Top - Citations de films des années 1950

- J’en peux plus de ma femme.
- Ah, ah. Et qu’est-ce que vous lui reprochez ?
- D’être là.
- Il ne fallait pas l’y mettre.
- Ça c’est mal répondu, monsieur le curé.

- J’ai beau avoir 53 ans, moi, j’me lave les pieds !
- Qu’entendez-vous par là ?
- Que j’me les mets dans l’eau et que j’me les savonne.
- Ah, ah bon, je croyais que c’était une façon de parler. Hahaha ! Et elle n’en fait donc pas autant ?
- Si, tous les deux mois. Pourtant elle voit bien que moi, j’me les lave toutes les semaines. Comme tout le monde.

- S’il lui flanquait une bonne raclée de temps en temps, ça lui apprendrait peut-être à vivre !
- Si votre défunt mari vous en avait flanqué des raclées à vous-même…
- C’est parce qu’il s’en privait pas, monsieur le curé, que j’en souhaite aux autres !

- Nous n’avons pas à obéir à tes commandements, nous sommes libres.
- Il n’y a pas de liberté sans loi !

Ceux qui ne vivront pas par la loi, périront par la loi !

N’oublie pas que tu n’es qu’un mortel !

À la guerre, les meilleurs meurent toujours les premiers !

Où trouver un homme de confiance à notre époque !

Celui qui n’a pas été révolutionnaire à vingt ans est un malheureux mais celui qui l’est resté à quarante est un imbécile !

Il y a deux façons de prendre les femmes, par la taille ou par le sentiment.

La sorcière qui grille ! La sorcière qui grille !

- Partout notre prince rencontrera l’image de la prospérité !
- Oui ! Oui, c’est une ville modèle. Il n’y a plus un pauvre, pas un infirme.
- Où sont-ils ?
- En prison !

C’est moi l’empereur ! Et je fais ce que je veux avec qui je veux !

- Veux-tu que nous campions sous le coursier ?
- Non merci, mes narines supportent mal le parfum des galériens.

Je devrais te faire mettre à mort pour crime de trahison !

Je suis un soldat. Je ne veux pas qu’on me traite en femme. Je ne m’habille pas en femme. Je n’aime rien de ce qu’elles aiment. Elles rêvent d’amants, d’argent… Je rêve de mener une charge de canons !

J’ai comme le pressentiment que mon peuple pourrait survivre à la fois à Balthasar et à Babylone !

- Il est mort.
- Ouais, une charogne de moins !

Si c’est nécessaire, écorche-le vif, il faut qu’il parle !

Un homme est excusable quand il a faim !