Kaakook

Top - Citations de films des années 1950

- Mais où m’emmenez-vous ?
- Voir Erik pour la dernière fois !

#21
8.15 (17 votes)

Si vous avez de la peine, si la vie est méchante avec vous, réfugiez-vous au cœur de la forêt, elle ne vous décevra jamais. Chaque plante, chaque fleur, chaque arbre, chaque animal sont la preuve vivante de la toute puissance de Dieu et la forêt vous redonnera courage.

#22
8.11 (80 votes)

- Judah, ou bien tu m’aides ou bien tu me combats, tu n’as pas d’autre choix. Tu es soit pour moi soit contre moi !
- S’il faut que je choisisse, alors je serai contre toi !

#23
8.08 (16 votes)

Que leurs dépouilles restent à pourrir sur le champ de bataille !

#24
8.08 (16 votes)

Tu as combattu pour de l’or, gagne-le !

#25
8.08 (16 votes)

Bande de fainéants !

#26
8.08 (16 votes)

Grec ou Perse, on appartient à sa patrie d’origine.

#27
8.08 (16 votes)

- Dites-moi jeune homme, qu’est-ce que c’est que ce déploiement, cette fantasia matinale ? Vous allez tout de même pas recommencer avec vos tremblements de terre ?
- J’vous emmerde. On pose le gaz.
- Le gaz ! Y’a six mois, c’était l’eau, demain ça s’ra l’téléphone. Vous n’pouvez pas grouper tout ça une fois pour toutes, non ?
- Bah c’est une question de crédits. C’est comme la guerre, ça, mon bonhomme.

#28
8.08 (16 votes)

La liberté, c’est d’faire c’qu’on veux, y compris d’aller en taule quand on en a envie !

#29
8.08 (16 votes)

- Ça m’a l’air d’une gentille personne, votre dame.
- Ah, ça pour être gentille, elle l’est. Elle l’est même un peu trop, ça. Elle est bien serviable. Tenez, monsieur, moi qui vous parle, j’l’ai pincée huit fois en flagrant-délit, m’sieur, huit fois, et encore c’étaient des coups de veine. En réalité, pour savoir où j’en étais, j’avais qu’à compter mes clients plus le barman et le garçon. Bah si vous totalisez, dans une affaire qui travaille bien, ça va chercher du monde. Traînée va ! Bah c’est ça qui m’amène chez les affreux. On a beau dire, la moralité, ça passe avant les bénéfices.

#30
8.08 (16 votes)

- Monsieur Félix, vous allez foutre le camp, je ne peux pas supporter votre tronche.
- Il ne faut pas se fier au physique des gens.
- Avec vous, si. Vous avez la gueule de travers et la mentalité biscornue. Vous êtes synchrone.

#31
8.08 (16 votes)

- Tant que nous serons victorieux, tu ne pourras pas t’évader. Si nous sommes vaincus, tu couleras avec ce navire, enchaîné à ton aviron.
- Je ne croirai jamais que Dieu m’a gardé vivant pendant ces trois années pour que je meure enchaîné.
- C’est vraiment une foi étrange et obstinée que celle qui permet à un homme de croire que notre existence a un but précis. Un homme normal aurait depuis longtemps perdu cette croyance.
- À ton exemple, qu’est-ce qui te l’a fait perdre ?

#32
8.08 (16 votes)

Messala : Regarde !
Drusus : C’est magnifique.
Messala : Et offert par quelqu’un que je n’ai jamais vu.
Ben-Hur : Tu te trompes, Messala.
Messala : Judah ? Par quelle magie est-ce que tu portes le nom glorieux d’un consul de Rome ?
Ben-Hur : C’est toi, le magicien, Messala. C’est toi qui m’a condamné aux galères.

#33
8.08 (16 votes)

- Je dois traiter Messala à ma façon.
- Et ta façon est de l’tuer. Je vois cette chose terrible dans ton regard, Judah Ben-Hur, mais quoi que Messala ait pu te faire autrefois, tu n’as pas le droit de lui ôter la vie, il sera inévitablement puni.

#34
8.08 (16 votes)

Tue-moi et ta mère et ta sœur mourront aujourd’hui crucifiées toutes les deux sous tes yeux ! Qu’attends-tu, Judah ? Tue-moi !

#35
8.08 (16 votes)

Eh toi ! J’ai dit « Pas d’eau pour cet homme ! »

#36
8.08 (16 votes)

- L’homme qui t’accompagne, Quintus Arrius, qui est-ce ?
- Celui qui a permis, divin empereur, que je revienne ici te servir.
- C’est tout ce que tu sais sur cet homme ?
- Non. On l’a accusé d’avoir attenté aux jours du procurateur de Judée mais il était innocent.
- Je l’espère. Ce serait une étrange incohérence chez cet homme d’essayer de tuer mon procurateur et de sauver la vie de mon consul.

#37
8.08 (16 votes)

- L’heure a sonné, Judah. C’est le moment de régler nos comptes.
- Tu as raison, l’heure a sonné.

#38
8.08 (16 votes)

Relâche les serviteurs.

#39
8.08 (16 votes)

- Viens.
- Où ?
- À Tyr.
- À Tyr ? Mais je n’ai même pas été jugé. Je mourrai aux galères sans seulement avoir été jugé ? On ne me laisse même pas m’expliquer ! Il n’y a pas un mot de vrai dans cette accusation ! Ma mère, ma sœur ? Que sont-elles devenues ? Où sont-elles ?
- Attachez-lui les mains.
- Attends. Au moins, dis-moi si elles sont en vie !
- Je ne peux rien te dire.

#40
8.08 (16 votes)

Haut de page