’idée qu’on vous mette en cage. Eh bien, mon cœur, vous y êtes déjà. Vous vous y êtes mise toute seule. Et elle n’est pas limitée à Tulip, au Texas, ou à la Somalie. Elle est partout où vous allez. Qu’importe où vous courez, vous finissez par tomber sur vous-même.

#58
8.29 (25 votes)

Puisque tu m’as appelé par mon nom…

#59
8.25 (47 votes)

Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon.

#60
8.24 (24 votes)

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