Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1980

Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme des larmes dans la pluie.

#81
8.77 (120 votes)

Je t’avais prévenu espèce de Sale Macaque ! On ne m’encule pas !

#82
8.77 (161 votes)

- C’est drôle, mais j’ai l’impression que je serai plus jamais amoureuse Poupette.
- T’as quel âge ? 15 ? …
- … Et 3 mois.
- C’est une impression !

#83
8.77 (104 votes)

I am your father.


Tu cherches ton pote le général, hein ? Et ben, il fait un méchoui avec ses couilles sur Hollywood Boulevard.

#85 8.75 (62 votes)

J’ai grandi dans un quartier malfamé où on arrive mieux à obtenir quelque chose avec un mot gentil et un flingue qu’avec un mot gentil tout seul.

#86
8.75 (38 votes)

- Françoise faut qu’on parle !
- J’ai rien à te dire !
- Allez ! Écoute moi j’te prie… D’accord hier soir je…
- Parlons plus d’hier soir, aujourd’hui tout est changé !
- Oui justement j’m’en rend compte… Quoi qu’est ce qu’il y a de changé ?
- Hier soir j’avais pas d’amant aujourd’hui j’en ai un ! Voila ce qu’il y a de changé !

#87
8.75 (54 votes)

Je n’aime pas dire du mal des gens, mais effectivement elle est gentille.

#88
8.74 (181 votes)

Quand 900 ans comme moi tu auras, moins en forme tu seras !

#89 8.74 (259 votes)

Sacré pétasse. La moitié de sa vie elle s’habille et l’autre moitié madame de déshabille.

#90
8.74 (172 votes)

Au secours ! Y a un pec qui me menace… Il a un gland dans la main !

#91
8.73 (45 votes)

Tu as été communiste ? Hein, la vie de rêve, on te dit quoi il faut penser, ou quoi écrire, quoi faire, être le mouton tu aimes ? Avec le troupeau des bêtes beeeeeeeeeh beeeeeeeeh cogno cogno. Tu bosses 8-10 heures en te crevant le cul, tu gagnes rien, rien il est à toi. Tu veux qu’on te mettes un tchévato dans ta maison il surveille, il espionne tout ce que tu fais, tout ce que tu dis tout. Tu sais que je bouffe du poulpe trois fois par jour et ces putains de poulpes me sortent par les oreilles maintenant, j’ai des putains de godasses russes que mes pieds ils passent au travers. Qu’est tu dis de ça. Toi tu aimes mieux que je restes dans le lit à rien foutre hein ne me prend pas pour un voyou mec, je suis pas une pute qui vole. Je suis Monsieur Montana Tony prisonnier politique renvoyé par Cuba. J’exige mon putain d’asile politique maintenant. C’est le président Jimmy Carter qui le dit, OK ?

#92
8.73 (249 votes)

- Toi tu peux apprendre, moi je veux posséder ce qui me revient.
- Et qu’est ce qui te revient à toi Tony ?
- Le monde, chico, et tout ce qu’il y a dedans.

#93
8.73 (218 votes)

Vous me faites bander, Marielle.

#94
8.73 (92 votes)

Hello. My name is Inigo Montoya. You killed my father. Prepare to die.


Allô, collège Welton, j’écoute. Oui, il est ici, ne quittez pas. M. Nolan, c’est pour vous. C’est le bon Dieu : il est d’accord pour les filles à Welton.

#96
8.72 (209 votes)

Le mariage est l’art de résoudre à deux les problèmes que l’on ne se posait pas lorsque l’on était seule !

#97
8.72 (84 votes)

Ma vie s’éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je m’souviens d’un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées… Mais par-dessus tout, je me souviens du guerrier de la route. L’homme que nous appelions Max. Pour comprendre qui était cet homme, il faut revenir à une autre époque. Quand le monde tournait au carburant noir et que florissaient dans les déserts de grandes cités de tubes et d’acier… Disparues, maintenant, balayées… Pour des raisons aujourd’hui oubliées, deux puissantes tribus entrèrent en guerre allumant un brasier qui les dévora toutes les deux. Sans carburant, elles n’étaient rien. Leur empire était de paille. Le grondement des machines hoqueta et s’éteignit. Les chefs parlèrent, et parlèrent… Et parlèrent encore. Mais rien ne pouvait endiguer le désastre. Leur monde s’écroula… Les villes explosèrent provoquant une tornade de pillages. Un vent brûlant de terreur ; L’homme commença à se nourrir de l’homme. Sur les routes régnait le cauchemar de la ligne blanche. Seuls les flibustiers les plus mobiles, les pillards les plus impitoyables survivaient… Les bandes prirent le contrôle des routes prêtes à se faire la guerre pour un bidon de carburant. Dans ce maelström de pourriture, le commun des mortels était brisé, écrasé. Des hommes comme Max, Max le guerrier. Dans le rugissement d’un moteur, il avait tout perdu… Et il devint un homme vidé, consumé, ravagé, un homme hanté par les démons de son passé, un homme qui errait sans but par les terres désolées. Ce fut ici, dans ce lieu maudit, qu’il réapprit à vivre…

#98 8.72 (29 votes)

- Dis moi comment tu t’appelles ?
- Ah ben ça, j’peux pas le dire.
- Et pourquoi ?
- Ah ben si j’te dis qui je suis, tu vas l’répéter à tes copains et j’vais tout le temps les avoir au téléphone, on va me demander de passer à la télévision, de signer des autographes, les filles vont s’arracher mon peignoir, ça va être l’enfer ! ’Fin tu vois c’que j’veux dire, l’enfer !

#99
8.72 (37 votes)

Désolé de vous interrompre les copains. C’est moi qui ait Toujours fait la dernière danse de la saison, mais un petit connard me l’a interdit. Je vais vous montrez ce que c’est que de danser avec une partenaire sublime. C’est pas seulement une danseuse extraordinaire, c’est aussi un être humain qui m’a appris qu’on peut défendre quelqu’un qu’on aime, quelques soient les circonstances. Quelqu’un qui m’a appris à découvrir celui que j’étais vraiment : Melle Frédéric Houssman.

#100
8.72 (84 votes)

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