Kaakook

Tag - mafia

La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !


- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

9.26 (3662 votes)

Je vais te dire un truc que tu sais déjà. Le soleil, les arcs en ciel, c’est pas le monde ! Y’a de vraies tempêtes, de lourdes épreuves aussi grand et fort que tu sois la vie te mettra a genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie, c’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand même de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais, jamais flancher. C’est comme ça qu’on gagne !

9 (602 votes)

Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d’être seul comme un moineau sous la pluie… Fatigué d’avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d’où on vient et pourquoi… Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde…

9.19 (2099 votes)

- C’est très important « la disponibilité ». Les gens qui me voient depuis toujours et qui sont de mon côté, Ils se sentent en sécurité parce qu’ils savent que je suis là, alors ils m’aiment davantage. Par-contre les gens qui sont de l’autre côté, ils sont partagés. Mais ils savent que je ne suis pas loin, alors ils sont beaucoup plus peur de moi.
- Il vaut mieux être craint ou être aimé ?
- [sourire] Bonne question, les deux c’est bien mieux, mais c’est très difficile. Moi si j’avais le choix, je préférerai que l’on me craigne. La peur c’est plus solide que l’amour. Une amitié peu toujours se vendre ou s’acheter. Tu le vois bien si je fais une blague tout le monde se marre sans hésiter. J’suis amusant, mais pas à ce point.
- [petit rire]
- Ils rigolent parce qu’ils ont peur de moi. Mais il ne faut pas te faire détester, c’est pour ça que je les traitre bien, mais pas trop bien. Si je leur donnais trop ils n’auraient plus besoin de moi. Je leur donne ce qu’il faut pour qu’ils aient besoin de moi et qu’ils ne me détestent pas ! N’oublie jamais cette leçon !

9.15 (61 votes)

Je dis toujours la vérité, même quand je mens c’est vrai.

9.07 (723 votes)

C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien… Jusqu’ici tout va bien… Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.

8.99 (1551 votes)

Tu es comme une drogue pour moi, c’est comme si tu étais ma propre marque d’héroïne.


J’ai grandi dans un quartier malfamé où on arrive mieux à obtenir quelque chose avec un mot gentil et un flingue qu’avec un mot gentil tout seul.

8.75 (38 votes)

Que le vent te pousse toujours en avant et que le soleil illumine ton visage, que les vents du destin t’emmènent danser avec les étoiles…

8.72 (139 votes)

Un jour un des gamins du quartier a raccompagné ma mère jusque chez elle pour lui porter ces paquets et vous savez pourquoi ? Par respect.

8.44 (80 votes)

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