Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1960

- Y a pas d’hélice hélas.
- C’est là qu’est l’os !

#41
8.35 (87 votes)

Bougez pas. Les mains sur la table. J’vous préviens qu’on a la puissance de feu d’un croiseur et des flingues de concours.

#42
8.35 (99 votes)

À quelle troupe comptez-vous faire appel pour défendre ce poste ? Aux grenadiers de la Garde ?

#43
8.33 (20 votes)

- Et pourquoi est-ce nous ? Oui, pourquoi nous ?
- Parce qu’il n’y a que nous ici, et personne d’autre !

#44
8.33 (20 votes)

- Ah non ! Ceux-ci, je ne vous les donne pas !
- Mais enfin, Sarah, je croyais que c’était entendu. On a besoin de livres pour faire les barricades. J’avais pensé que vous comprendriez.
- Mais pas la collection complète des campagnes napoléoniennes ! Ma mère vient de les envoyer pour votre anniversaire.
- J’ai un aveu à vous faire, l’Histoire de France m’ennuie.

#45
8.33 (20 votes)

Les inconnus sont quelques fois les meilleurs amis d’un soldat.

#46
8.33 (20 votes)

- Tends-lui ta main, Fred !
- Si je la lui tends, ce sera au travers de la gueule !

#47
8.29 (31 votes)

Monsieur Naudin, vous faites sans doute autorité en matière de bulldozer, de tracteur et caterpillar, mais vos opinions sur la musique moderne et sur l’art en général, je vous conseille de ne les utiliser qu’en suppositoire. Voilà ! Et encore, pour enfants…

#48
8.29 (66 votes)

Vous savez ce que vous êtes Mlle Je-ne-sais-pas-qui ? Une poule mouillée. Vous n’avez pas de cran. Vous avez peur de dire « D’accord, c’est la vie ». Les gens tombent amoureux. Les gens s’appartiennent l’un l’autre, parce que c’est la seule chance de trouver le bonheur. Vous vous dites libre, sauvage. Vous êtes terrifiée à l’idée qu’on vous mette en cage. Eh bien, mon cœur, vous y êtes déjà. Vous vous y êtes mise toute seule. Et elle n’est pas limitée à Tulip, au Texas, ou à la Somalie. Elle est partout où vous allez. Qu’importe où vous courez, vous finissez par tomber sur vous-même.

#49
8.29 (25 votes)

Oui ! Il s’agit de deux charmants enfants : Jane et Michael. Un jour, ils se rencontrent dans la rue, et Jane dit à Michael : « J’ai un ami avec une jambe de bois qui s’appelle Smith. » Et Michael dit : « Ah oui ? Et comment s’appelle l’autre jambe ? »

#50
8.28 (48 votes)

Je pense que si vous pensez ce que je pense que vous pensez, j’ai bien peur de donner raison à Sir Arthur.

#51
8.28 (19 votes)

Jean-Marie Péjat : J’suis allé plus loin qu’Verdun et la Somme, moi, j’ai pas fait une guerre de fainéants !
Baptiste Talon : Hein ? Qui qu’a fait une guerre de fainéants ?
Blaise Poulossière : Oser insulter ceux qu’ont péri sous les obus pendant que d’autres faisaient danser les moukères ! Fils d’garce !
Jean-Marie Péjat : ’Cré bon dieu, vous allez tout de même pas comparer vos bains de boue avec mes turqueries !

#52
8.28 (19 votes)

Quelqu’un a dit quelque part que chaque homme est le père de chaque enfant, mais je suppose que ce n’est vrai que pour ceux qui le sentent.

#53
8.28 (19 votes)

- Il faut que je découvre le foyer d’infection.
- Vous ne le trouverez pas avec un bistouri, docteur.

#54
8.28 (19 votes)

- J’espère que vous ne m’en voudrez pas si je vous dis ceci : durant les semaines où nous avons travaillé ensemble, j’ai conçu une très grande affection pour vous.
- Je vous remercie de me le dire. Une femme est toujours heureuse de l’entendre… Mais il y a peu d’hommes qui ont assez de courage pour le dire.

#55
8.28 (19 votes)

Les Allemands se sont emparés de Kiautschou, les Russes se sont emparés de Port-Arthur, les Français ont obtenus des concessions dans le Yunan, le Guangsi et le Kwantung. En tout, treize des dix-huit provinces de la Chine sont sous la domination étrangère. Des bateaux de guerre étrangers occupent nos ports. Des armées étrangères occupent nos forts. Des financiers étrangers administrent nos banques. Des dieux étrangers troublent la paix des esprits de nos ancêtres. Est-il surprenant que notre peuple se soulève ?

#56
8.28 (19 votes)

- Vous rappelez-vous ce que Napoléon disait à propos de la Chine ?
- Oui, je m’en souviens. Laissez la Chine dormir car lorsqu’elle s’éveillera, le monde entier tremblera.
- Que n’a-t-il pas dit, celui-là !

#57
8.28 (19 votes)

- Alors ? Quel est cet important problème féminin ?
- Seulement celui-ci. Dois-je faire les malles ou ne pas faire les malles ? Retournons-nous en Angleterre ? Prenons-nous notre congé cette année ?
- Ah ! J’sais pas !
- Vous ne savez pas ?
- Pourquoi ne feriez-vous pas les malles ? Si nous ne partons pas, il vous suffira de les défaire.
- Si c’étaient les hommes qui faisaient et défaisaient les malles, la face du monde serait toute différente !

#58
8.28 (19 votes)

[Lors du commencement de l’édification des barricades, on prend ce qu’on peut. Des marins français entassent des livres. Le ministre français arrête un marin et regarde un livre]
Histoire d’Angleterre ? Pfff !
[Il envoie le marin entasser les bouquins avec les autres]

#59
8.28 (19 votes)

Sir Arthur Robertson : Le captaine Hanley m’a dit que vous avez repris le Mur, mon commandant. Je suppose qu’on vous a dit. Il est mort aussi.
Le sergent Harry : Monsieur le ministre peut peut-être nous dire pourquoi il est mort et pourquoi le capitaine Marshall est mort, puisqu’il a l’air de tout savoir ?
Le major Lewis : Ça suffit, sergent. Retournez là-bas.
Sir Arthur Robertson : C’est un excellent soldat quand il sait pourquoi il se bat.
Le major Lewis : C’est plus facile quand c’est pour quelque chose qui se voit, un mur, un bastion, une rivière… Mais comment leur expliquer quand c’est pour un principe ?
Sir Arthur Robertson : Ce n’est pas facile, surtout ici, en Chine. C’est trop loin de leur pays.

#60
8.28 (19 votes)

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