Kaakook

Top - Citations de films des années 1950

Citoyens, je vous accueille à ces jeux au nom de Tibère, notre divin empereur. Nous les dédions à sa plus grande gloire et à la gloire éternelle de Rome qui pour vous est la seule patrie. Honorons ceux qui vont courir pour nous aujourd’hui. Ils sont venus ici d’Alexandrie, de Messine, de Carthage, de Chypre, de Rome, de Corinthe, d’Athènes, de Phrygie et de Judée. Pour le meilleur d’entre eux, le laurier de la victoire. La course commence. Ave César !

#41
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Partout où il y a grandeur, grandeur du souverain ou du pouvoir, et même de la pensée et des passions, l’erreur elle aussi est grande. L’homme progresse également par ses fautes.

#42
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Tout continue, tout continue, Judah. La course… la course n’est pas achevée…

#43
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Relâche les serviteurs.

#44
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- Viens.
- Où ?
- À Tyr.
- À Tyr ? Mais je n’ai même pas été jugé. Je mourrai aux galères sans seulement avoir été jugé ? On ne me laisse même pas m’expliquer ! Il n’y a pas un mot de vrai dans cette accusation ! Ma mère, ma sœur ? Que sont-elles devenues ? Où sont-elles ?
- Attachez-lui les mains.
- Attends. Au moins, dis-moi si elles sont en vie !
- Je ne peux rien te dire.

#45
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- Cette fois-ci, affiché, officiel, j’fous l’camp dans l’Midi !
- Dans l’Midi ? A Nice ?
- Non. Y’a trop d’Anglais. P’têt’e à Cannes ?
- À Cannes ?
- C’est comme ça.

#46
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- Écoute, voici ce que ton père aurait fait : il aurait laissé une garnison ici comme tête de pont en Asie et ramené tout son butin en Macédoine avec les quelques navires dont nous pouvons disposer, forcé Athènes à nous venir en aide et puis envahi de nouveau la Perse avec une armée cinq fois plus forte. Voilà ce que ton père aurait fait !
- Mon père ! Mon père ! Mon père ! Je suis Alexandre ! Non mon père !

#47
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Remporter la victoire et gâcher la paix, c’est folie.

#48
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Ami, dis-moi, où quand et comment je serai poignardé ?

#49
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- Songerais-tu à me frustrer de mes droits à ta succession ?
- Tu pratiques là un jeu dangereux avec moi, enfant.
- Et toi avec moi.
- Si tu crois que ta victoire à Chéronée t’a subitement fait grandir, tu ferais bien de mesurer ton ombre.
- Je l’ai mesurée.
- Pourquoi une pareille pensée m’effleurerait-elle ?
- Parce que tu vois en moi un rival, père, et non point ton fils.
- S’il en était ainsi, tu ne serais plus en vie.

#50
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Regardez-le, Macédoniens, voici l’homme qui se prépare à passer de Grèce en Asie mais qui est incapable de passer d’une couche à une autre !

#51
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D’ici quelques jours, quatre de tes compagnons seront bannis. Attale, Ptolémée, ainsi que mon fils Philotas et Pausanias…

#52
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Marche devant moi. Je marcherai seul.

#53
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Va-t’en retrouver Philippe, Attale et Parménion !

#54
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- À qui vas-tu léguer ton empire ?
- Au… au plus fort !

#55
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- Elle a dit qu’elle se tuerait si je la touchais !
- Mais elles disent toutes ça mais, en fait, ça veut plutôt dire qu’elles se tueront si on ne les touche pas !

#56
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- Mais où m’emmenez-vous ?
- Voir Erik pour la dernière fois !

#57
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Grandgil : Mais, des gens qui n’ont pas plus de conscience que ça, moi, ça me révolte. Saloperie, va ! Je te foutrais tout ça en prison, moi ! Parfaitement, pas de pitié, allez, en prison ! Voyous ! Anarchistes ! Mauvais Français ! Et puis d’abord, vos noms, âge, situation de famille et tout ! Allez hop, déballez ! Hop !
Alfred Couronne : Couronne Alfred, né le vingt-trois septembre quatre-vingt-trois à Aubenas, Ardèche. Et Couronne Lucienne, née Greneil, quarante-neuf ans, sans enfant. Employés à la Halle aux Vins jusqu’en mille neuf cent trente sept. Condamnation, néant. Situation militaire…
Grandgil : Suffit, j’en sais déjà trop ! Non mais regarde-moi le mignon là, avec sa face d’alcoolique et sa viande grise ! Avec du mou partout, du mou, du mou, rien que du mou ! Mais tu vas pas changer de gueule un jour toi, non ? Et l’autre là, la rombière. La gueule en gélatine et saindoux. Trois mentons, les nichons qui déballent sur la brioche. Cinquante ans chacun ! Cent ans pour le lot ! Cent ans de connerie !
Marcel Martin : Où est-ce qu’il va chercher tout ça ?
Grandgil : Mais qu’est-ce que vous êtes venus foutre sur terre, nom de dieu ? Vous n’avez pas honte d’exister ?

#58
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Tout ce que vous venez de souhaiter, le bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire. Vous aurez le nécessaire et le superflu ! Des pauvres, il y en aura plus, je m’en charge !

#59
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Inutile, il n’y a pas d’issue ! C’est pour tout cela que tu as menti, comploté et assassiné ! Voici ton royaume !

#60
7.37 (9 votes)

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