Top - Citations de films des années 1950

Ah, mais seulement, je les ai eu ! Les fraises, les fraises ! Ils ont eu beau rire, plaisanter, se moquer, je leur ai prouvé sans qu’il y ait le moindre doute, et avec une rigueur mathématique, que… qu’un double de la clef du frigidaire existait bien…

- Il a dit à sa femme que tu lui avais sauvé la vie au 5e Zouave, pendant la guerre.
- Laquelle ?
- Bah la vraie !
- Ah, t’en as déjà vu des fausses, toi ?

Des rires ? Je changerai le rire de ces esclaves en affreux hurlements !

Frère, elle est ta femme. Sœur, il est ton mari. Pour quatre ans.

- Une seule lettre pendant ces cinq ans. Je l’ai lue jusqu’à ce que le papier soit tout en miettes et que l’écriture soit effacée.
- Oui, j’reconnais qu’c’était pas beaucoup en fait de correspondance.
- Non, en effet. Tu aurais dû écrire que tu m’aimais. Tu pouvais au moins me dire de t’attendre, je trouve que c’était la moindre des choses.
- Mais j’t’ai toujours aimé, Laurie, j’croyais que tu l’savais sans que j’ai besoin de te l’dire.
- C’est très mal, Martin Pawley, c’est très mal c’que tu as fait là, tu sais.
- Je ne veux pas que tu pleures.
- Moi je pleure ?
- Oui, j’vois bien. Y’a plus qu’une chose qui m’reste à faire maintenant. C’est d’ficher le camp.
- Oui, pars, Martin Pawley, et moi je mourrai !

Quel geste a fait Junot ? Qu’est-ce qu’a dit Berthier à l’oreille de Murat ? Qu’est-ce qu’a dit Murat à l’oreille de Kléber ?

Regarde Mathias, on n’est pas venus pour rien !

On n’te d’mande pas ta pauvreté, on te d’mande ta charité !

J’entends ! J’entends !

- L’or, c’est la lumière.
- L’or ? Avez-vous fait de l’or ?
- Si j’avais fait de l’or, le roi de France s’appellerait Claude et non Louis.

C’est à cause de vous !

Asile !

Martin authentique ! Martin authentique !

- C’est une occasion pour votre fils de rendre un grand service à l’Angleterre.
- Mon fils était écossais, monsieur, et il en était très fier.
- Je vous demande pardon.
- Peu importe. Nous sommes habitués. Les Anglais disent toujours l’Angleterre quand ils parlent de la Grande-Bretagne.

Je n’y connais rien en politique. Tant qu’il y aura des fonds pour payer l’armée, Rome restera invincible. C’est ma conviction.

- Veux-tu que nous campions sous le coursier ?
- Non merci, mes narines supportent mal le parfum des galériens.

Je devrais te faire mettre à mort pour crime de trahison !

- Ça fait mal d’être brûlée ?
- Au début, oui. Et puis tout s’est brouillé jusqu’à ce que je sois délivrée de mon corps.

Les fesses des filles sont délicates !

Pour régner sur la Lune, je ne voudrais pas repasser par là !