Top - Citations de films des années 1950

I’m a rich boy… I’m gonna have more money than you thought you’d ever have!

Salauds de pauvres !

We don’t go anywhere. Going somewhere is for squares. We just go.

Occupez-vous un peu moins de la vérité, et un peu plus de vous-même !

- Un film parlant ? Ça veut dire que je me trouve sans emploi… Alors je connaîtrai la souffrance et j’écrirai une symphonie.
- Vous restez avec nous, je vous bombarde directeur du service de la musique, ça vous va ?
- Merci de tout cœur patron ! Allons, je ne connaîtrai plus la souffrance et j’écrirai une symphonie !

Les vacances, on n’y pense jamais trop tôt.

Le pauvre petit, lui n’a personne, il n’a jamais eu personne.

Dans mon monde à moi il n’y aurait que des divagations, comme disent les grands « les choses ne seraient pas ce qu’elles sont », au contraire elles seraient ce qu’elles ne sont pas.

Ici c’est comme la prison, pour entrer c’est facile, par ici la bonne bouffe, mais pour sortir macache !

Si les parents fermaient pas toutes les portes, peut-être que les gamins auraient pas envie de s’aérer.

Tu me parlerais d’Adam et Eve que j’y verrais un attentat à la pudeur.

J’ai bu parce que, certains soirs, je n’avais pas le courage de rentrer chez moi. C’est une maladie de boire, une maladie terrible ! Les tuberculeux apitoient, les infirmes bouleversent, les alcooliques font rire… Ils réclament la pitié, on les méprise… Ils quêtent l’amour, on les enferme au cabanon… C’est pratique… c’est discret… c’est surtout plus simple que de se pencher sur leur détresse et d’essayer de les comprendre… De comprendre qu’ils souffrent, oui, qu’ils souffrent, et qu’ils ne le font pas exprès. Je les connais, je suis des leurs… On parlent souvent de l’ivrognerie prolétarienne ou d’un alcoolisme bourgeois… Qu’est ce que les mots « prolétariat » et « bourgeoisie » ?… Qu’est ce que les mots, quels qu’ils soient, peuvent encore signifier à ce palier de l’enfer ?… L’alcoolique, un taré ?… Oh non !… Un mal payé parfois… un mal logé souvent… un mal aimé toujours !

Faire l’amour c’est faire la liberté. Aimer c’est la perdre.

L’avenir c’est ce qu’on a inventé de mieux pour gâcher le présent.

Je savais pas que l’amour c’était une maladie. En tout cas, vous, vous risquez rien, vous vous êtes fait vacciner !

J’étais le cancre de la classe. À tel point qu’au mois d’août j’en étais encore à suivre les cours de janvier.

New York City. Une jungle de construction où la richesse la plus fabuleuse côtoie la misère la plus sordide. New York. La plus active, la plus solitaire, la plus belle et la plus cruelle des villes. Je vis ici et je travaille ici. Mon nom est Walter Anderson. Je suis un des vingt mille homme de cette armée dont le travail est de protéger les citoyens de cette ville de huit millions d’habitants. Vingt-quatre heures par jour, vous trouverez nos hommes à Park Avenue, Times Square, Fulton Market, dans le métro. 380 nouveaux citoyens sont nés aujourd’hui à New York. 164 couples se sont mariés. 192 personnes mourront. 12 personnes mourront de mort violente. Au moins l’une d’elles sera la victime d’un meurtre. Un meurtre par jour, chaque jour de l’année. Et chaque meurtre finit sur mon bureau.

L’amour, c’est ce que les gestes et les mots ne peuvent pas dire.

J’ai 23 ans, des yeux noirs, la forme du visage ovale. Je ne suis plus vierge mais mon casier judiciaire l’est encore. Tu sauras le début en regardant mon passeport et le reste en me prenant dans tes bras. C’est tout simple non ?

L’attrait passionnel de la paire de claques m’a toujours échappé.