Kaakook

Top - Citations de films des années 1950

- C’est par ici qu’il est passé.
- Qui donc ?
- Un certain lapin.
- Vous en êtes sûr ?
- Sur de quoi ?
- Qu’il est passé par là.
- Qui donc ?
- Le lapin.
- Quel lapin ?

#1
9.23 (210 votes)

Le chapelier fou : Pour quoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Alice : Mais oui c’est vrai.
Le lièvre de mars : Qu’est ce que vous dites ?
Alice : Pourquoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Le chapelier fou : Mais qu’est ce qu’elle raconte ?
Le lièvre de mars : Mais c’est elle qui a un grain !

#2
9.09 (100 votes)

- Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait.

#3
9.02 (122 votes)

Sésame, ouvre-toi !

#4
8.46 (29 votes)

Je pense à toi sans cesse, tu es mon bonheur et toute ma joie, je t’aime.

#5
8.33 (44 votes)

- Quoi, j’ai pas pris de risque, moi ?
- Non monsieur ! Parce que quand on a un bon compte en banque et un appartement comme ça, on risque rien !
- Hé, que tu dis ! On risque plus que celui qu’à rien, on risque de les perdre.

#6
8.21 (18 votes)

Sextus, tu voulais savoir comment combattre une idée. Et bien, je vais te l’apprendre. Avec une autre idée.

#7
8.21 (18 votes)

- Si tu n’étais pas fiancée, je te donnerais un baiser d’adieu.
- Si je n’étais pas fiancée, nous n’aurions pas besoin de nous dire adieu.

#8
8.21 (18 votes)

Je vous déteste, c’est Erik que j’aime !

#9
8.15 (17 votes)

N’ayez pas peur madame, c’est de l’argent honnête ! Et honnêtement gagné !

#10
8.15 (17 votes)

Alors que les crabes soient maudits par Odin !

#11
8.15 (17 votes)

Hahaha ! Odin !!

#12
8.15 (17 votes)

- Là-haut, il y a quelqu’un qui marche. J’ai entendu des pas, des pas humains.
- Madame, depuis le commencement des temps, toutes les femmes entendent des pas, quelque part.
- J’ai l’ouïe particulièrement fine.
- Toutes les femmes ont l’ouïe particulièrement fine. La mienne entendait des rats dans le grenier. Généralement à la veille d’une de mes conférences importantes. J’allais dans les combles armé d’un balai…

#13
8.15 (17 votes)

- Tant que nous serons victorieux, tu ne pourras pas t’évader. Si nous sommes vaincus, tu couleras avec ce navire, enchaîné à ton aviron.
- Je ne croirai jamais que Dieu m’a gardé vivant pendant ces trois années pour que je meure enchaîné.
- C’est vraiment une foi étrange et obstinée que celle qui permet à un homme de croire que notre existence a un but précis. Un homme normal aurait depuis longtemps perdu cette croyance.
- À ton exemple, qu’est-ce qui te l’a fait perdre ?

#14
8.15 (17 votes)

Garde… détache le 41.

#15
8.15 (17 votes)

Messala : Regarde !
Drusus : C’est magnifique.
Messala : Et offert par quelqu’un que je n’ai jamais vu.
Ben-Hur : Tu te trompes, Messala.
Messala : Judah ? Par quelle magie est-ce que tu portes le nom glorieux d’un consul de Rome ?
Ben-Hur : C’est toi, le magicien, Messala. C’est toi qui m’a condamné aux galères.

#16
8.15 (17 votes)

- Je dois traiter Messala à ma façon.
- Et ta façon est de l’tuer. Je vois cette chose terrible dans ton regard, Judah Ben-Hur, mais quoi que Messala ait pu te faire autrefois, tu n’as pas le droit de lui ôter la vie, il sera inévitablement puni.

#17
8.15 (17 votes)

- L’homme qui t’accompagne, Quintus Arrius, qui est-ce ?
- Celui qui a permis, divin empereur, que je revienne ici te servir.
- C’est tout ce que tu sais sur cet homme ?
- Non. On l’a accusé d’avoir attenté aux jours du procurateur de Judée mais il était innocent.
- Je l’espère. Ce serait une étrange incohérence chez cet homme d’essayer de tuer mon procurateur et de sauver la vie de mon consul.

#18
8.15 (17 votes)

C’est Judah Ben-Hur que j’aimais. Qu’a-t-il pu advenir de lui ? Tu ressembles maintenant à ce que tu t’étais juré de détruire. Tu rends le mal pour le mal. La haine change ton cœur en pierre. Ton visage est pour moi celui de Messala ! Je t’ai perdu, Judah…

#19
8.15 (17 votes)

Citoyens, je vous accueille à ces jeux au nom de Tibère, notre divin empereur. Nous les dédions à sa plus grande gloire et à la gloire éternelle de Rome qui pour vous est la seule patrie. Honorons ceux qui vont courir pour nous aujourd’hui. Ils sont venus ici d’Alexandrie, de Messine, de Carthage, de Chypre, de Rome, de Corinthe, d’Athènes, de Phrygie et de Judée. Pour le meilleur d’entre eux, le laurier de la victoire. La course commence. Ave César !

#20
8.15 (17 votes)

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